En commençant ma journée ce matin, j'avais envie de faire plaisir à Eva. Je voulais lui offrir quelque chose pour lui montrer que malgré le peu d'amour qu'elle arrivée à me montrer, je tenais à elle. Je voulais lui prouver que je l'aimais de tout mon coeur. J'espère aussi que cela l'empêche de pensée un instant dont que j'avais envie de retrouver ma famille biologique. Je me suis donc décidé de partir pour Forks pour trouver un petit quelque chose à offrir à Eva.

En sortant de la maison je me rendais compte que c'était une magnifique journée, je n'irai pas jusqu'à dire ensoleillé, car ici cela n'est pas fréquents, mais il y avait une luminosité très agréable avec une légère brise qui se tentait a effleuré mon visage de temps en temps, comme si quelqu'un voulais posé sa main sur ma joue. Je prends le temps d'apprécier le paysage, je suivais le chemin du vent qui faisait bouger les feuilles des arbres et qui décrochait dans son élan quelque pétale de rose d'où couler de scintillante gouttelette qu'il restait de la rosée matinale et j'appréciais tout autant l'atmosphère paisible qui régnait dans le jardin. Après cette longue pause a apprécié la nature qui m'entourait, je prenais une grande inspiration de cet air apparait pure et je prenais le chemin qui menait à Forks.

Sur le trajet je m'apercevais que j'avais rarement pris ce chemin, qui n'avait comme toute rien d'extraordinaire mais auquel aujourd'hui j'apportais de l'importance. Certainement, car j'étais de bonne humeur, mes pensées était libre, pour une fois aucune question désagréable me donnant l'impression d'être seul ne me traversait pas l'esprit. Je n'avais qu'une envie, faire plaisir. En autre à Eva qui était la première personne à qui j'avais pensée ce matin, mais aussi a toutes les personnes susceptibles de me faire passé un bon moment sans tracas.

J'arrivais enfin a Forks, cette petite bourgade que j'avais l'impression de voir pour la première fois. J'étais pourtant déjà passé par Forks, mais sans jamais vraiment m'y arrêter, sans jamais prendre le temps de l'observer de la décrire. Aujourd'hui j'avais le temps, j'avais envie de prendre le temps de découvrir cette bourgade qui doit cacher bien des surprise, malgré sont air triste et endormi que l'on peut y rencontrer le matin.

Je me suis donc dirigé vers un banc qui était libre et j'ai recommencé la petite analyse que j'avais fait dans le jardin avant de partir. J'avais observé le vent, les quelques passants sur le trottoir, l'architecture pas très élaboré des maisons et des quelques magasins.

Je prenais le temps de scruter le passé de quelques passants qui tentaient de temps en temps un regard furtif, cela me permettait de m'entraîner rapidement a amélioré et a contrôlé mon don. Je voyais le passé de personnes aimante rempli de joie et de tendresse, mais aussi quelques fois tous sont inversés, une personne froide et méprisante donc le passé ne m'intéressait guère. Je voulais voir de la joie et de l'affection.

J'arrêtais tout de même cette activité fort divertissante pour revenir à la découverte de Forks pour trouver un cadeau que j'offrirai plus tard a Eva. Je me suis donc dirigé vers les quelques boutiques que l'on pouvait trouver à Forks et j'en avais remarqué que très peu, ce qui allait largement réduire mes possibilités de cadeau, mais cela ne m'arrêterait pas aujourd'hui, rien ne pourrais stoppé mon enthousiasme à faire plaisir. Je regardais donc attentivement les quelques vitrines des boutiques et rentrais dans chacune d'elle. Je gardais pour la fin une boutique de fleur avec une charmantes vitrine bien décoré, des lys blancs étaient déposées sur un tissu de soie crème recouverte d'un tulle vert qui apportait de la fraîcheur, quant à l'autre partie de la vitrine elle était principalement composée de rose rouge blanche et verte clair faisant ressortir la passion et le romantisme. Je n'ai donc pas été attirée cette vitrine accueillante, qui m'avait convaincu de choisir un bouquet qui me permettrait de faire ressentir à Eva ce que je voulais exprimer.

J'entrouvrais la porte de la boutique une petite clochette au-dessus de la porte libéra un son qui avertissait la vendeuse, cette dernière avait une voix magnifique et chaleureuse qui m'incitait à rentre. Avant même d'être totalement rentrée les senteurs de fleur s'emparèrent de tout mon corps, c'était un parfum harmonieux et agréable, je distinguais le parfum du jasmin, des roses et des lys que l'on pouvait voir en vitrine. Avant d'êtres en plein coeur du magasin il fallait traverser un petit couloir recouvert de fleur où l'on avait l'impression de marcher à l'envers vu le nombre de fleurs qui étaient suspendues au plafond.

Je ne savais pas qui était la vendeuse, mais je savais qu'elle n'était pas seule, car j'avais entendu une voix très mélodieuse en plus, de la sienne. Je m'avançais vers elles et je les saluais poliment.

-Bonjour mesdemoiselles.

Je me rendais compte au moment où je les regardais qu'elles étaient des vampires et elles avaient l'air plutôt proche. Je ne sais pas si elles connaissent l'existence de ma famille et je me demandais comment elles allaient réagir...

Je me servais tout même un cours instant de mon don sur l'une d'entre elle pour savoir si elle connaissait ma famille et de quels liens les réunissait.

"Une belle journée pour un vampire", c'était la meilleure façon de définir ce temps qui nous était offert malgré la fraîcheur hivernale de ce début de décembre. La douce clarté sans soleil filtrait à travers la vitrine tandis que je m'affairais à apprendre à ma fille Céleste l'art de la composition florale. Elle était douée, cela ne faisait aucun doute. Elle était douée pour tout : elle m'étonnait toujours, me faisant penser à moi dans mon jeune âge vampirique quand je m'étais essayé à tant d'études différentes après avoir quitté les Volturi et les avaient toutes brillamment réussies.

Je lui souris alors que nous finissions simultanéemment des bouquets en lys blancs et roses rouges. Le sien avait un certain style, plus frais peut-être que le mien : sa jeunesse lui donnait un regard plus neuf sur les choses et je pense que nous en apprenions chacune au contact de l'autre. De plus, le fait qu'elle n'aille pas encore au lycée nous permettait de passer énormément de temps ensemble.

En effet, tantôt à la boutique, tantôt à la maison, nous passions presque nos journées entières ensemble et si cela aurait pu sembler excessive à la plupart des jeunes filles de son âge apparent, je savais que pour elle ce n'était que du bonheur : je ressentais de la joie, de l'amour, de la tendresse qui émanait d'elle... Seule une pointe de mélancolie et de tristesse venait s'y glisser, souvent le soir alors que la nuit tombait et qu'elle regardait distraite l'avant de notre demeure guettant sans doute son frère qui tardait à nous rejoindre.

L'arrivée de celui-ci résoudrait tant de choses, j'en étais certaine : déjà ils pourraient aller au lycée, ce qui permettrait à Céleste de sortir un peu, de se faire des "amis". Certes j'aurais pu la forcer à y aller, mais à quoi bon l'embêter alors que ça la rendrait malheureuse... Céleste avait toujours été une fille discrète et timide, son frère la suivait sur le premier point mais pas sur le second. Il fréquentait donc presque toujours les mêmes personnes, les mêmes humains, ce qui me permettait de surveiller plus facilement leurs relations et de veiller l'un sur l'autre.

Donc en attendant que sa période d'adolescente normale au lycée de Forks ne débute, elle travaillait avec moi à la boutique que j'avais acheté. Enfin, on ne pouvait pas vraiment appeler cela travailler : c'était plutôt un plaisir, une activité mère-fille tellement nous nous amusions. Le magasin, nous l'avions redécoré toutes les deux. Une vitrine aux allures des plus belles mises en scène des étals de luxe de Paris, toutes sortes de variétés plus exotiques les unes que les autres descendant du plafond et offrant une forêt de senteurs délicieusement sucrées à nos clients dès leur entrée. Une série de vases remplis des fleurs vendues au détail et de compositions magnifiques finissaient de remplir la boutique.

Je souriais en songeant à la perfection de ces moments passés avec Céleste quand le carillon tinta. Nous regardant avec excitation comme deux gamines, nous reprenions néanmoins notre sérieux pour passer dans l'avant-boutique et accueillir notre cliente.

A peine derrière le comptoir et alors que Céleste se dirigeait vers elle, je sentis son parfum me chatouiller les narines à travers ceux des senteurs florales qui règnaient en maître : une vampire, enfin non plutôt une hybride. J'avais eu l'occasion d'en rencontrer une ches mes amis les Cullen une ou deux semaines auparavant et j'avais une parfaite mémoire des flagrances. Je la regardais avec méfiance mais suivit toutefois ma fille chérie vers cette magnifique jeune femme qui paraissait 18 ans tout au plus.

Peut-être n'avait-elle pas de mauvaises intentions mais mieux valait être prudentes. Je me concentrais donc et ressentait donc ces émotions : émerveillement, douceur, envie, amour, gentillesse, étonnement prédominaient. A priori rien ne laissait à penser qu'elle nous attaquerait, je devîns alors plus calme et hocha la tête avec un sourire en direction de Céleste qui semblait quelque peu perturbée elle aussi par cette cliente hors-norme. Je décidais d'entamer la conversation :

- Bonjour à vous, Mademoiselle, lui dis-je en souriant. En quoi pouvons-nous vous être utile ? J'espère que nous pourrons vous aidez à trouver votre bonheur !

Je paraissais enthousiaste, mais au fond de moi je ne cessais de contrôler les sentiments profonds de la jeune hybride : on n'était jamais assez prudent surtout dans de telles circonstances.

Après avoir regardé le passé de l’une d’entre elle, je savais que la grande et charmante jeune femme aux cheveux brun se prénommé Héléna et qu’elle était la mère de la jeune fille se prénommant céleste. Je savais qu’elle était très liée malgré le faite qu’elle ne soit pas du même sang car dans la vision de leur passé, je voyais céleste se faire mordre pas Héléna. J’avais donc la confirmation qu’elle était des vampires.
Je crois par ailleurs qu’elles savent aussi qui je suis sans savoir pour autant l’existence de ma famille. Elles mon parut être très enthousiasme mais je doute qu’elles le soient vraiment a moins d’avoir une grande confiance envers tout les vampires, j’apprécié tout de même leurs effort qui sans le savoir était justifiée, car je n’étais pas du genre a causé des problèmes, je ne suis pas le vampire que l’on peut voir au premier abord, il ne faut pas me jugée mais mieux me connaitre. Elle ne m’on pas jugée et j’appréciais cela. La jeune femme me répondu en première :

-Bonjour à vous, Mademoiselle. En quoi pouvons-nous vous être utile ? J'espère que nous pourrons vous aidez à trouver votre bonheur !

Je m’apprêtais a lui répondre mais sa fille me demanda avec un grand sourire :

-Que pouvons nous faire pour vous?

C’était un accueil très chaleureux, que l’on n’a pas le plaisir de trouvé chez tout les commerçant.
Je leur répondu donc gaiement :

- J’aimerais trouver un bouquet ou une composition qui permettrai de faire ressentir un sentiment très fort, mais je n’arrive déjà pas à choisir qu’elle serait le plus touchant entre une composition et un bouquet ? Avez-vous des conseilles pour m’aidé a me décidé. Vous avez tellement de choix dans votre boutique et toute ces fleur son magnifique. Il est difficile de choisir, vous avez du talent.

Le faite qu’elles soient des vampires végétarien (comme ma vision me l’avais montré) ne me dérangé pas, j’en été même plutôt satisfaite, je suis au moins sur qu’il n’arrivera rien, que aucun humain ne souffrirai si jamais la soif me prenais. Se qui a mon avis ne risquai pas d’arrivai car j’avais prévu mais on ne sait jamais.

Aucun doute, ma fille me connaissait parfaitement bien. A peine j'eus prononcé mes salutations pour notre cliente innatendue que ma fille me murmura d'une voix calme et si basse qu'aucune autre personne que moi ne put l'entendre :

-Maman, tu peux retourner dans l'arrière-boutique si tu veux. Si il se passe quelque chose, je crierais.

Un léger sourire destiné à fille se dessina sur mes lèvres tandis que je réfléchissais à la meilleure manière d'aborder la situation. Plusieurs options s'offraient à moi et le choix se promettait d'être cornélien... Je pouvais tout simplement user de mon don pour réaliser son souhait et que le bouquet confectionné soit tout à fait celui qu'elle imaginait dans son souhait, ce qui nous la ferait rapidement partir de la boutique. Mais je pouvais également décider de faire durer la conversation et ainsi tenter d'en savoir plus sur elle : toutes les informations sur les possibles êtres extraordinaires peuplant les environs étaient les bienvenues, ne serait-ce que pour notre protection.

Devant cette décision, je décidais de jouer la carte de la prudence et murmurait à ma fille de manière à ce que notre cliente ne puisse comprendre que les mouvements si discrets de mes lèvres décrivaient des mots :

- Je vais bien ne t'inquiètes pas, mais je préfère rester à tes côtés pour le moment : mieux vaut rester sur nos gardes même si ses sentiments sont paisibles.

Céleste ne se défit pas de son sourire et à son tour se montra la plus chaleureuse des commerçantes. Elle était toujours très douce ce qui me fit penser qu'elle réussirait peut-être mieux à discuter avec cette jeune hybride si je n'étais pas à côté... Enfin pour l'instant seule ma fille comptait et ce n'est qu'une fois sa sécurité assurée que je m'éclypserais dans l'arrière-boutique où je pourrais contempler la situation sans craindre rien pour ma fille.

Notre cliente nous adressa à son tour un ravissant sourire avant de nous expliquer comme si de rien était une raison plus que normale à sa présence dans notre boutique :

- J’aimerais trouver un bouquet ou une composition qui permettrai de faire ressentir un sentiment très fort, mais je n’arrive déjà pas à choisir qu’elle serait le plus touchant entre une composition et un bouquet ? Avez-vous des conseilles pour m’aidé a me décidé. Vous avez tellement de choix dans votre boutique et toute ces fleur son magnifique. Il est difficile de choisir, vous avez du talent.

Comme toujours à chaque fois que quelqu'un formulait un voeu en ma présence et que celui-ci était lié à des sentiments sincères, celui-ci se matérialisa dans mon esprit. Je pouvais voir exactement le bouquet qui remplirait la fonction que cette jeune fille voulait obtenir... Le charme des gloriosas rouges lancéolées et aux marges ondulées de jaune, la beauté de très belles amaryllis pourpres et l’élégance des roses parmes. Oui effectivement le bouquet qui répondrait à son souhait était véritablement magnifique. Seul un détail me surpris : il était retenu par une tige au bout de laquelle pointait une seule fleur d'orchidée, une phalaenopsis blanche. Mon esprit tout entier était en admiration devant cette création qui me semblait une des plus belles qui m'ait été donné de voir depuis bien longtemps malgré le fait qu'elle n'était pour l'instant que le reflet d'un souhait.

Devant les sentiments sincères de notre cliente hors norme et mon désir de réaliser ce bouquet à l'aspect si particulier, je ne pus résister. Je jetais donc un regard à ma fille et lui faisait un petit clin d'oeil lui indiquant qu'elle pouvait tenter de converser avec la jeune hybride le temps que je reviennes et dans un dernier murmure inaudible lui confiait :

- Appelles-moi au moindre problème. De toute façon je vous verrais de l'arrière boutique.

Puis vérifiant une dernière fois la sérénité des émotions de celle dont le voeu venait de tant m'inspirer, je fus rassurée. En effet, son calme était toujours authéntique et je ne connaissais personne capable de me tromper aussi longtemps. Je décidais donc de laisser Céleste "seule" avec cette hybride, bien que je savais que je les observerais de l'arrière boutique pour garantir qu'il n'arrive rien de mal à ma fille adorée. Hochant la tête pour confirmer mes intentions à Céleste, j'annonçais avec un enthousiasme non feint mais tout de même teintée d'un soupçon d'angoisse :

- C'est très gentil de votre part pour notre boutique, nous essayons de garder le plus de diversité possible : après tout les fleurs ne vendent-elles pas une part de rêve ? En tout cas, je crois voir parfaitement ce qui pourrait convenir à ce que vous recherchez ! Donnez-moi quelques minutes et je vais voir si je peux essayer de vous faire cela.

Le sourire qui illumina mon visage dû sans nul doute la convaincre et j'ajoutais :

- Je vous laisse en compagnie de ma fille, elle saura vous montrer nos perles en attendant.

Je filais donc me mettre à l'oeuvre dans l'arrière boutique, non sans en laisser la porte ouverte de manière à tout voir et tou entendre...

Suite à ma remarque, j’écoutais attentivement la jeune femme me répondre :

- C'est très gentil de votre part pour notre boutique, nous essayons de garder le plus de diversité possible :
Je me disais en moi-même que cela me semblé tout a fait normal de complimenté leur talent et leur boutique, vu que cela était vrais. J’aimais beaucoup la question qu’elle m’avait pausé après :après tout les fleurs ne vendent-elles pas une part de rêve ? Je trouvais cette question très poétique, et j’acquiesçais d’un discret signe pour ne pas l’interrompre. En tout cas, je crois voir parfaitement ce qui pourrait convenir à ce que vous recherchez ! Donnez-moi quelques minutes et je vais voir si je peux essayer de vous faire cela.

Elles avait l’air très sur d’elles et j’en étais ravis. Je savais que se bouquet allais être magnifique vu toute les magnifique composition qu’il y avait dans la boutique. Le sourire qu’elle affiché me faisait pensé qu’elle allais le faire avec amour et que sa ne le rendrai que plus beau et plein d’émotion. Elles avait l’air pressé de le crée, je ne la reteins pas donc pour savoir se qu’elle allais mettre dedans, je pense que je devrais m’attendre à une belle surprise.
Elle partie donc et me laissa en compagnies de sa fille qui m’avais l’air très charmante. Je m’étais tourné donc vers cette dernière qui m’avait dit :

-Si vous voulez, vous pouvez venir avec moi. Je dois arroser les fleurs de la boutique. Cela vous permettra de les voir.

Cette proposition était très attirante, je lui répondis donc avec plaisir avant de la suivre:

- Je vous suis volontiers, j’aurais tors de ne pas vouloir découvrir votre boutique, donc j’ai été émerveillé juste en regardant la vitrine et l’entré.

Je fis donc le tour de la boutique le temps qu’elle commençait à arrosé les plantes, cette boutique étais tout simplement magnifique, aucun mot ne pourrai d’écrire c’est fleur tellement elle était belle. Après avoir fini mon tour je me rapprochais de la jeune fille qui était toujours entrain d’arrosé les fleur prêt de la vitrine, et je jetai un coup d’œil dehors pour vérifier que Eva ne se baladé pas dans Forks. Se qui m’aurais étonné, mais on est jamais assai prudente pour caché une surprise. Ne l’ayant pas aperçu par la vitrine, j’étais rassuré et je me tournais vers la jeune fille pour me présenter :

- Excusé moi j’ai oublié de me présenter, je m’appelle Brittany McCherry et vous comment vous appelez vous si cela n’est pas indiscret? Cela fait t’il longtemps que vous travaillé ici ? Je ne vous ais jamais vu à Forks. Veuillez m’excusé car quand je suis rentré dans le magasin j’ai cru que vous étiez une cliente. Avais je dit comme si de rien n’étais, comme si je ne savais rien. Vous n’êtes pas au lycée ? Elle avait pourtant l’âge d’une lycéenne, mais je ne l’y avait jamais vu.

J’attendais donc c’est quelque réponse, pour faire plus ample connaissance et engagée la conversation le temps que sa mère fasse le bouquée que je lui avait poliment demandé. Je ne voulais par ailleurs pas plus me servir de mon pouvoir sur son passé et me demandé réellement pourquoi elle n’étais pas au lycée sachant pertinemment son âge.

Elle m'avait répondu:

-Enchantez, je m'appelle Céleste, Céleste Stevens. C'est tout a fait normal que vous ne m'ayez jamais vu, je suis arrivée il y a de cela une semaine. En effet, pas mal de monde se demande si je suis une cliente car je fait très jeune pour mon âge.

Je comprenais mieux désormais pourquoi je en l'avait jamais vu. Elle avait continué:

-Qu'est-ce que vous êtes en réalité? Pardon d'être aussi indiscrète, mais je n'ai jamais vu un être tel que vous auparavant et je suis de nature assez curieuse.

Curieuse ça je l'avais remarqué, cela ne me dérangeais pas, étant moi même curieuse je comprenais. Mais elle était surtout la première à aborder le sujet aussi directement. J'étais d'ailleurs surprise car elle avait réalisé assez vite que j'étais différente. Je décidais donc de lui répondre avec la plus grande discrétion:

- En faite, je ne connais pas grand chose sur la personne que je suis,mais je vais tout de même essayé de t'expliquer. Tout ce que je sais c'est que je suis une hybride. C'est à dire que je suis mi humaine, mi vampire. Peut-êtres que vous connaissez la famille Cullen!!! Ils sont bien plus renseigné que moi à ce sujet. Enfin voilà le peu de chose que je sais de moi. Avais vous déjà rencontré des personne hybride?

Je n'avais pas pu trop la renseigné, mais je ne connaissais pas plus de chose qu'elle sur ce sujet. Ne la connaissant pas beaucoup à par du faits de mes visions, je ne voyais pas se que je pouvais lui dire. Par ailleurs j'étais de nouveau préoccupé par mes origines et cela n'allais pas permettre de faire plus ample connaissance avec céleste. J'espérais donc que Héléna allais arrivé, avec le magnifique bouquet que j'étais impatiente de découvrir. J'espérais tout autant pouvoir revoir céleste pour faire plus ample connaissance, un jour où je ne serais pas préoccupé par de diverse pensée et dans un endroit ou nous pourrions parlé de nos origine sans craintes qu'un humain n'arrive.