Quand une personne normale se lève le matin, elle se sert une tasse de café ou du chocolat. Hé bien moi, je me pique et je vais prendre un verre d'alcool. Une personne normal s'habille, puis elle quitte sa demeure pour s'aventurer dehors. Moi, je suis déjà habillée à mon réveil, autant dire que je bois tellement en une journée que j'en oubli de me changer le soir, puis je m'installe devant une table et j'y reste une journée sans bouger. Une personne normal n'a généralement tué personne. Moi j'ai tué ma famille entière et je n'ai pas le moindre remords, peut-être parce que j'ai bien agis en tuant le diable !
Il y a longtemps que je n'ai pas manger quelque chose ou bu quelque chose de comestible, à part de l'alcool et des drogues. De toute façon, il y a longtemps que je n'ai pas bouger de mon appart'... Longtemps que je n'ai pas mis un pied dehors, longtemps que je ne vois plus personne ! Et malheureusement, mes stock de bien être commencent à se faire pauvre. Il fallait que je trouves un dealer au plus vite ! J'allais devoir trouver une grande ville et côtoyer des gens... Mon pire cauchemars, j'allais devoir affronter la lumière du jour et l'air frais du vent...
Pour une fois depuis des mois, j'allais me lever et marcher plus de 2 mètres.
Je dégotais alors un pantalon de survét' noir, un T-shirt et une veste noir. Je glissais une paire d'écouteurs dans mes oreilles et je cachais au fond d'un sac une grosse somme d'argent que j'avais gagné... je ne me souviens plus comment d'ailleurs... Jetant un dernier coup d'œil à mon sombre appartement, je me jetai en enfer.
La plus grande ville près de Forks était Seattle, je trouverais certainement mon bonheur là bas... Je dû prendre le bus pour m'y rendre, bizarrement les gens m'évitaient... Tans mieux, ça me plaisait, j'aurais eu envie de les poignarder autrement !
Je descendis dans le centre ville, je savais parfaitement ou me rendre. Je me dirigeais vers un boulevard quand je fus percutée de plein fouet par une personne sans importance pour moi, mon sac se renversa sur le sol, faisant tomber ce qu'il me restait de poudre, je serrais les dents.
- Casse toi ! L'agressai-je