Assis sur un tronc d'arbre, je contemplais l'océan déchainé. Le sable sous mes pieds était frais, je le savais, mais je le sentais à peine et cela n'avait aucune importance. Tout comme le fais que je me sois trouvé en simple tee-shirt, alors que nous étions en Automne. Mais cela n'avait aucune importance pour moi. Après tout j'étais un loup et ma température corporelle était bien supérieure à la moyen, ce qui me permettait de ne pas ressentir le froid comme une personne dite normal. Car la norme est une chose bien fragile. Non j'étais bien, assis là sur la plage de la réserve

Oui pour une fois je me trouvais en dehors de mon garage, le loup était sortit de sa tanière. J’en avais eu envie. Et puis il était inutile de s’enterrer dans un lieu en particulier. Les habitudes étaient a mon sens mauvaises, il n’était pas forcément bon de les entretenir, cela nous conduisait souvent vers une vie routinière, même si ma vie à moi était bien loin de cela, je n’avais pas envie de m’encré dans des habitudes toutes tracé. Et puis il y avait une autre raison au fait que je sois sortit ce soir, il y avait du monde chez mon père, beaucoup trop de monde pour moi qui avait besoin de solitude. Oui je sais bien, cela ne ce faisait pas, mais j’en avais eu besoin. Besoin de sortir plutôt que de voir tous ses couples sous mon propre toit, alors que moi je suis perdu. Alors oui l’extérieur avait été la seule réponse à mon besoin de solitude. J’aimais beaucoup mes amis, là n’était pas la question, mais j’avais eu besoin de me retrouver seul avec moi-même.

Une fois ma décision prise de sortir, c’était posé la question de savoir si j’utilisé mes jambes ou celle du loup. Je l’avais déjà fait par le passé, je savais que courir me ferai le plus grand bien, que cela me permettrait de mieux m’évader. Mais voilà, je n’aurais pas été vraiment seul. J’avais envoyé Sora et Léah en ronde et je n’avais pas vraiment envie de les avoir dans ma tête. Surtout que je savais que cela était bénéfique à Léah d’être avec Sora. Je devais l’avouer, sa venu à la réserve avait été d’un grand secoure sur le caractère de Léah, oh elle n’était pas devenu plus gentil pour autant, mais cela l’avait quelque peut adoucie. Je m’étais bien gardé de le lui faire remarquer. Mais cela marché aussi dans l’autre sens, Léah était un plus pour Sora, elle s’entendait bien et cela avait permit à Sora de mieux s’intégrer au sien de la meute. Enfin tout cela pour dire qu’en y réfléchissant, me transmuté en Loup n’aurait pas été une bonne idée. Je me serai retrouvé avec leur pensés et je n’avais pas besoin de cela pour pensé à Sora. Elle était l’une des raisons pour laquelle j’avais eu besoin de m’éloigner de la maison.

Mes jambes c’était alors avéré être le meilleur moyen et la plage la destination la mieux adapté, j’avais toujours su trouvé réconfort face à l’océan. En fils rassurant, j’avais laissé un mot sur le frigo afin que mon père ne s’inquiète pas de ma soudaine disparition. « Ne me cherché pas. Besoin de sortit. Je suis à la plage » Ainsi personne ne s’inquiéterai outre mesure. Il me connaissait tous assez bien pour savoir que c’était ma façon à moi de dire que j’avais besoin de solitude. Même si je me douté que certain viendrais faire un tour à la plage par simple curiosité et repartir sans même me déranger. Mais après tout ce n’était pas mal plage. Ils pouvaient bien faire ce que bon leur semblait, il était libre de leur mouvement, du moment qu’il me laissait tranquille.

Je contemplais donc l’océan, observant le va et viens des vagues, comme si ces derniers jouer avec le sable, à savoir qui serait celle à aller le plus loin. Ce qui n’avait aucun sens, mais occupait mon esprit à tout autre chose, que mes pensées habituelles. Cela ne m’empêchais pas et ceux comme je m’en étais douté, de percevoir la présence de mes amis, bien trop soucieux de savoir si j’allais bien. Mais ils repartaient par la suite sur leur pas. Sauf une personne, je sentis ça présence un peu plus longtemps que celle des autres. Il ne me fallu que peu de temps pour savoir de qui il s’agissait. Comme du fait de comprendre qu’elle hésité à venir me rejoindre.

Il y a assez de place sur le tronc Rachel, si tu veux venir t’assoir.

Spoiler:

Je regardais toujours l’océan. Je n’étais pas sur que Rachel me rejoigne ici, même si quelque chose me disait qu’elle en avait très envie. J’avais comme la sensation qu’elle s’en voulait encore d’être parti après la mort de maman et ceux malgré l’explication que nous avions eux à son retour. Finalement, elle était venue me rejoindre, se collant à moi, elle tremblait. Il ne lui fallu pas longtemps pour qu’elle me demande de la prendre dans ses bras, se que je fis avec plaisir. Enroulant alors mes bras autour d’elle, je la rapprochais encore un peu plus de moi, du moins de ce qui fut possible. Les rôles avaient bien évolué, avant c’était elle qui me prenait de cette façon, mais sur ses genoux, souvent pour me rassurer lorsque j’étais tout petit. J’avais toujours eu une préférence pour Rachel, mais j’aimais quand même beaucoup Rebecca, mais pas de la même manière.

Je savais qu’elle s’inquiété pour moi, elle l’avait souvent été, et parfois sans véritable raison, comme une mère. Et je savais bien pourquoi elle était venu me retrouver sur la plage, ce n’était pas pour parler de la pluie et du beau temps. Oh non. Elle me connaissait trop bien, elle savait que je n’allais pas bien et elle voulait en comprendre pourquoi. Mais elle savait aussi que parler n’était pas mon fort et surtout parler de mes sentiments. Car il était la le problème qui me travailler depuis maintenant plusieurs mois maintenant. Comment pouvait-on être partager ainsi, comment un cœur pouvait-il ainsi être divisé entre deux âmes, aussi pure l’une que l’autre. Je soupirais alors. Je savais qu’elle comprendrait que cela signifier ma difficulté à lui exprimer ce qui me travailler et non que je n’avais pas envie de lui en parler. Tournant alors la tête vers elle, je lui adressais un faible sourire, puis reportais ensuite mon regard sur l’océan.

Pourquoi les choses ne peuvent-elles pas être tout simplement simples. Pourquoi faut-il que quelqu’un souffre à chaque fois ?

Oh cette question ne lui était pas particulièrement adressé, c’était plus une question à moi-même. Une question à laquelle je n’avais aucune réponse bien entendu. Personne en dehors de Noah ne savais ce qui me rongé vraiment. Je savais que Rachel ne comprendrais pas ce a quoi je faisais allusion. Et je venais de me rendre compte que je lui donnais là une occasion de chercher à comprendre ce qui me tracasser et je n’avais vraiment pas envie de m’étendre la dessus. Ne lui laissant pas vraiment le temps de répondre, je repris alors la parole, la regardant alors avec douceur.

Ne t’en fait pas pour moi petite sœur, c’est juste un moment de fatigue. Rien de plus.

Petite sœur, oui c’était loin de la vérité. Oh de par l’âge elle était plus grande que moi. Mais cela faisait bien longtemps que je l’avais dépassé par la taille. C’était plutôt un terme affectueux.

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