Twilight Lunaison est un forum de rpg qui poursuit l'intrigue de Révélation, chapitre de la saga Twilight de Stephenie Meyer. Pour sa renaissance : une nouvelle intrigue, de nouveaux personnages, rejoignez-nous pour écrire l'histoire... |
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| Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] | |
| Auteur | Message |
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Lukas Rendès
| Sujet: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Dim 13 Nov - 17:30 | |
| Lukas gara sa voiture sur la place qui lui était attribuer avec l’achat de l’appartement. Sans lâcher du regard Sateen, il avait conduit jusqu’à chez lui et s’arrêta tout simplement sans avoir eu d’accroc. Ses réflexes vampiriques faisaient de lui un pilote hors pair, inégalable. Mettant les vitesses au point mort et enclenchant le frein à main, il tourna la clef pour couper la voiture. Prenant son temps, il ôta sa ceinture de sécurité et se glissa hors du véhicule, si vite qu’il fut capable d’ouvrir la porte à sa chérie avant même qu’elle ne pose sa main sur la poignée. Elle en descendit et immédiatement après avoir refermé la voiture avec le boitier, il lui attrapa la main et se dirigea vers son appartement.
La nuit était toujours présente, seule la lune qu’il avait longtemps observée à travers la fenêtre du manoir abandonné durant la soirée spécial halloween les éclairait. Quelques lampadaires assuraient un minimum de lumière.
Rapidement ils furent en face des escaliers menant à la porte numéro 89. Là où il vivait et où elle vivrait aussi dorénavant.
Enfonçant la clef dans la serrure il ouvrit la porte et pénétra dans le couloir avant d’y allumer la lumière. Elle le suivit tranquillement tandis qu’il referma la porte derrière elle. Lukas se dirigea ensuite vers l’armoire dans lequel il rangea sa veste et fit quelques pas de côté pour ouvrir le tiroir de la commode de l’entrée d’où il en extirpa un trousseau de clef identique au sien. Il le lui tendit avec un sourire charmeur.
– Tiens, Sateen, les clef de ton nouveau chez toi. Tu viens quand tu le veux, elles t’appartiennent à présent.
Lukas lui adressa un sourire avant de déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Il n’avait pas réfléchie à tous les inconvénients que leur vie à deux représentait pour lui : son odeur, son sang, ne pas la blesser. Il se faisait une liste dans sa tête de chose à éviter et de chose auquel il devait faire attention. Ne pas lui sauter dessus faisait partit des choses qu’il mettait en premier dans cette fameuse liste. Hors, il en mourrait d’envie.
Décidément il était trop amoureux pour y avoir réfléchie et aller voir ailleurs le temps qu’elle soit de son espèce n’était pas permis. Il serait agréable pour lui qu’elle soit sage et qu’elle ne s’amuse pas trop avec lui. Lukas n’était pas d’une patience extraordinaire. Encore moins dans ces jeux là qu’il avait prit l’habitude de pratiquer très régulièrement.
Il se changea alors les idées et voulu proposer un réconfort à sa Sateen. Le temps à l’extérieur était froid et humide, elle ne devait pas être dans une super forme. Il eu l’idée de lui faire couler un bain chaud dans lequel il rajouterait des sels aux parfums de mangue, de pêche ou bien de framboise. Il n’aurait pour le moment que ces trois là à lui proposer. Il entreprit alors de lui en parler tandis qu’elle retirait son manteau :
– Ma Sateen… Tu dois avoir bien froid, aimerais tu que je te fasse couler un bain ? Je peux te proposer d’y rajouter des sels soit à la mangue, à la pêche ou bien à la framboise. Je t’en achèterais d’autre dès demain pour me rattraper du manque de choix de ce soir… Ca te fera le plus grand bien et bien sur je te laisserais dans ton intimité.
Lukas s’était dit qu’il irait regarder la télévision ou bien jouer à la PS3 en attendant qu’elle ne finisse de prendre soin d’elle. Comme s’il l’avait toujours attendu, Lukas avait tous les produits de beauté qu’une femme pouvait rêver d’avoir. Aucun ne pouvait manquer à l’appel : Crème hydratante de jour, de nuit, anticerne, antiride, baume pour les lèvres, maquillage en tout genre, gel douche aux parfums extravagants, dentifrice, shampoing et après shampoing, soin des cheveux… Rien ne manquait. Il ferait tout pour que sa petite princesse ce sente chez elle et soit bien entretenu. Il savait qu’elle aimait avoir tout ça près d’elle. C’est alors qu’il entreprit de s’approcher d’elle pour lui voler un baiser, glissant ses doigts entre les siens et s’appuyant sur la porte. Son autre main alla se perdre dans sa chevelure soyeuse qu’il aimait tant.
Lukas se retira ensuite et embrassa son front avant de l'emmener d'une main vers la salle de bain. Il entra dans celle ci et commença à tourner les robinets pour faire couler l'eau et remplir sa baignoire Jacuzzi.
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| | | Sateen M. Brown Administratrice aux deux visages (Dc Brittany)
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Lun 28 Nov - 11:01 | |
| Nous étions enfin parti de cette soirée mêler de sentiment, d’émotion forte et de révélation plus qu'inimaginable. Moi qui m'attendais à une soirée inoubliable là j'ai été servis je ne peux le nier. Me retrouver seul avec Lukas m’enchantait mais c'était peu être pas une bonne idée non plus vu ce que je venais d'apprendre. Ce qui s'était passé dans cette chambre, juste sous la lumière de la lune, ce délicat reflet qui éclairait nos visages. J'étais perturbé je ne pouvais le nier, mais je ne voulais plus réfléchir, je ne voulais plus penser oublier ce qui faisait l'être humain que je suis, oublier la faculté de penser. Et quoique j’aie pu apprendre aussi inimaginable puisse-t-il être je ne veux pas y penser ou pas ce soir, faire comme si la moitié... La fin de cette soirée n'ait pas eu lieu... vous pensez cela stupide... oublier volontairement une partie de sa vie, un moment et le reporter à plus tard comme si on était libre du temps... Et bien oui peut être mais moi je veux profiter de ce que j'ai vécu en ce début de soirée, je veux me permettre de contrôler juste un soir ce que je vis. Ainsi ce soir j'ôtais les pensées désagréables, au moins pour ce début de soirée, que je passais en sa compagnie. J'étais là à ses côtés, à côté de Lukas, de l'homme que j'aimais. Lukas venait de se garer devant chez lui, sans décrocher son regard du mien. Avant même que je n'eus le temps de poser la main sur la poignée de la porte Lukas l'avait ouverte, ce qui me surpris au plus haut point. Il prit ma main dans la sienne et nous avancions en direction de son appartement, que j'allais découvrir en cette soirée pour la première fois... je faisais comme si tout était normal même si en moi l'angoisse était je tentais de l'oublier Nous étions enfin arrivé devant la porte de son appartement, le numéro 89 serait désormais à jamais gravé dans ma tête, j'allais pas le lâcher quoi qu'il arrive, qui qu'il soit, je l'avais promis, et je ne pourrais le perdre pour rien au monde, je l'aime, c'est ainsi ineffaçable et inégalable. Je suivais Lukas très confiante, j'avais une confiance aveugle en lui depuis toujours et encore plus maintenant que nos sentiment était exprimé. C'est là qu'il s'approcha d'une commode et qu'il me tandis un trousseau de clé en m'annonçant:
– Tiens, Sateen, les clefs de ton nouveau chez toi. Tu viens quand tu le veux, elles t’appartiennent à présent.
Il me fit un ravissant sourire avant de poser ses lèvres sur les miennes décidément ce soir c'était soirée émotion. Tandis qu'il décollait ses lèvres des miennes, je me jetai à son cou, plaquant mon corps contre le sien, et lui donnant un baiser passionné pour lui montrer à quel point j'étais heureuse de ce qu'il me proposait.
- Oh Lukas, tu ne sais pas à qu'elle point ça me fait plaisir, tu viens de faire la plus grosse erreur de ta vie, tu vas devoir me supporter plus que tu n'aurais pu l'imaginer.
À cette instant je m'imaginais réellement chaque jour à ces côtés et ce que je m'étais dits en début de soirée, comme quoi j'oublierais juste en cette fin de journée ce qui avait pu s'avoir entre Eléanore et Lukas plus tôt. Tandis que j'ôtais mon manteau...enfin ma cape, vu que c'est la seule chose qui allait sur ma robe. Lukas me demande:
– Ma Sateen… Tu dois avoir bien froid, aimerais tu que je te fasse couler un bain ? Je peux te proposer d’y rajouter des sels soit à la mangue, à la pêche ou bien à la framboise. Je t’en achèterais d’autre dès demain pour me rattraper du manque de choix de ce soir… Ca te fera le plus grand bien et bien sur je te laisserais dans ton intimité.
Je lui fis un petit sourire, il était si attentionné. Je n’avais pas l’habitude de ce genre d’attention de sa part, notre relation était si nouvelle. Mais j’appréciais, surtout ce soir j’en avais besoin. Il fallait que je lui dise que je voulais faire abstraction juste pour ce soir, de cette fin de soirée quelque peu étrange. Alors que je m’apprêtais à lui répondre et à lui annoncer il s’approcha de moi et m’embrassa, enlaçant ces doigts avec les miens, comme si je vivais ici depuis toujours, comme si nous avions toujours été ensemble…tout ceci était si parfais, lui…nous j’avais l’impression de vivre notre quotidien, comme ci cela avait toujours été comme ça, mais ce n’était pas le cas, c’était un recommencement du nous passé qui sera toujours gravé dans nos cœur. Il glissa son autre main dans mes cheveux et je frissonna, avant de glisser ma main dans son cou tout en lui rendant son doux baiser, j’aimais sentir ses lèvres froide contre ma peau, peu importe si j’avais froid, à chaque fois qu’il me touchait un vague de chaleur, un délicieux frisson s’immisçait dans mon corps, me faisant oublier que ça peau pouvait être froide.
-Merci mon amour c’est une très bonne idée, j’accepte volontiers …le choix que tu me propose est déjà très bien mon cœur, je prendrais la pêche. Il est vrai qu’après cette soirée ça me fera du bien. Lukas avait déposé un baiser sur mon front et m’avait pris la main pour me montrer la salle de bain, c’est alors qu’il fit couler mon bain, dans cette magnifique salle de bain. Je lui fis un petit sourire tout en confirmant le parfum qu’il m’était dans l’eau. Puis je me rapprochai de lui et déposa un baiser sur ces lèvres avant de dire :
-Lukas…ce que je vais dire va peu être paraître étrange mais… ce soir j’ai décidé d’oublier une partie de cette soirée, juste pour cette soirée, je veux oublier et profiter de cette soirée à tes côtés comme si la fête d’Alice c’était arrêté au moment où nous nous sommes dis ce que nous avions sur le cœur… ou nôtre amour était révélé…au moment où tu es revenu vers moi et que tu m’as embrassé, pour moi là soirée s’arrête là, pendant ce moment magique.
Je plongeai mon regard dans le sien en attente d’une réaction, j’avais conscience que c’était étrange comme comportement, mais je voulais juste une soirée avec lui…rien d’autre, pas d’histoire ou d’existence étrange, juste deux personne qui s’aime.
-Lukas je veux juste passer une soirée normale, entre amoureux, profitant de cet amour révélé au grand jour, passer chaque instant enlacé dans tes bras. Tu veux bien que l’on fasse abstraction de la fin de soirée? Juste ce soir, nous créer notre réalité pour ce soir, et rentrer dans les vraies réalités demain ?
J’écoutais sa réponse avec la plus grande attention j’avais tellement peur qu’il me prenne pour une folle, mais j’avais trop de sentiments, trop de pensées que je ne voulais plus pour ce soir, mon cœur allait lâcher sinon. Il arrêta de faire couler l’eau du bain et alors qu’il allait franchir la porte pour me laisser seul, je l’interpellais me rendant compte d’une chose.
-Mon amour tu peu m’aider à défaire ma robe s’il te plait ? Cette fermeture en corset est vraiment fragile et difficile à attacher comme à détacher. Ma mère à dû m’aider à l’attacher et je serais incapable de la défaire seule.
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| | | Lukas Rendès
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Mar 29 Nov - 19:50 | |
| Lukas posa son double de clef dans la main de la jeune femme en face de lui avec un petit sourire, inquiet de sa réaction. Celle-ci ne se fit pas attendre longtemps :
- Oh Lukas, tu ne sais pas à qu'elle point ça me fait plaisir, tu viens de faire la plus grosse erreur de ta vie, tu vas devoir me supporter plus que tu n'aurais pu l'imaginer.
Je ne savais quoi dire ou quoi faire pour la réconforter, lui dire que toute cette histoire n’était qu’un jeu et que rien n’était véritable. J’avais beau retourner la situation sous tout ses angles je ne pouvais pas lui cacher la vérité, elle paraissait si troublée et pourtant elle était d’un calme légendaire. J’admirais le sang froid dont elle faisait preuve, acceptant de me suivre malgré qu’elle ai appris si violement ce secret que je lui avais sommé de découvrir. Rien ne serait plus pareil, elle pourrait faire du jour au lendemain un rejet total de son amour pour moi et de ma personne : je n’avais rien à lui dire et accepterais ce douloureux choix. Je me pris alors à vouloir satisfaire la moindre de ses envies, à la traiter comme si elle était déjà à moi, ma princesse. J’avais donc eu dans l’idée qu’un bain chaud lui ferait le plus grand bien, détendant le moindre de ses muscles et reposant son esprit. Tout lui paraîtrait plus clair après avoir passé une bonne nuit de sommeil. Par chance j’étais prévoyant et j’avais dans ma chambre un lit des plus confortables. Je le lui proposerais après tandis que j’irais passer le temps en faisant une activité qui devrait m’occuper une petite partie de la nuit.
- Merci mon amour c’est une très bonne idée, j’accepte volontiers …le choix que tu me propose est déjà très bien mon cœur, je prendrais la pêche. Il est vrai qu’après cette soirée ça me fera du bien.
Elle me demanda un bain avec les sels sentant la pêche. Je m’empressais de les lui verser et de les mélanger à l’eau tandis que de la bué commençait à apparaitre sur le miroir. Sateen semblait tellement troublé que je n’osais pas recroiser son regard, surtout maintenant que mes lentilles de contact s’était dissoute à cause du venin. Mes yeux rouges sang n’étaient pas ma fierté, mais je n’avais pas eu le temps d’y remédier vu que chaque seconde d’attention était pour elle. J’avais comme un sentiment de peur qui habitait mon corps en l’instant, j’étais paniqué à l’intérieur de savoir qu’elle avait le droit de m’abandonner. Je ne voulais pas la perdre. Pas encore !
Accroupie près de la baignoire les yeux voguant sur l’eau parfumé, je me laissais aller à réfléchir, à écouter chacun des mots qu’elle me soufflait d’une voix inquiète, moins vive qu’à l’accoutumé. J’aurais eu des frissons si je l’avais pu, en ce moment j’étais près à faire tout ce que je pouvais pour obtenir un seul de ses regards empli de son amour pour moi.
Je ne me reconnaissais pas. Lukas Rendès était près à tout pour garder une femme qui ne le menait même pas par le bout du nez ? Elle m’avait transformé, faisant de moi son esclave. Je ne pouvais la fuir, je ne pouvais même pas y songer un instant. J’étais sous son charme, sous un contrôle qui s’était imposé à moi sans que je ne le voie venir. Qu’elle étrangeté que ce phénomène là… Qui était t’elle vraiment ?
Ses pensées voletèrent encore plus loin, dans le futur, imaginant leur prochaine discussion assis autour de la table du salon pour savoir s’il pouvait se donner une chance, s’il pouvait donner une chance à leur amour. Elle avait accepté les clefs de son appartement en lui disant qu’il le regretterait très vite, car elle y serait toujours. Cette phrase lui avait réchauffé le cœur, façon de parler bien sur. Pour le moment elle ne voulait que lui, à chaque seconde et pour l’éternité ? Ce serait un sujet à aborder par la suite mais uniquement lorsqu’elle serait prête à l’entendre.
- Lukas…ce que je vais dire va peu être paraître étrange mais… ce soir j’ai décidé d’oublier une partie de cette soirée, juste pour cette soirée, je veux oublier et profiter de cette soirée à tes côtés comme si la fête d’Alice c’était arrêté au moment où nous nous sommes dis ce que nous avions sur le cœur… ou nôtre amour était révélé…au moment où tu es revenu vers moi et que tu m’as embrassé, pour moi là soirée s’arrête là, pendant ce moment magique.
Elle s’arrêta un instant pour plonger son regard dans le sien, mais Lukas était dans ses pensées et ne s’en rendit pas tout de suite compte. Sateen reprit alors sur la même lancée :
Lukas je veux juste passer une soirée normale, entre amoureux, profitant de cet amour révélé au grand jour, passer chaque instant enlacé dans tes bras. Tu veux bien que l’on fasse abstraction de la fin de soirée? Juste ce soir, nous créer notre réalité pour ce soir, et rentrer dans les vraies réalités demain ?
Lukas releva ses yeux rouge sang sur le doux visage de cette magnifique femme en face de lui. Elle semblait elle aussi le regarder. D’un signe de la tête il approuva ce qu’elle venait de lui dire. Elle avait raison, aucun des deux ne devaient y penser s’il voulait encore profiter de cet instant magique sous la lumière de la lune dans ce vieux manoir abandonné. Quel lieu lugubre pour une si belle histoire !
Lukas en éprouvait plus de plaisir encore, le contraste lui plaisait tout comme celui dans « la belle et la bête ». Un si jolie moment serait comparé à Belle tandis qu’un tel endroit serait le prince maudit par la sorcière. Et pourtant, la réunion des deux engendrait une histoire des plus merveilleuses, idéal, ressemblant à un conte de fée pour adulte.
Lukas ne savait que dire ou bien même que faire sans avoir l’impression que ce serait déplacé vu la soirée qu’il avait eu. Il ne voulait pas l’effrayer maintenant qu’elle « savait ». Il en fut comme pétrifié, pas totalement à son aise et silencieux, ce qui du surprendre sa compagne puisque ce n’était pas dans son caractère. Il ne répondit pas tout de suite, voulu tendre la main vers elle pour la lui attraper mais ne le fit pas. Chacun des mots que son cerveau lui soufflait lui amenait une vive douleur, les sentiments étaient vraiment une arme puissante. A jamais ils vous détenaient et vous tuaient, petit à petit sans moyen de défense. Comment un être aussi fort et aussi sanguin que lui pouvait se montrer si vulnérable ? Si « humain » ? Il croyait pourtant avoir perdu son côté de petit garçon ayant besoin de sa mère. Là, il avait besoin des bras de Sateen. Alors toujours sans un mot, réussissant à faire un pas puis un second, il se blottit la tête dans le cou de sa bien aimé, se retenant de faire le moindre faux pas. Il ferait tout pour la préserver. Puis, il releva ses yeux et la fixa avant de poser sur ses lèvres un tendre baiser. Aussi doux qu’une plume projeté dans les airs par le vent, aussi doux que de la soie sur une peau débarrassé de tout vêtement. Il avait l’impression de se revoir petit, lorsqu’il venait chercher du réconfort auprès de sa mère lorsqu’il trouvait que la vie était trop dure. Là, il voulait rester avec elle pour la fin de la soirée, rester à jamais contre son corps chaud avec un cœur qui battait. Ce que lui n’avait plus… C’était pourtant le cœur qui permettait de s’exprimer, de faire ressentir tout ce que l’on ressentait pour quelqu’un, de faire vivre son corps et d’alimenter une vie d’amour. Ne pas avoir de cœur était donc un signe funeste de mort, de douleur, de solitude. Rien n’était plus pareil lorsque l’on passait d’une vie dans la chaleur à une vie froide. Votre cœur devenait tel de la pierre, incapable de sentiment, de ressentiment et d’émotion ; seulement présent pour apporter la mort, le réconfort de savoir que l’on vole une vie, que l’on offre à un autre ce qui nous est à jamais refusé. Tout ça il avait eu le temps de le vivre, plutôt deux fois qu’une, car même humain, il arrivait qu’il se comporte tel un monstre, faisant tout pour écraser son prochain et triompher. En y réfléchissant bien des années après, il en avait tiré les conclusions qui s’imposaient : rien de bon n’en était ressortit. Une seule porte lui avait été ouverte et sans hésiter longuement il l’avait franchit, celle de se dévoiler à l’autre et de l’accepter uniquement pour ce qu’il est et non pas ce qu’il peut vous apportez. Sateen était son ange libérateur.
C’est seulement après s’être délivré de ces pensées prenantes qu’il répondit à sa fiancée. Ses réflexions n’avaient pas pris plus de deux minutes, minutes qu’il avait passé dans les bras de son amour.
- Tu as raison mon amour, nous aurons tout le temps d’en parler. En attendant j’ai une demande que je dois te faire et qui n’aurait pas du avoir lieu tel qu’elle la été tout à l’heure… Je veux que l’on se fiance tous les deux, je veux que tu m’appartiennes et je te donne mon éternité, ma vie t’appartiendra. Fait de moi ce que tu veux. Mais ne me donne pas de réponse pour le moment, ma demande est précipitée je le sais bien. Prends tout ton temps et dès que tu seras prête, tu sauras où me trouver. Je t’attendrais autant qu’il me sera donné de le faire.
Lukas posa son doigt sur les lèvres fine et douce de Sateen lui intimant l’ordre de ne pas se précipiter. Il voulait être sûr de sa réponse. Elle la lui donnerait le moment venu. Alors Lukas se détacha d’elle pour aller éteindre l’eau du bain et lui fit un clin d’œil avant de se diriger vers la porte de la salle de bain pour en sortir et en fermer la porte. Sa voix résonna, elle l’interrompit alors :
- Mon amour tu peu m’aider à défaire ma robe s’il te plait ? Cette fermeture en corset est vraiment fragile et difficile à attacher comme à détacher. Ma mère à dû m’aider à l’attacher et je serais incapable de la défaire seule.
Lukas se retourna et l’observa surprit. Non, il ne pouvait pas le faire sans lui arracher sa robe, sans l’embrasser avec passion et lui faire ce qu’il aimait faire à toutes les femmes qui passait dans son lit. Lukas hésita, recula d’un pas et la regarda presque avec un sourire. C’était quoi cette tactique ? A quoi jouait-elle ? Il baissa la tête tout en rigolant un petit peu l’air « beau goss, je le suis et je le sais » et la releva pour lui lancer son plus beau sourire et de sa voix la plus charmeuse il répondit :
- Sateen… Ce que tu me demande est difficile. Je dois sans cesse contrôler les vague d’émotion qui m’envahisse et me… perturbe, lorsque je suis avec toi. Et là tu me demande de t’aider à t’enlever ta robe parce que la fermeture est fragile ? C’est un risque que tu prends… Le risque de voir ta robe déchirée. Je sais ce que je vais faire, je vais m’appuyer sur le coin de cette porte et te regarder le faire. C’est plus sûr.
Il sourit et rigola légèrement avant de croiser les bras sur son torse musclé et de s’appuyer sur le rebord de la porte comme il l’avait indiqué, le regard curieux et traduisant chacune des émotions qui passait en lui, surtout l’envie.
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| | | Sateen M. Brown Administratrice aux deux visages (Dc Brittany)
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Mer 30 Nov - 17:44 | |
| J’avais désormais les clés de son appartement et je pouvais venir dès que je le désirais, ce qu’il ne devait pas savoir c’est que j’allais souvent venir vu que lui je le désirais plus que tout.
Je savais ce qu’il était désormais, je savais son secret…mais j’avais décidé de ne pas y penser ce soir, ce qui allait être relativement dure vu la couleur de ces yeux, mais depuis le temps que je le connaissais, il ne m’avait jamais fait de mal, je lui avais accordé toute ma confiance, et bizarrement cela n’a pas changé avec ce que j’ai appris de lui… Jamais je n’aurais cru possible ce qu’il est, mais je n’ai pas l’intention de le fuir car je suis sûre d’une chose, c’est que je l’aime à la folie, qui qu’il soit quoi qu’il fasse… S'il avait eu envie de me tuer il l’aurait fait depuis bien longtemps. Je sortis de nouveau ces pensées de mon esprit bien décidé de ne les faire ressurgir que demain
J’étais néanmoins surprise de la réaction de Lukas, pourquoi changeait-il de comportement depuis que j’étais au courant. Il n’avait pas à changer pour moi, je l’aime comme il est… pourquoi se faisait-il si silencieux. Il ne bougeait quasiment pas, et c’est ça qui était effrayant, mais comme pour contredire cette pensée c’est à cet instant qu’il avança vers moi et blottit sa tête dans mon cou, ce qui déclencha un frisson en moi, comme à chaque fois que sa peau touchait la mienne. Il avait par la suite posé un doux baiser sur mes lèvres qui encore une fois me fit frissonner, tout en lui me comblais, il était l’inspiration de mon désir, j’avais sans cesse envie de l’embrasser mais me retenais…j’aimais quand sa main se posait sur ma peau, ou que ces doigts s’enlaçaient avec les miens, ou encore qu’il fasse glisser sa main dans mes cheveux. Je l’aimais, le désirais, le chérissais, tout en lui m’attirait. Mon cœur s’accélérait tandis que nos corps étaient collés. Ce câlin, être serré dans ces bras était un pur moment de bonheur, qui me sembla bien trop cour comme à chaque fois que ses lèvres se posaient sur les miennes. Mais Lukas entrepris de me répondre :
- Tu as raison mon amour, nous aurons tout le temps d’en parler. En attendant j’ai une demande que je dois te faire et qui n’aurait pas du avoir lieu tel qu’elle la été tout à l’heure… Je veux que l’on se fiance tous les deux, je veux que tu m’appartiennes et je te donne mon éternité, ma vie t’appartiendra. Fait de moi ce que tu veux. Mais ne me donne pas de réponse pour le moment, ma demande est précipitée je le sais bien. Prends tout ton temps et dès que tu seras prête, tu sauras où me trouver. Je t’attendrais autant qu’il me sera donné de le faire.
Je fus d’abord soulagé qu’il ne me prenne pas pour une folle de vouloir lors d’une soirée me faire croire que je peux contrôler ma vie, le temps passé pouvant être oublié. Par ailleurs j’étais touché flatté de ses paroles, cette nouvelle qui avait apparu promptement et son annonce lors d’halloween prenait enfin la forme qu’elle aurait dû prendre au départ…il voulait que je sois sienne, et je voulais qu’il soit mien. Il est vrai que j’airais rêvé d’une demande posée, bien présentée, mais la demande avait tant d’importance en elle-même que tout le subterfuge qui aurait pu être créé à côté n’aurait été que romance, car tout ce qui m’importait, c’était lui pour toujours, pour l’éternité. J’avais envie de lui répondre, mais celui-ci m’en empêcha et posa un doigt sur mes lèvres. Je lui voulus, car j’avais envie de lui appartenir maintenant tout de suite, être sûre qu’il ne m’échappe jamais. Mais il ne m’en laissa pas le droit, je fus légèrement triste lorsqu’il se décolla de moi, tandis qu’il allait éteindre l’eau et s’apprêtais à partir, je lui avais alors demandé de m’aider à défaire ma robe, car à moins d’être contorsionniste je n’arriverais jamais à l’ôter seul. La fermeture semblable aux fermetures de corset était vraiment trop complexe à défaire seul et aussi fragile, je savais que Lukas pouvait faire preuve de délicatesse et d’habiliter. Il s’était retourné très surpris, ce qui ne m’étonna pas vu ma demande. Lukas était hésitant, je le voyais bien, l’avais-je choqué ? Il me fit un petit sourire. Puis il eut un bref petit rire, à cet instant, j’aurais voulu être dans sa tête savoir à quoi il pensait …puis il me fit un autre sourire auquel je répondis encore instinctivement, je ne pouvais y résister, ce petit sourire était complètement irrésistible, puis d’une voix qui me faisait fondre il me répondit :
- Sateen… Ce que tu me demandes est difficile. Je dois sans cesse contrôler les vagues d’émotion qui m’envahisse et me… perturbe, lorsque je suis avec toi. Et là tu me demande de t’aider à t’enlever ta robe parce que la fermeture est fragile ? C’est un risque que tu prends… Le risque de voir ta robe déchirée. Je sais ce que je vais faire, je vais m’appuyer sur le coin de cette porte et te regarder le faire. C’est plus sûr.
Je lui souriais à nouveau et rigolai légèrement de ses paroles, oui j’étais joueuse, mais cette fois si je n’avais pas pensé à mal, loin de là. J’étais heureuse de savoir qu’il me désirait à ce point, et très flattée, mais en même temps j’étais en quelque sorte prisonnière de cette robe… seul lui pouvait m’aider et tant pis s'il déchirait ma robe, oui je l’adore cette robe, mais je ne peux de toute façon l’enlever seul. Je le regardai alors s’appuyer contre la porte et croiser ses bras sur son corps parfait, que croyait-il, qu’il était le seul à avoir des désirs ? Sa façon de me regarder, sa façon d’agir, en lui tout me fais succomber et cette attitude beau goss qu’il adoptait le différenciait des autres…en temps normal je n’aimais pas trop ce côté je suis beau et je le sais, mais chez Lukas sa ne me gênait pas, ça m’attirait encore plus irrésistiblement. Je m’approchai de lui, tout en lui faisant un petit sourire, plongeant alors mon regard dans ses yeux rouges qui me faisait frissonner rien que de les regarder je lui dis :
-Mon amour…tout d’abord tu m’interdis de te donner une réponse à la plus belle demande qu’on m’ais faite, et prononcé par la plus belle des personnes que je connaisse.
J’affichai une petite mine boudeuse sans réellement l’être et continuai :
- Et maintenant tu refuses de me libérer de cette robe ! Je te désir aussi, bon peut-être pas de la même façon que toi, ça j’ai bien compris, mais si tu ne m’aides pas à enlever cette robe je n’aurais que trois solutions…
Je laissai un petit temps, me rapprocha de lui et posa ma main sur son torse :
- Premièrement je prends mon bain tout habillé, et ça n’aurait pas grande efficacité à par abîmer ma robe. Et ça ne serait pas très confortable.
Je glissai mon autre main dans son cou et l’embrassa avant de continuer à nouveau :
-Deuxième choix : je suis sûre que tu es délicat et que tu peux réussir à m’enlever cette robe sans lui faire du mal. Dans le cas où tu n’y arrives pas, et bien je serais un peu déçu pour ma robe, mais au moins tu auras essayé et je ne serais plus coincé dans cette robe.
Je me décollai de lui et lui souriait :
-Quant au troisième choix sans aucun doute celui qui va le moins te plaire, en tout cas c’est celui que j’aime le moins : et bien je rentre chez moi, demande à ma mère d’enlever ma robe, mais je ne reviens pas, et donc je ne profite ni de toi, ni de mon bain, plus de baiser, plus de câlin et plus ta peau contre la mienne…
Je le regardai les yeux interrogateurs. En attente d’une réponse, j’espérais plus que tout qu’il choisisse la deuxième…car de toute façon s’il choisissait la première c’était une question piège et je le prendrais certainement mal, s’il me répond la première je ne lui mettrais pas une baff car vraisemblablement j'aurais plus mal que lui, mais je prendrais une décision complètement à contrecoeur et franchirais la porte de son appartement…et devrais rentrer à pied, vu qu’il n’y a plus de taxi ici à cette heure si. Et que j’avais malencontreusement oublier mon portable. Je voulais qu’il réagisse et m’apprêtais à jouer avec le feu, je m’approchai de nouveau de lui, glissa ma main dans ses cheveux, plaqua mon corps contre le sien, tandis que mon autre main se glissait sur son torse, et déposa un baiser sensuel sur ses lèvres…me doutant qu’il ait du mal à y résister. |
| | | Lukas Rendès
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Mer 30 Nov - 19:50 | |
| Je la regardais toujours avec des yeux gourmands lorsqu’elle me répliqua :
Mon amour…tout d’abord tu m’interdis de te donner une réponse à la plus belle demande qu’on m’ais faite, et prononcé par la plus belle des personnes que je connaisse. Et maintenant tu refuses de me libérer de cette robe ! Je te désir aussi, bon peut-être pas de la même façon que toi, ça j’ai bien compris, mais si tu ne m’aides pas à enlever cette robe je n’aurais que trois solutions…
Elle se tu un instant comme pour faire entrer le suspens dans la conversation. Elle se rapprocha et posa sa main sur mon torse avant de reprendre :
Premièrement je prends mon bain tout habillé, et ça n’aurait pas grande efficacité à par abîmer ma robe. Et ça ne serait pas très confortable.
Son autre main se glissa dans mon cou et ses lèvres sur les miennes avant de continuer :
Deuxième choix : je suis sûre que tu es délicat et que tu peux réussir à m’enlever cette robe sans lui faire du mal. Dans le cas où tu n’y arrives pas, et bien je serais un peu déçu pour ma robe, mais au moins tu auras essayé et je ne serais plus coincé dans cette robe.
Sateen se décolla alors de moi et me fit un de ses plus beau sourire et termina sa phrase :
Quant au troisième choix sans aucun doute celui qui va le moins te plaire, en tout cas c’est celui que j’aime le moins : et bien je rentre chez moi, demande à ma mère d’enlever ma robe, mais je ne reviens pas, et donc je ne profite ni de toi, ni de mon bain, plus de baiser, plus de câlin et plus ta peau contre la mienne…
Je la regardais alors sans savoir quoi faire où même comment réagir. Tout ce que je désirais était d’obéir à ses ordres et de lui retirer cette robe qui pourtant lui allait si bien et tout ce que mon instinct me dictait allait dans ce sens. Pourtant, ma raison m’empêchait d’agir. Je savais ce qu’il allait advenir de moi une fois que je lui aurais porté assistance : j’allais avoir encore plus envie de la garder dans mes bras et de lui souffler au creux de l’oreille « je t’aime ». Déjà que j’avais l’impression que tout allais si vite entre nous ! Ce soir était spécial, c’était le condensé de millier d’année en quelques heures. Comme si nos âmes s’étaient trouvées depuis la nuit des temps et se trouvait à nouveau réunis dans une nouvelle vie, avec un autre décor mais toujours les mêmes sentiments. Ce qui expliquerais que je ressente tout cet amour rien qu’en la regardant.
Nos âmes parcouraient le temps à la recherche d’une nouvelle opportunité pour s’aimer, pour vivre la continuité de notre rêve. Et si c’était notre dernier tour de piste ? Après tout je savais qu’un vampire ne se réincarnait pas, son âme disparaissait dans le néant de l’univers et jamais ne reparaissait. Celle de Sateen, encore humaine, continuerait le cycle de la vie et me chercherait encore et encore. Je la retrouverais à chaque fois, la suivant sur n’importe quel continent jusqu’à ce que sa vie s’arrête dans mes bras. Je voulais la faire devenir comme moi, ne supportant plus cette recherche interminable et cette attente de tous les instants. Ce qui me charmait le plus était qu’à chaque fois je redevais la séduire… C’était la partie la plus intéressante. Alors oui je connaissais bien ses ancêtres, j’avais déjà aperçu cette femme que l’on avait vu ce soir à nos côtés, cette Eléanore d’Ambroisie. Tout ça j’avais pu le suivre à distance, guettant la descendance de sa sœur…
Cette parcelle de souvenir m’était revenu en mémoire sans savoir pourquoi. Seul Sateen était capable de faire ça. Je me posais la question du don qu’elle aurait en tant que vampire car un être aussi doué qu’elle ne pouvait pas passer à côté d’une capacité exceptionnelle ? Non. Sûrement qu’elle aurait la capacité de voir les évènements passés dans d’autres vie. C’était un don assez pratique et je ne sais pourquoi il me vint soudain à l’esprit.
Sa peau blanche légèrement éclairé par la lumière artificielle de ma salle de bain me tira de mes pensées, m’imposant un nouveau relent d’amour. Oh Sateen… Comme je te voulais. Si tu savais ce que tu provoque en moi… Sont les mots que j’aurais aimé lui dire dans l’instant mais rien ne sortit, elle en avait déjà assez eu pour ce soir et si je me montrais trop romantique, elle s’en lasserait. Je devais être le même qu’à l’habitude, l’homme fort qui ne laissait percevoir ses émotions qu’en présence de celle à qui il avait donné son cœur. Mais pas trop quand même… Je devais être fort pour la protéger de tous les dangers, pour la faire vivre continuellement sans peur de la perdre à nouveau.
- Sateen… Je vais essayer mais je ne te promets rien. La seconde solution est la plus raisonnable à mes yeux… Et aux tiens probablement aussi.
Lukas décroisa ses bras et s’approcha de la jeune femme doucement. Le temps lui sembla une éternité au moment où il se plaça derrière Sateen et déposa ses doigts froids sur le cou de la jeune femme, les faisant glisser sur ses épaules. Il retint sa respiration pour ne pas être troubler par son parfum et perdre tout ses moyens. Ainsi tout fut plus facile, du moins en apparence, car à l’intérieur de lui tout s’affrontait et se déchainait tel un ouragan d’émotions. Une expérience à vivre à condition d’aimer les sensations fortes !
Ses doigts se déposèrent alors avec légèreté sur la fermeture fragile réunissant le tissu de la robe. Il la fit glisser aussi lentement qu’il le pu, suivant chaque mouvement fait par ses mains. A mesure que la fermeture glissait il apercevait le dos de la jeune femme. Il s’arrêta alors à la fin de celui-ci, ne pouvant descendre plus bas et ne le voulant pas. Une fois sa tâche faite il ôta ses mains et replaça les longs cheveux de Sateen en place avant de les écarter lentement pour y déposer un tendre baiser dans le creux de son cou. Ses mains voulurent se déposer sur les hanches de la jeune femme et la serrer tout contre lui mais il ne le fit pas, simplement il murmura :
– Voilà… Va prendre ton bain maintenant.
Il fit un pas en arrière puis un second et enfin avança vers la porte. Lukas posa sa main sur la poigné et la retira presque aussi vite. Son regard se perdit sur l’eau encore fumante du bain puis sur Sateen.
Lukas esquissa un sourire charmeur et amusé avant de refermer la porte derrière lui mais cette fois ci en restant dans la salle de bain. Il retira son tee-shirt et le jeta dans un coin de la pièce pour exposer son torse musclés et blanc. Il prit un malin plaisir à se dévoiler ainsi à la jeune femme puisque maintenant il était sûr qu’elle ressentait exactement ce qu’il avait subi un peu plus tôt en lui retirant la fermeture de sa robe. Son cœur battait vite et fort, il en sourit une nouvelle fois et plaça ses mains dans ses poches tout en gardant son regard sur elle. Lukas prit la parole lorsque le temps d’observation donné fut totalement écoulé :
– Maintenant je te souhaite un très bon bain ma belle.
Sur ces derniers mots il ouvrit la porte et sortit de la pièce.
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| | | Sateen M. Brown Administratrice aux deux visages (Dc Brittany)
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Mer 30 Nov - 21:47 | |
| J’avais joué avec le feu, j’en avais conscience. C’était risqué, j’aurais pu faire ressortir un côté de lui trop désireux, mais j’aimais le jeu…cependant bien après de l’aimer lui… je serais prête à n’importe quoi pour lui, à mourir s’il le fallait. Je me demandais réellement comment il allait réagir et scrutais la moindre de ses réactions avec la plus grande attention. Un sourire radieux illumina mon visage quand il me répondit enfin :
- Sateen… Je vais essayer mais je ne te promets rien. La seconde solution est la plus raisonnable à mes yeux… Et aux tiens probablement aussi.
J’étais tout simplement heureuse, il allait affronter sa nature son désir pour moi. Mon cœur commençait à s’accélérer au moment où il avait décroisé ses bras et s’était délicatement rapproché de moi. J’eu un incroyable frisson de désir lorsque ces doigt glacé se posèrent dans mon cou, puis sur mes épaules, et je ne pu de ce fait m’empêcher de fermer les yeux. Il retint sa respiration pour ne pas être troublé par son parfum et perdre tout ses moyens. C’est alors dans un mouvement lent et délicat qui entreprit de défaire la fermeture de ma robe. En lui demandant de défaire ma robe je n’avais pas pris l’ampleur de la chose, il me semble…mais depuis l’instant où il avait posé ses mains sur moi et qu’il avait commencé à me défaire de ma robe, je compris, une multitude de sentiment se bousculèrent : notamment le désir, la peur. Je réalisais que c’était un début, je le laissait voir une partie de moi, une partie dénudée de mon corps, et malgré ce que l’on pourrais dire ça n’a rien à voir avec le fais qu’on soit en maillot de bain, surtout que ce soir là pour avoir une certaine allure dans cette robe, j’avais osé une lingerie fine en dentelle noir. Je rougie légèrement à cette idée, si il n’y arrivait pas, si il venait à déchiré ma robe, comment réagirait il quand à mes dessous… Il devrait être impossible de résister à cette fine dentelle qui sculptait mon corps à merveille. Je gardais les yeux fermer, me disant qu’il adviendrait ce qu’il adviendrait et j’avais confiance en Lukas, je savais qu’il pouvait le faire avec une grande délicatesse. Lorsque ces doigts froids arrivèrent en bas de la fermeture ma confiance en Lukas avait eu ses raisons. Il me fit de nouveaux frissonner en déposant un tendre baiser dans le creux de mon cou, à croire que c’était son nouveau passe temps. J’avais toute mes raison d’avoir confiance en lui et j’en étais fier.
– Voilà… Va prendre ton bain maintenant. M’avait il murmuré
Il s’était alors éloigné de moi, près à partir, posant la main sur la porte, je n’avais plus rien pour le retenir. Mais qu’elle surprise se fut quand finalement il ferma la porte derrière lui en restant dans la pièce. A cet instant, avant même qu’il fasse quoi que ce soit mon cœur c’était accéléré incorrigiblement, il m’avait fait son petit sourire charmeur qui me faisait succombé sous son charme à chaque fois…et là avant même que je ne comprenne pourquoi il enleva son tee-shirt et le jeta dans le coin de la pièce, mon regard fut alors immédiatement focalisé sur son corps qui me faisait rêver, ses muscles délicatement dessiné, sa peau bien plus blanche de la mienne. J’avais cru qu’il allait revenir vers moi, et m’embrassé passionnément, cette pensée ayant eu pour effet d’accélérer encore considérablement mon rythme cardiaque. Après cette torture délicieuse il décida finalement de me quitter et de me laisser seule dans cette salle de bain.
– Maintenant je te souhaite un très bon bain ma belle. Avait-il prononcé avant de franchir le seuil de la porte.
Le rythme de mon cœur s’apaisa enfin, difficilement mais il tentait de se rapprocher d’un rythme normal et constant. Je fis glisser la robe le long de mon corps, me délecta de tout vêtement et pénétra ensuite dans le bain. La chaleur de l’eau ayant pour effet immédiat de me calmer, je m’installa confortablement, me vida complètement de toute pensée. Fixa un instant mon regard sur chaque objet de la pièce, avant de regarder le plafond sans but précis…ne pas pensée…ne pas penser à autre chose que lui, que nous. Je resta bien un quart d’heure dans le bain, à ne faire rien d’autre que penser à lui…Lukas que je considérais autrefois comme mon frère, qui sais de moi le moindre détaille, je ne lui ais jamais rien cacher, à par peut être ceux que je ressentais et que je me cachais apparemment à moi-même. J’avais fermé les yeux et m’étais remémoré chaque délicieux moment de cette soirée, la première fois qu’il a posé ses lèvres sur les miennes, que sa main s’est posée sur mes hanches. Qu’il m’a regardé comme jamais il ne l’avait fais…et puis cette demande à laquelle il me demandait de réfléchir, pour moi c’était clair et nette, un « oui » que je mourrais d’envi de lui dire, mais il voulait certainement que je pense à ce que j’ai promis de penser demain, c’est pourquoi je respecte sa volonté et me retiens avec force de ne pas lui répondre… Ce quart d’heure de méditation me fit sortir du bain en un instant, ne penser qu’a lui m’avait donné envie de le retrouver de me blottir dans ses bras. J’étais détendu, mon esprit était reposé. J’essuya alors chaque parcelle de mon corps et remis ma lingerie, puis je pris le temps de me démaquiller, je fus surprise de tout ces produit qu’il possédait. J’hydratais ma peau, me posa un instant me rendant compte que le seul vêtement que je possédais était ma robe et ma lingerie. Mais je ne pouvais décemment pas sortir de la salle de bain dans cette tenue si je voulais le préserver, se serais sinon alors jouer avec ses nerfs et je n’avais pas l’intention de le torturer, loin de moi cette idée. C’est alors que mon regard se posa sur une de ces chemises accrocher à un cintre… un peu trop grande pour moi, mais c’est justement là son avantage. Je ne pouvais pas remettre ma robe c’était bien trop imposant. J’enfilai donc sa chemise, seul tissue recouvrant alors mon corps en plus de la fine dentelle que je portais. Je ne pouvais malheureusement pas faire mieux. Cela ne me dérangeais pas de lui montrer la majeur partie de mes jambes, mais c’est plus pour lui que je m’inquiétais, qu’elle impact cette tenu allait avoir sur lui, une simple chemise, je me sentais vraiment mal pour lui…j’aimais savoir qu’il me désir mais pas si cela devais le faire contenir tout ses actes et en un sens le faire souffrir. Je me leva et décida tout de même de franchir la porte dans cette tenu, car c’était la seul que je possédais…je partis donc à sa recherche, espérant ne pas déclancher une réaction trop puissante en lui…enfin je l’espérais sans l’espérer, c’était une sensation complexe…
Je le trouva enfin assis sur le canapé du salon, il était dos à moi et je n’arrivais pas à voir ce qu’il faisait…peut-être jouait il, ou regardait-il la télé peu importait, je m’inquiétais surtout de sa réaction. C’est donc avant même de pénétré dans la pièce que je lui dis :
-Mon amour ne te retourne pas et ferme les yeux.
Sur ce j’avança vers lui et m’asseyais à ses côtés sur le canapé, me blottissant contre son torse nu et froid…au contact de ma peau chaude se dernier ouvrit les yeux n’attendant même pas que je le lui permette. Je lui fit alors un petit sourire inquiète…
- Euh…Mon amour sa va ?
Lui avais-je murmuré, et avant même qu’il ne me réponde j’avais complété :
-Je suis désolé mon cœur de cette tenu, j’espère que ça ne te met pas trop mal à l’aise…j’ais fais avec ce que j’ai trouvé dans la salle de bain… D’ailleurs j’adore cette chemise…mais je comprendrais mon amour si tu veux que je mette une combinaison de ski.
Je plongea mon regard dans le sien, tandis que lui semblait perplexe…je n’arrivais pas à définir si il était vraiment avec moi ou si il me décrivait. J’eus l’intention de me décoller de lui, mais n’y arriva pas, j’étais si heureuse d’être contre lui …mais aussi inquiète de savoir comment il se sentait. |
| | | Lukas Rendès
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Jeu 1 Déc - 17:55 | |
| Je ne me lassais pas de sa présence, de sa voix et maintenant de son corps. J’espérais en la laissant seule dans la salle de bain avec l’image de moi comme jamais elle n’avait eu l’occasion de la voir, lui procurer autant de frissons et autant d’envie que j’en avais à chaque moment passé à ses côtés. J’étais plutôt satisfait du résultat et jubilait de mon coup vache… Après tout c’est elle qui avait commencée en me demandant de l’aider à lui retirer sa robe. J’avais caché du mieux que je savais le faire les émotions intenses qui venaient de m’envahir, surtout lorsque j’avais pu apercevoir un léger bout de dentelle noir. Elle jouait avec le feu sans savoir de quoi j’étais capable, pourtant si je voulais la garder en vie je devais me contenir car le moindre faux pas et… Non je préférais m’ôter cette horrible image de mon esprit embrumé par l’amour. D’un pas rapide j’avais traversé le couloir et m’étais dirigé dans le salon pour trouver refuge dans le canapé. J’appuyais sur le bouton mettant en marche ma chaine-hifi et écouta le son qui sortait des enceintes installé un peu partout dans le salon. Un son pur et doux qui retranscrivait toute les émotions partagées dans les chansons d’un ancien groupe Français de Rock « Kyo ».
"Dernière danse" résonna, les premières paroles me touchaient toujours autant :
« - J’ai longtemps parcouru son corps, effleuré cent fois son visage, j’ai trouvé de l’or et même quelques étoiles en essuyant ses larmes… »
Je ne savais pas comment il faisait pour trouver des mots qui sonnaient aussi juste. .. Des mots qui me rappelaient un ancien souvenir passé avec Elysabeth… Elie. Comme le temps sans toi pouvait être long, comme tu me manquais, pourtant ce n’était plus du sentiment qui m’habitait autrefois mais plutôt celui d’une longue amitié sans accroc. Voilà, mon amie me manquait. J’avais envie de t’annoncer mon nouveau bonheur mais j’avais peur que tu réagisses « mal » à ça, que tu veuille t’en prendre à Sateen. Je ne te le permettrais pas, bien que je t’aime. Je serais totalement incapable de te tuer, du moins c’est ce que je pense aujourd’hui mais peut être changerais-je d’avis si tu t’avisais de t’en prendre à ma fiancé ? Seul le temps nous le dira.
Une autre phrase tout aussi poignante me fit ressurgir de mes pensées anciennes :
« Je peux mourir demain, ça ne change rien, j’ai reçu de ses mains le bonheur ancré dans mon âme, c’est même trop pour un seul homme… »
Tout était dit dans celle-ci. Je pourrais mourir demain que rien ne changerait pour moi, je le ferais dans la joie et le sourire car j’avais obtenu le meilleur de Sateen, du moins sur la soirée qui s’était produit. Si elle s’avisait de disparaitre à jamais sans moi, je suis sûr et déjà fixé sur le sort que je me réserve. Ce sera un mort à ses côtés. Rien ne serait plus horrible que de vivre une éternité éloigné à nouveau de son âme. Tout est changeant, pourtant j’étais sûr que ça ne serait jamais le cas pour cette décision. Je l’entendis à distance sortir du bain. Déjà ? Etait-elle tout aussi pressé que moi je l’étais de la prendre dans mes bras ? Et c’est là qu’un flash me prit soudain :
Mis à part sa robe, elle avait quoi pour se vêtir ? Rien il me semblait bien, sauf ses délicieux sous vêtement en dentelle noir… Elle était vraiment trop cruelle avec moi ; La torture était bien trop dure et il m’était vraiment difficile de pouvoir y résister. Je tentais de me préparer à l’accueillir sans lui sauter dessus, fermant les yeux pour gagner en concentration mais ce fut encore pire : je la voyais à travers mon esprit dans sa petite tenue. J’ouvris alors les yeux rapidement et secoua la tête de droite à gauche avant de la placer dans mes mains et de respirer un bon coup. Mauvaise idée encore une fois puisqu’elle était dans la pièce et que son parfum envahissait mon être. Elle prit la parole.
Mon amour ne te retourne pas et ferme les yeux.
Après un court moment à me regarder elle ajouta :
Euh…Mon amour sa va ?
Je ne répondis rien me contentant d’observer sa silhouette. Elle vint alors se blottir tout contre moi sur le canapé tandis que je détaillais sa tenue :
Sateen avait prit une de mes chemises… Elle était prévoyante mais encore plus séduisante que dans sa robe. Je fermais un de mes poings sur ma cuisse comme pour absorber les pulsions qui me prenaient puis la laissait s’installer à mes côtés sans dire un mot, sans la fixer dans les yeux par peur de me mettre sauvagement à l’embrasser.
Elle prit alors la parole :
Je suis désolé mon cœur de cette tenu, j’espère que ça ne te met pas trop mal à l’aise…j’ais fais avec ce que j’ai trouvé dans la salle de bain… D’ailleurs j’adore cette chemise…mais je comprendrais mon amour si tu veux que je mette une combinaison de ski.
C’est vrai que ce soir chez moi n’avais pas été prévu, et des vêtements de femme je n’en avais pas. Je lui fit alors un baiser sur le front et de ma main libre attrapait un plaid en bout de canapé pour l’en recouvrir.
- Je ne voudrais pas que tu attrape froid, tu n’es pas encore immunisé contre ma peau glacé et puis ta tenue… Me gêne. Couvre-toi avant qu’il ne t’arrive malheur.
Il ne lui laissa pas le choix. Lukas changea ensuite de cd à distance car c’était une chaine haute technologie qui pouvait contenir cinq cd. Il mit une chanson douce du groupe Scorpion intitulé « Style lovin you »
Sa main vint se poser dans sa chevelure puis derrière sa nuque et ramena son visage contre le sien. Il avait pris le soin de remettre des lentilles de contact brun. Ses lèvres d’un froid polaire vinrent se poser sur les siennes puis son souffle resta à caresser son visage tel une plume. Il lui murmura :
– Sateen je n’en peux plus d’attendre… Je sais que c’est moi qui te l’ai interdit tout à l’heure mais j’ai besoin de ta réponse. J’ai tellement peur de te perdre ma Sateen…
Il se détacha alors d’elle et mit un genou à terre tout en lui tendant un écrin dans lequel reposait une très vieille bague mais qui n’avait pas perdu son charme d’origine ni même sa beauté.
– Elle appartenait à Lola Julia Rendès, ma très chère mère aujourd’hui décédé depuis de longue lune… J’aimerais que tu la porte aujourd’hui, je suis sûr que ça lui aurait fait plaisir que je choisisse une femme tel que toi, elle t’aurait sûrement beaucoup aimé tu sais. C’était une femme formidable…
Il baissa les yeux sur la bague et la retira de son écrin pour la porter au doigt de sa fiancée. La bague était très belle, fine et surtout discrète. Argenté et légèrement entrelacé en son centre pour supporter une petite pierre bleu ou noir selon la lumière.
Lukas espéra de tout son cœur que sa demande serait acceptée et s’il lui avait interdit de lui répondre de suite c’est qu’il avait peur qu’elle fasse le choix douloureux de refuser de lui donner un jour sa main. Il en aurait été blessé.
Lukas releva alors son regard sur le visage de sa future fiancée et ce qu’il y vit le troubla davantage. Le devoir d’un homme lorsqu’il fait sa demande est de ne pas bouger de sa position s’il n’a pas reçu de réponse, alors malgré la pré-réaction de Sateen, son devoir était de garder son genou à terre et de l’observer. Sans un mot, avec un long regard qui traduisait tout ce qu’il aurait aimé qu’elle sache, il lui attrapa la main et la baisa tout en gardant son regard rivé au sien.
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| | | Sateen M. Brown Administratrice aux deux visages (Dc Brittany)
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Jeu 1 Déc - 19:32 | |
| Tandis que je l’avais rejoints dans le salon sur le canapé, j’étais toujours inquiète de sa réaction… je savais qu’il avait du mal à résister lorsque j’étais habillé, et encore plus dès qu’il voyait une partie de mon cœur , alors là qu’il pouvait voir la moitié de mon corps dénudé, je me demandais comment il allait réagir, je ne voulais pas le torturer…mais tout me poussait à me dévoiler à lui, tout d’abord le soucie de la robe, que je n’avais pas pu prévoir, ensuite le fait que je n’ais pas d’autre habit que mes sous vêtement, décidément il allait devoir affronter mon physique plus d’une fois aujourd’hui. Je ne pouvais ressentir ce qu’il ressentait mais la façon dont il le décrivait était intense et je m’en voulais de lui imposer ça. Lorsque je m’étais collé contre son corps, le mien avait été parcouru d’un frisson. Même si se rapprocha venait de moi, sa froideur me surprenait encore, et toucher son corps délicatement sculpté était déclencheur de multiples sensations. Je le vis attraper un plaid pour me le donner, il était mal à l’aise c’était certain et je m’en voulais, à tel point que j’en rougis. Confirmant ce que je pensais il m’avait dit : - Je ne voudrais pas que tu attrapes froid, tu n’es pas encore immunisé contre ma peau glacée et puis ta tenue… Me gêne. Couvre-toi avant qu’il ne t’arrive malheur.
Je déposai donc le plaid sur mon corps en parti dénudé et continuai de me blottir contre lui tandis qu’il changea la chanson de sa chaîne … je reconnus la chanson je ne sais pas par quel miracle. C’était une chanson douce « Style lovin you » de scorpions il me semblait.
Je plongeai mon regard dans le sien, qui était de nouveau brun, ce qui déclancha en moi un petit sourire, cela me touchait qu’il prenne la délicatesse de mettre des lentilles. Il avait par la suite posée sa main dans mon cou et avait rapproché son visage du mien. Son souffle froid me fit frissonner jusqu’au moment où une vague de chaleur traversa mon corps lorsqu’il déposa ses lèvres froidee sur les miennes. Il me murmura par la suite :
– Sateen je n’en peux plus d’attendre… Je sais que c’est moi qui te l’ai interdit tout à l’heure mais j’ai besoin de ta réponse. J’ai tellement peur de te perdre ma Sateen…
Je m’inquiétai sur le coup avant de me rendre compte qu’il parlait de sa demande de fiançailles à laquelle il m’avait effectivement interdit de répondre. Il s’était détaché de moi, et mon sourire s’effaça une fraction de seconde pour revenir lorsqu’il se mit à genoux face à moi tout en me tendant un écrin dans lequel reposait une sublime bague…mon cœur alors s’accéléra sans que je ne puisse le contrôler…je mourrais d’envie de lui crier oui, mais mes yeux se focalisaient sur cette bague. Je réussis enfin à décrocher mon regard lorsqu’il m’annonça :
– Elle appartenait à Lola Julia Rendès, ma très chère mère aujourd’hui décédé depuis de longue lune… J’aimerais que tu la porte aujourd’hui, je suis sûr que ça lui aurait fait plaisir que je choisisse une femme tel que toi, elle t’aurait sûrement beaucoup aimé tu sais. C’était une femme formidable…
Il avait alors décroché son regard du mien et avait pris la bague pour la placer à mon doigt, j’étais de nouveaux en bug sur cette bague de toute beauté... Elle représentait tant, non seulement il me demandait d’être sa fiancée, mais en plus c’était un bijou de famille et donc ayant une grande valeur au yeux de mon fiancé. Je restai donc là focalisé sur cette bague argentée ornée d’une pierre bleu noir qui révélait tout sous charme sous la lumière.
Mon sourire se faisait radieux mon cœur battait à un rythme décadent. Il prit ma main se qui me fit le regardé de nouveau et intensifia mon sourire lorsqu’il y déposa un baiser. J’avais le souffle comme coupée de la splendeur de cette bague et de l’envie qui me prenait, c’est donc tout d’abord une réponse faible que je lui donnai :
-Oui
Puis plongeant mon regard dans le sien après avoir fait pivoter ma main à la lumière, je me jetai à son cou, le serrant fort contre moi, je glissai ma main dans son cou et l’embrassa passionnément. Avant de m’exclamer presque en criant :
- OUI ! OUI ! OUI ! OUI ! OUI ! Lukas je t’aime à la folie et je te veux à jamais.
Je l’embrassa à nouveau et lui fit un de mes sourires les plus radieux tellement j’étais heureuse.
-Mon amour tu n’a pas à avoir peur de me perdre, je veux être tienne et je veux que tu sois mien à jamais, je t’appartiens tout entière, je te confis mon cœur et mon corps.
C’est à cette instant que je réalisai…mon corps, oui effectivement c’était de nouveau le problème j’avais fait preuve d’un peu trop d’ardeur, le plaid n’avait pas eu le temps de suivre mon mouvement de précipitation et voilà que nous étions désormais allongé l’un contre l’autre sur le sol. Dès que je m’en rendis compte, juste le temps de la réflexion, je me décollai de lui et rougie encore gêné de lui faire subir cela, je devrais réfléchir à mes actes la prochaine fois… cela ne me dérangeait pas d’être collé contre lui…loin de là au contraire, mais je devais penser qu’en lui le désir était tel qui pouvait faire des choses qu’il regretterait.
Ainsi j’alla calmement me rasseoir sur le canapé alors qu’en moi l’excitation étais telle que j’aurais pu sauter partout, j’aurais pu me serrer sans limite contre lui et le couvrir de baiser…Mais je devais penser à lui, à ce qu’il ressentait en me voyant, ou encore à mon contact, je devais faire attention et calmer mes ardeur. Tandis que mes joues s’empourprèrent, un certain temps s’écoula avant que je lui présente des excuses :
-Je suis désolé mon amour… Je vais essayer de calmer mes ardeurs s’est promis. Je t’aime tellement je ne veux pas te faire souffrir.
Je souriais à cette idée, rigolais même. Je replaçai le plaid sur mes jambes et plongea mon regard dans le sien légèrement amusé :
- C’est assez étrange de me dire que je dois cacher mon corps à mon fiancée, à toi, l’homme à qui j’ai envie de me donner toute entière. Et tout aussi étrange de me dire que je te torture juste à la vision de mon corps… j’aime savoir que tu me désir je ne peux le nier et je te désir aussi incroyablement, mais ça tu as dû le remarquer. Mais je n’aime pas l’idée que je te force à te contenir face à cela. |
| | | Lukas Rendès
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Jeu 1 Déc - 20:24 | |
| Un sourire comme je n’en avais encore jamais vu se posa sur ses délicieuses lèvres, illuminèrent son visage de lumière. Elle resplendissait comme une femme devant l’autel le jour de son mariage.
Sateen brillait de bonheur et ça se voyait. Lukas ne fut pas surpris de la voir aussi radieuse, il savait comment parler aux femmes et connaissaient les mots qui les touchait. Mais là il ne cherchait pas jouer, à quoi bon ? Elle triompherait toujours sur lui car en amour il était tel un nouveau né, faible et fragile. Il découvrait pour la première fois la force d’un amour incroyable et tellement nouveau. Qui était cette femme pour lui faire ressentir ça ? Elle commença par murmurer un faible :
- Oui
Puis l’instant d’après elle s’emballa et avec une énergie que je ne lui attribuerais pas ce soir si je ne l’avais vu moi-même, elle me répondit :
- OUI ! OUI ! OUI ! OUI ! OUI ! Lukas je t’aime à la folie et je te veux à jamais.
Ainsi elle me voulait à jamais dans sa vie ? Ca tombait bien car ça faisait partit de ses pensées également… Il en était ravis et ne su comment l’exprimer. Le baiser de Sateen lui fit un bien fou, il avait la confirmation qu’il souhaitait. Quel soulagement que d’apprendre que l’être que l’on aimait partageais vos sentiments !
- Mon amour tu n’a pas à avoir peur de me perdre, je veux être tienne et je veux que tu sois mien à jamais, je t’appartiens tout entière, je te confis mon cœur et mon corps.
Lukas réalisa en l’instant qu’elle était allongée sur lui puisqu’elle lui avait sauté dessus mais également que la chemise était suffisamment remontée pour laisser voir son sous vêtement en dentelle noire. Il en fut électrisé et ne cessa de la fixer tout en ce demandant ce qu’il pourrait bien faire pour s’apaiser. C’était vraiment un homme incorrigible… Mais en même temps il avait en face de lui une jeune femme qui aimait jouer avec le feu et que le provoquais même sans le désirer vraiment. Il laissa sa tête retomber sur le sol et resta ainsi allongé, sans bouger jusqu’à ce que Sateen remonte sur le canapé et bredouille quelques mots d’excuse :
- Je suis désolé mon amour… Je vais essayer de calmer mes ardeurs s’est promis. Je t’aime tellement je ne veux pas te faire souffrir.
Elle rigola à l’idée qui traversa son esprit en l’instant, elle me raconta alors :
- C’est assez étrange de me dire que je dois cacher mon corps à mon fiancée, à toi, l’homme à qui j’ai envie de me donner toute entière. Et tout aussi étrange de me dire que je te torture juste à la vision de mon corps… j’aime savoir que tu me désir je ne peux le nier et je te désir aussi incroyablement, mais ça tu as dû le remarquer. Mais je n’aime pas l’idée que je te force à te contenir face à cela.
Lukas eu un sourire mais ne bougea pas, préférant garder ses yeux fixés sur le plafond plutôt que sur cette femme incroyable. Il mit un peu de temps avant de répondre une phrase sans grande cohérence avec le principal sujet :
– Tu sais Sateen… Un jour ma maman m’a dit que le chemin de l’amour était étroit. On ne peut le traverser à deux à moins de ne faire qu’un… Je veux que tous les deux ce soit le cas. Je suis très sérieux et je sais que tu es encore jeune et que tu as toute la vie devant toi pour apprendre, mais j’ai eu le temps de réfléchir à tout ce que je voulais au fur et à mesure de ces années. Il y aura des choses qui me tiendront plus à cœur que d’autre. Mais on en parlera le moment venu…
Il n’en dit pas plus, gardant ses yeux rêveurs sur le plafond blanc. Il se redressa alors sur ses coudes et resta appuyé ainsi à observer Sateen. Une nouvelle chanson débuta et répandit une douce mélodie à travers la pièce, c’était « Comptine d’un autre été » de Yann Tiersen. C’est ce qui le décida à reprendre la parole.
- Cette berceuse que tu entends était la préféré de maman et par conséquent aussi la mienne. J’aimerais pouvoir danser sur cette mélodie le jour où l’on unira nos êtres sur l’autel du mariage. Je t’en parle mais ce n’est qu’une des nombreuses choses que j’aimerais réaliser plus tard bien sur…
Il jeta un coup d’œil sur la pendule qui affichait 01h45. Il était temps que Sateen dorme. Il le lui proposa même pas, se leva et la saisie en laissant volontairement le plaid sur le canapé. Ses mains froides se posèrent pour la première dans le dos et la seconde sous les cuisses. Ainsi il l’emmena dans sa chambre et la déposa sur les draps. Il s’assit devant elle et défit très lentement les boutons de la chemise qu’elle avait enfilée afin de la lui retirer. Son regard s’attarda sur chacune de ses courbes. Lorsque la tâche fut accomplie, il lança le tissu à l’autre bout de la pièce et posa une main dans le dos de Sateen pour la ramener tout contre lui. Une fois qu’elle fut contre son corps gelé, il s’arrêta un moment écoutant les battements de cœur qui se faisait plus fort. Il entendit au loin la musique qui avait changée et était passée sur « Telephone – Je rêvais d’un autre monde ». Il prit alors la parole :
– Tu devrais te reposer ma puce, demain est un autre jour.
La soulevant en même temps que son autre main enlevait les couvertures en dessous d’elle, il la plaça et remis celle-ci sur son corps qui ne cessait de frissonner. Il sourit quand il remarqua que son petit jeu de « je te prends dans mes bras et te fait croire que… » avait eu l’effet voulu. Il en était tellement fier de cette petite vengeance qu’il replaça correctement la couverture jusqu’au cou de la jeune femme avant de l’embrasser sur le front puis sur le bout du nez et ensuite sur ses lèvres.
Lukas posa ses yeux satisfait et gourmand sur Sateen et lui dit :
– Dors bien ma chérie.
Il se leva et éteignit la lumière de la chambre avant de retirer son treillis militaire et de venir se blottir sur le dessus des draps, et non pas en dessous pour ne pas refroidir le lit, et cala sa tête sur son bras replié en dessous. Ainsi son regard ne cessait de fixer celui de la jeune femme. Il murmura un dernier mot avant de la laisser dormir :
- Je t’aime. Ne l’oublie pas. Fait de beau rêve…
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| | | Sateen M. Brown Administratrice aux deux visages (Dc Brittany)
| Sujet: Re: Juste toi et moi [PV : Sateen M. Brown][FINI] Dim 11 Déc - 11:54 | |
| Il rivât son regard sur le plafond, après s’être remit d’un désir flagrant. Puis à ma plus grande surprise, cet homme, mon homme, mon Lukas, mon fiancé…changea complètement de sujet :
– Tu sais Sateen… Un jour ma maman m’a dit que le chemin de l’amour était étroit. On ne peut le traverser à deux à moins de ne faire qu’un… Je veux que tous les deux ce soit le cas. Je suis très sérieux et je sais que tu es encore jeune et que tu as toute la vie devant toi pour apprendre, mais j’ai eu le temps de réfléchir à tout ce que je voulais au fur et à mesure de ces années. Il y aura des choses qui me tiendront plus à cœur que d’autre. Mais on en parlera le moment venu…
Il voulait que l’on ne fasses qu’un et je ne désirais que cela, qu’il soit mien comme je suis sienne et que l’on ne puisse jamais nous séparer. Il avait alors en tête déjà des projet pour nous et cela me comblait, j’esquissa un petit sourire quand il m’avait dit que j’étais jeune, ceci insinuant que lui ne l’étais pas mais ça m’étais égale, en tout cas physiquement il avait tout ce qu’il pouvait apparenté de jeune et séduisant. Il s’était redressé sur ses coudes et me contemplait, je plongeais alors mon regard dans le sien tout en me retenant d’aller de nouveau me serrer contre lui, car pour le moment je ne désirais que lui, être dans ses bras. Une douce mélodie retenti alors dans la pièce, un de mes compositeur préféré : Yann Tiersen, c’était alors la « Comptine d’un autre été » qui me fit rêvasser un petit moment, le temps que mon fiancé reprenne la paroles.
- Cette berceuse que tu entends était la préféré de maman et par conséquent aussi la mienne. J’aimerais pouvoir danser sur cette mélodie le jour où l’on unira nos êtres sur l’autel du mariage. Je t’en parle mais ce n’est qu’une des nombreuses choses que j’aimerais réaliser plus tard bien sur…
Je le vis regarder la pendule et suivit de même son regard, m’apercevant de même l’heure qu’il était. Je n’étais pas fatigué malgré cette heure tardive, l’habitude des fêtes de New York me permettait de tenir longtemps, mais Lukas semblât s’inquiéter de mon sommeil. Il se leva et me saisie dans ses bras. Ses mains froides se posèrent pour la première mon dos et la seconde sous mes cuisses. A ce délicieux contact je frissonnai de tout mon corps, et mon cœur accéléré très légèrement, je profitai du fait qu’il me porte jusqu'à la chambre pour lui répondre :
- Lukas se serait avec plaisir que de danser sur Yann Tiersen, j’adore ce compositeur, et tout les mélodies qu’il a pu écrire. Par ailleurs cette musique à aussi beaucoup d’importance pour moi, j’ai déjà du t’en parlé, mais quand j’étais petit j’allais en vacances chez ma grand-mère et j’avais une petit salle culturelle qui m’étais principalement réservé.
Je me tus un instant pour me remémorer se moment magique que j’avais vécu avec elle, Mary me gâtait bien trop, j’étais une enfant choyé chez ma grand-mère. J’étais dans ma tendre enfance la petit princesse de cette dame charmante qui me portait tous son amour :
-Oui je sais j’étais très gâté mais ce n’est pas à la que je veux en venir, ma grand-mère m’avait appris le piano et cette comptine de Yann Tiersen elle me l’avait joué à de nombreuse reprise, c’est pourquoi se serais un honneur que de danser dessus aux côtés de l’homme que j’aime le plus au monde… se serais un honneur que de danser en mémoire de ta maman même si je ne l’ais pas connu je suis certaine qu’elle était une formidable personne.
Ile me parlait de mariage, oui il me faisait rêver, de toute façon sa simple présence me faisait rêver et j’étais prête à n’importe quoi pour lui faire plaisir. Nous arrivions dans sa chambre et il me déposa sur le lit avant de s’asseoir devant moi puis il se mit à défaire très lentement les boutons de la chemise que je lui avais emprunté, je me demandais alors se qu’il avait en tête…mon cœurs s’accéléra de plus en plus à chaque bouton qu’il défaisait, il n’était pas déjà capable d’une maîtrise total ça je l’avais bien compris, mais là il jouais…avec son désir et le mien, j’aimais jouer et là je n’avais qu’une envie s’était de me jeter à son cou, de glisser ma main dans sa nuque et d’attirer son corps vers le mien, mais je n’en fis rien. J’avais promis de garder mes ardeurs pour moi, pour le moment et je tiendrais ma promesse, même si il jouait avec ça. Il regarda mon corps pendant un instant avant de me plaquer contre lui, ce qui eu pour effet d’entraîner des palpitations encore plus fortes. En moi je n’arrêtais pas de me dire : « ne l’embrasse pas, ne l’embrasse pas !! » car je savais pertinemment que si j’avais osé poser mes lèvres sur les siennes je me serais laisser emporter dans un fougue dangereuse. Il prit alors la parole :
– Tu devrais te reposer ma puce, demain est un autre jour.
Puis il me glissa sous les drap d’une facilité qui me surpris, dans ses bras j’avais l’impression d’être une plume, il afficha un large sourire avant de reposer la couverture sur la totalité de mon corps puis il embrassa mon front ainsi que le bout du nez pour déposé au final un doux baiser sur mes lèvres. – Dors bien ma chérie.
Je n’avais pas le moins du monde envies de dormir, et j’eus un instant de frayeur lorsqu’il se leva, j’avais cru qu’il me laisserais seul, et ceci était hors de question, je ne voulais qu’une chose c’est être dans ses bras et rien d’autre. C’est pourquoi je fus soulagé quand je compris qu’il allait juste éteindre la lumière de la chambre. J’affichai alors sur mon visage un sourire immense lorsqu’il était venu se blottir contre moi sur le dessus des draps. Il ne cessais pas de me fixer et j’en faisais de même, comment voulait il que je dorme à côté d’un tel tombeur. Il me murmura un dernier mot.
- Je t’aime. Ne l’oublie pas. Fait de beau rêve…
Je posa ma main ainsi que ma tête sur son torse et colla mon corps contre, je voulais juste être dans ses bras, tant pis si un morceau de drap de vais nous séparer, cela n’allais pas m’empêcher de dormir contre lui.
-Je t’aime aussi Lukas, et je ne peu faire que de beau rêve car le simple fait d’être avec toi est un rêve éveillé. Mais il manque encore un truc avant que je puisse bien dormir…
Je glissa ma main dans son cou et déposa un tendre et long baiser sur ses lèvres glacé. J’étais déjà aux anges, cette nuit serait le début d’une série de longue nuit ensemble. De nombreuse nuit serrer tout contre son corps. Demain serais bien plus difficile mentalement mais je l’ais, je ne veux que lui maintenant et à jamais…Je l’aime [Terminé] |
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