C’était une journée Somme toute normal, qui commençait sous le soleil de Seattle, enfin ceci ne dura que 10 min tout au plus, juste le temps de faire le trajet maison/université.
Je gara ma voiture sur le parking de l’université et ne perdis pas un instant pour renter au chaud. Comme à mon habitude je n’étais pas trop couverte, une robe volante en coton blanc et dentelle, un petit gilet sur les épaules, une paire de collant avec de petite ballerine. Voici ma seule parure pour me « protéger » du froid, autant dire pas très efficace. Mais je ne suis pas de nature frileuse, je peu donc me le permettre, cependant ce matin la brise était fraîche. Cette brise faisait renaître en moi une sensation connue et réveillait des sentiments qui ne m’étais pas perdu.
Je me rappelle à l’instant où le vent s’emmêlait dans les boucles de mes cheveux, l’étreinte glacial mais néanmoins chaleureuse de mon frère. Enfin nous ne sommes pas lié par le sang mais par le cœur. Lukas est mon frère, que j‘ais dû quitter il y à bien trop longtemps, sans avoir eu l’occasion de lui dire et ça je m’en voudrais toute ma vie. Non contenté de souffrir de ne pas le voir, je souffre de ne pas l’avoir prévenu de mon départ, lui qui était toujours là pour moi, alors que Beth était partie sans prévenir.

Mais fini la page de nostalgie, je me dirige vers les cours de philosophie.
Une heure d’intense philosophie sur le complexe d’oedipe, c’était très intéressant, d’autant plus que j’étais à côté de rose, ma confidente, ma meilleur amie et sa place dans ma vie est indescriptible, tout comme les moment que je passe avec elle. Une chose est sûre elle à une place dans mon cœur que personne ne pourra prendre. Nous parlions souvent d’enfant toute les deux, c’est pourquoi le complexe d’oedipe semblait être approprié à un de nos sujet, cependant je ne réussie pas à savoir à quoi pensait rose durant ce cours, était-elle attentive ou au contraire absente…

Voilà la pensée qui accaparais mon esprit jusqu'à ce que je bouscule quelqu’un et fis tombé ces livres par pure inattention en entrant dans la bibliothèque.
Je m’empressai de m’excuser et de l’aider à ramasser ses livres, le dernier que je lui rendis était Manon Lescaut de l’abbé Prevost, je me permis un commentaire :

-C’est une histoire d’amour à la fois belle, dangereuse et tragique. De nombreuse adaptation en on été faite : film, opéra, chanson c’est tous aussi intéressant de les étudier…seul un amour fou peu mener à la mort…

La personne que j’avais bousculé il y à un instant semblais ne plus m’en vouloir et avais changé de regard sur le livre qu’elle s’apprêtait à lire…elle me gratifia d’un sourire et me remercia avant de se congédier.
Je reporta donc mon attention sur cette pièce que j’aimais tant…la bibliothèque, et surtout le coin légende et mythologie vers lequel je me dirigeais une dois de plus… Faisant comme si j’avais fais une entrée discrète ce qui était loin d’être le cas.

Je rentra alors dans le rayon 618 et chercha un livre sur les mythologies, je m’intéressait surtout au mythologies grec en ce moment, mais j’hésitais encore sur le sujet de ma composition d’histoire, soit je choisirais mythologie égyptienne soit grec…mais c’est un choix bien difficile, que je ne cesse pas de repousser.
C’est alors que dans se rayon mon regard fût inévitablement attiré par un livre, avec une couverture plutôt ancienne…et j’avais une grande fascination pour les livres ancien, ces livres révèle une histoire, on une calligraphie splendide, il sont passé dans les mains de nombreuse personne, leur reliure apporte tout le charme au livre. Je les trouve bien plus intéressant que les nouveaux livre, j’adore touché les feuille un peu vieillit. Et ce fut ma chance car ce livre parlait de la mythologie grec, égyptienne ainsi qu’amérindienne…quoi de mieux pour mieux connaître l’histoire des environs car d’après ce que j’avais pu entendre non loin de Seattle se situe une réserve d’amérindien que je ne tarderais certainement pas à aller voir.

Spoiler:

Je commença à feuilleter le livre dans le rayon, me délecta des informations données sur les déesses et dieux grecques :

• Nyx : Dans la mythologie grecque, Nyx (en grec ancien Νύξ / Nýx, en latin Nox) est la déesse et la personnification de la Nuit. Pour certain, elle représente la déesse Aphrodite ou Athéna. Nix représente la nuit mais ne serait pas mauvaise. Selon la Théogonie d'Hésiode, elle et son frère Érèbe (les Ténèbres infernales) sont les premières divinités issues du Chaos primordial.
  
• Erèbe : Dans la mythologie grecque, Érèbe est une divinité infernale née du Chaos, personnifiant les Ténèbres, l'Obscurité des Enfers. Il est le frère de Nyx (la Nuit), dont il a engendré Éther (le Ciel supérieur).
  Il est métamorphosé en fleuve pour avoir secouru les Titans, et donne ainsi son nom à une région des Enfers où passent les âmes des défunts, située entre le monde des vivants et l'Hadès.
  
• Thanatos : Dans la mythologie grecque, Thanatos est la personnification de la Mort. Selon Hésiode, il est le fils de Nyx (la Nuit), qui l'avait engendré seule. Thanatos est également le frère jumeau d'Hypnos la personnification du Sommeil et de Moros (fatalité).
  
• Gaïa : Dans la mythologie grecque, Gaïa, Gaia, Gaya, Gaiya, Gæa ou Gè est une déesse primordiale identifiée à la « Déesse mère ». Elle est l'ancêtre maternelle des races divines, mais enfante aussi de nombreuses créatures. Elle apparait en outre comme une divinité chtonienne que l'on invoquait ou à laquelle on sacrifiait des victimes de couleur claire en même temps qu'aux autres puissances infernales, telles qu'Hadès, Perséphone, Hécate.

Plus je lisais les nom et les description des dieu dans ce livre plus il me semblais étrange…je tourna plus rapidement les pages et m’intéressa au mythe égyptien :

• le cycle de la vie avec les naissances qui succèdent aux morts (bien que les Égyptiens ne crussent pas en une réincarnation terrestre, mais en l'immortalité de l'âme).
  
• Mythe de la mort :
  Chez les Égyptiens de l'Antiquité, les cérémonies et croyances liées à la mort représentaient une part importante de leur vie. Les préoccupations liées à la mort au cours de l'Égypte antique étaient d'ordre religieuses et constituaient une étape importante de la vie du pharaon, frère des dieux, qui devait après son décès vivre auprès des dieux un repos éternel. Les égyptiens considéraient qu'après le décès, l'âme du défunt pouvait renaître et accéder au « royaume des morts » et au repos éternel.
  Le mythe de la mort peut être décomposé en deux parties :
  • la première étape qui est le voyage du défunt vers l'au-delà avec la cérémonie de l'embaumement ;
  • la seconde étape qui correspond au jugement du défunt par le dieu Osiris lorsqu'il atteint l'au-delà afin de peut-être accéder au repos éternel.

Je secouai la tête au fur et à me sure que je lisais ce livre, j’étais vraiment intrigué par la nature de se livre révélant les méandres de la mort et de l’âme…de l’enfer. Je commença à bouger pour me poser sur une table, j’alla alors vers la table la plus près tous en lisant mon livre. Je lisait ce qui étais écrit seulement un passage ou deux à retenu mon attention.

• […]Un an plus tard, la même nuit, deux vierges Makah disparurent de chez elles. Les guerriers en appelèrent aussitôt aux Quileute, qui flairèrent l'identique puanteur dans tout le village. Ils repartirent donc en chasse. Seul l'un d'eux survécut, Yaha Uta, l'aîné de la troisième femme de Taha Aki, le benjamin de la meute. IL ramena avec lui quelque chose que les Quileute n'avaient jamais vu - un cadavre qu'il avait mis en pièces, froid comme la pierre. Tous ceux qui étaient du sang de Taha Aki, y compris ceux qui n'avaient pas été loups, sentirent l'odeur puissante qui émanait de la créature morte. C'était elle, l'ennemi des Makah.
  Yaha Uta narra ce qui s'était passé: lui et ses frères avaient trouvé l'étrange être qui, sous l'apparence d'un homme était comme le granit, avec les deux filles Makah. L'une d'elle avait déjà perdu la vie et gisait, blanche, vidée de son sang, sur le sol. L'autre était prisonnière des bras du monstre qui avait la bouche tout contre sa gorge. Elle était sans doute encore vivante quand ils arrivèrent sur les lieux de l'abominable spectacle, mais la créature lui brisa rapidement le cou et jeta son corps à terre. Ses lèvres pâles étaient couvertes de sang, ses prunelles étaient allumées d'un rougeoiement furieux.
  Yaha Uta décrivit la force et la rapidité de l'adversaire. Un de ses frères mourut pour avoir sous estimé cette puissance car le monstre le déchira en deux, comme une poupée de son. Yaha Uta et son autre frère furent plus circonspects. Ils s'unirent, harcelant la créature de tous les côtés, la trompant par d'audacieuses manoeuvres. Il leur fallut toutefois recourir à toute la célérité et à toute l'habileté de leur corps de loup, d'en repousser les limites comme ils n'avaient jamais été obligés de le faire. L'étranger avait la dureté de la pierre et la froideur de la glace. Seules leurs dents réussis.
  
  
• Des traités de non agressions furent signés avec les peuples avoisinants mais il arrivait parfois que d’autres, venus de plus loin, obligent les Quileute à reprendre la forme d’esprit pour les repousser. […]Lorsqu’un an plus tard les disparitions reprirent, les guerriers présents réussirent à vaincre la créature, mais seul l’aîné de la troisième
  femme, qui était aussi le plus jeune de la meute, survécut. Yaha Uta, le survivant, narra ce qui s’était passé et décrivit la force et la rapidité de l’ennemi ainsi que la seule façon qu’il avait trouvé de l’anéantir : le déchiqueter en petits morceaux. Mais lorsqu’on déposa au sol ces morceaux, ils se mirent à se souder les uns aux autres et il fallut y mettre le feu pour en venir à bout définitivement. Ils appelèrent cette créature sang froid…
  *Les sang froid : autrement dit vampire.

Je n’en revenais pas de ce que je venais de lire, j’étais très ouverte d’esprit et là je serais complètement tenté de croire à leur existence… je repoussa le livre, ouvert à la page des sang froid, pour ne plus m’embrouiller…ces légendes paraissait tellement vrais et remontant à des siècle, les grecs, les égyptien…les amérindiens, décidément il me semble que ce livre ne parlais que de ça. Et c’est après un temps de réaction que je réalisai que j’avais percuté quelque chose avec mon livre. Je releva la tête, et m’excusa :

-Oh bonjour, excuse moi de cette maladresse…ce livre m’a quelque peu perturbé.

Je souriais au garçon situé face à moi, et allais être sur le point de manquer de politesse.

-Je te pris encore de m’excuser j’ai omis de me présenter, je m’appelle Sateen Brown. Je suis désolé de ne pas t’avoir demandé si je pouvais m’asseoir ici, j’espère que tu ne m’en voudras pas trop. Je sais que ce n’est pas vraiment une excuse mais ce livre accaparait vraiment mon attention, non seulement pour son contenu mais aussi l’étrangeté qui en révèle.

Je regardais plus intensément le jeune homme, il me rappelait quelqu’un, ou plutôt il me semblait déjà l’avoir vu :

- Euh, pardon mais on est pas dans le même cours d’histoire ? Il me semble t’avoir vu dans l’amphi ! Aurais-je l’honneur de savoir comment tu t’appelles

Je lui fis de nouveau un sourire et écoutais ces réponses, avant de lui demander :

-Je peu savoir sur quoi porte ta composition ?

Après mes nombreuses maladresses face au jeune homme assis à la même table que moi je m’étais excusé et m’étais présenté, suite à quoi il m’avait répondu :

– Bonjour. Ne t’inquiète pas pour ça, je suis plutôt solide dans mon genre…

Je continuais de lui sourire sans vraiment savoir pourquoi… mes pensée était vraiment occupé par ce que je venais de lire, je n’avais jamais fais par d’autant de maladresse à la suite et je n’en étais pas fiers, mais n’importe qu’elle être humain serais perplexe face à ce livre… quoi que, ce n’est pas sûre, mon esprit est bien complexe pour assuré qu’un autre personne aurais eu la même idée à la lecture de ce livre… non en fait une personne normalement constitué aurais certainement reposé le livre à l’instant même ou ça aurait commencé à parler de chose sombre, de créature surnaturel… il est vrais que j’ai l’esprit bien plus ouvert que certaine personne, je ne dois pas vraiment être normal en fait… peu de jeune de cette époque apprécie les livre ancien.
Bon d’accord je dois me l’avouer je ne suis pas du tout normal. En même temps quand on voit mon comportement quand je suis avec Alice ! J’eu un large sourire à cette idée… en la compagnie d’Alice on part vraiment dans de grand délire, personne ne peu nous arrêter… mais bon ce n’était pas le sujet, je me concentra sur ces histoire et le jeune homme en face de moi donc j’ignorais tout.

- A vrai dire ça ne me dérange pas, j’allais partir de toute façon. Autant que tu gardes la place, il n’y a pas beaucoup de chaise disponible ici, pourtant ce n’est pas le nombre de lecteur qui manque. Il devrait penser à investir.

Ce jeune homme avait tout à fais raison, la bibliothèque est assez prestigieuse dans cette université, il devrait effectivement penser à ajouter des tables et des chaises. Dommage qu’il doive déjà partir, j’aurais bien aimé parler de ce livre avec quelqu’un…je tendis alors la main pour retirer le livre vers moi, et en feuilleter quelque page jusqu'à ce que le garçon me dise :

– L’étrangeté ? C'est-à-dire ? Je ne l’ai encore jamais emprunté celui-ci, pourtant les légendes m’intéressent beaucoup. Égyptienne particulièrement en ce moment. Peux tu m’expliquer de quoi il traite ?

Je l’avais étrangement dévisagé, il me disait quelqu’un… en plus un jeune homme aimant les légendes, ça se faisait rare par ces temps ci. Il est vrais que les légendes égyptienne sont très passionnante, j’étais ravis de savoir qu’il voudrais bien parler du livre, j’afficha un beau sourire et lui avais demandé si il partageais mon cours d’histoire et si il pouvais m’indiquer son nom… il est bien plus agréable de savoir à qui l’on parle.

Je m’appel Edward Cullen, enchanté mademoiselle Brown.

Oh Edward Cullen ! J’avais enfin l’honneur de le rencontrer… décidément je vais finir par connaître toute la famille Cullen, si tenté que ce soit le bon Edward cullen. Entre ma relation déjantée avec Alice, mes moments de confidence avec rose que je portais au plus profond de mon cœur… Et l’honneur que jasper me faisait en acceptant de me parler alors qu’il n’était pas du genre à côtoyer tout le monde dans cette université. J’aimais beaucoup parler avec jasper c’était très intéressant et on passait de bon moment, la relation qui c’est créé entre lui et moi est très étrange, on sais aussi bien l’un que l’autre que l’on pourra se confier si nécessaire… quoi que rose ne me laisserait pas le temps d’aller voir jasper.
Je souriais à Edward et m’exclamais :

-Oh Edward ! Je suis enchanté de te rencontrer… tu es le frère de Rosalie, Alice et Jasper si je ne me trompe ?

Je lui avais demandé par la suite sur quoi portais sa composition et il m’avait gentiment répondu :

Oh, il s’agit simplement d’une légende sur Égypte que je remets au goût du jour. Le professeur nous en a parlé l’autre jour et j’ai eu envie d’en prendre connaissance… ; Je pense que je vais écrire un mémoire sur le sujet :

La mort est t’elle un renouveau de l’être au travers de son jugement ?

Je sais que ça reste une question sans réel réponse, d’où l’intérêt de s’en servir. Il y a de nombreux document, le livre des morts Égyptien par exemple. Après nous avons la mythologie Grec qui en parle et aussi celle en Colombie… Je pense que j’ai de quoi fournir un bon sujet à M. Delansky. Et toi, sur quoi portera ton mémoire ?

Je souriais à Edward, ça me faisait vraiment plaisir de voir quelqu’un aussi pointilleux sur les légendes égyptiennes. Je me sentais moins seul, cette conversation promettait d’être passionnante.

-Edward ça me fait vraiment plaisir de voir que je ne suis pas la seul à m’intéresser à ces légendes, je commençais à me demander si j’étais normal. Avais-je ajouté en rigolant. En plus lorsque je suis avec ta sœur il y à de quoi se demander si je suis normal.

Avais-je continué sur un ton enjoué. Je repris mon souffle et continua :

- Bon revenons au sujet principal, il est vrai que les égyptiens apportais une grande importance à la vie après la mort, la réincarnation il y croyait énormément, et comme tu le souligne bien les grec en parlait aussi… je suis sur que le livre que je lisait à l’instant pourra t’aider, je te le passerais quand je l’aurais fini, car quoi qu’il me laisse perplexe, je tiens à le lire en entier.

Quand à mon sujet et bien je voulais m’inspirer des légendes grec, notamment grâce à ce livre, mais je ne pense pas que si je m’inspire de ce livre Mr Delansky apporterais beaucoup d’attention à ma compo… il me semble que lui et moi avons la même ouverture d’esprit. Tu va peut être me prendre pour une folle, mais j’ai une grande ouverture d’esprit et m’accorde toujours le bénéfice du doute sur certaine légende… en l’occurrence, dans ce livre tout est remarquablement lié et j’accorde donc au légende mise en avant dans ce livre le bénéfice du doute, quoi qu’il puisse en paraître hallucinant et que je risque d’être surprise si il me venait à croiser réellement un tel être.

Ce livre parle des êtres de la nuit très explicitement, tien là regarde :

Je lui tandis le livre et pointa cette phrase du bout des doigt « Les sang froid : autrement dit vampire. » Je lui fis un nouveau sourire et lui demanda :

- Alors me prend tu pour une folle ? Au moins j’ai des témoins pour appuyer le fais que je ne suis pas réellement, dis-je en rigolant. Rose me soutient assez pour cela, Jasper je pense qu’il en sera de même, je doute un peu plus d’Alice : vu à quel point on est déjanté lorsqu’on est toute les deux, elle appuierais peu être le fais que je suis folle.

Je repensai un instant à Rose et à son comportement étrange ce matin :

-Dis moi Edward, j’aurais une question sur rose ! Tu n’es pas obligé de répondre… mais d’habitude on se dit vraiment tout elle et moi, et je m’inquiète un peu, elle semblait vraiment absente ce matin… je sais qu’elle n’est pas forcément très proche de vous en ce moment, on en à parlé avec jasper qui étais surpris de la voir sourire avec moi. Mais ce matin elle était comme ailleurs, c’est-il passé quelque chose hier soir ?

Voilà maintenant un petit moment que nous sommes dans la bibliothèque de l’université de Seattle en cette matinée glacial. J’avais eu l’occasion de rencontrer Edward et c’était un plaisir d’être assis à ces côtés dans cette bibliothèque pour parler de ces légendes… Les personne appréciant ce sujet son plutôt rare et c’est toujours un bonheur de rencontrer du monde n’ignorant pas le passé qui fut.

Je venais de demander à Edward si il était bien le frère de ma déjantée d’Alice, de mon adorable rose et de jasper. C’est ainsi qu’il me répondit :

-Oui tu as deviné. Un autre Cullen on est plutôt nombreux !

Il me fit un clin d’œil tandis que je lui adressais un sourire et j’ajoutais à ces paroles :

- Oui effectivement il me semble que vous êtes nombreux. On pourrait limite croire que mon but est de tous vous rencontrer.

J’eus un éclat de rire et continua sur un ton humoristique :

-Mais rassure toi je ne suis pas une psychopathe de ce genre ! Je ne m’amuse pas à chercher charlie… je ne m’amuserais pas non plus à chercher tout les cullen. Ceci dit on avance toujours que le monde n’est pas grand, donc l’université serait par définition minuscule et ça ne m’étonnerait pas que je rencontre les autres personnes de votre famille par inadvertance. Je pense même qu’il serait difficile de ne pas les croiser… par ailleurs vous êtes tous sympathique donc je suppose que ceux que je n’ais pas rencontrer le son aussi.

Je lui avais dit que j’étais heureuse de rencontrer quelqu’un s’intéressait à la mythologie et il m’avait adressé un sourire avant que je ne continu à blablaté pour lui expliquer ce que me révélait ce livre étrange.
Je lui avais par la suite demandé si il me prenait pour une folle du fait de mes propos, mais il ne répondit pas à cette question. Je vous avoue que je me suis beaucoup questionné sur le moment, me demandant au final si son absence de réponse à cette question était le signe qu’il me prenait pour tel. La grimace qu’il fit ne me rassura pas le moins du monde et je me demandais sérieusement si il ne fallait mieux pas que je quitte cette table dès maintenant et que j’arrête de parler pour limité la vision de folie qu’il aurait de moi.
Ceci dit après mes dernières paroles il finit par me faire un signe de tête et un sourire pour m’indiquer d’après ce que j’ai compris qu’il approuvait m’a pensée. C’est alors qu’il me proposa quelque chose de fort aimable :

-Si tu veux on pourra faire ta compo ensemble, du moins je pourrais regarder et t’aiguiller sur le sujet à choisir. J’ai une grande habitude de ce genre de devoir et j’aime pouvoir retracer l’histoire d’être aussi exceptionnel que l’on été ceux du passé. Je pense que tout comme moi tu partage cette passion et me désespérais de trouver quelqu’un capable de me supporter en dehors de ma bella !

Je lui fit de nouveau un sourire… et oui encore un, mais j’étais une personne plutôt souriante et si on passait plus de temps avec lui il allait devoir s’y habituer… après tout les autres s’y sont habitué pourquoi pas lui ? J’aime voir les gens qui m’entoure être heureux, si quelque chose ne va pas dans ma vie je ne suis pas du genre à en parler, de peur que mes amis ou les personne qui me son chers en souffre à ma place ou alors en même temps que moi. Et ça je m’y refuse, si je ne vais pas bien c’est à moi de le surmonter par aux autres… les gens pourrais croire que tout est rose dans ma vie, mais c’est uniquement car personne ou presque n’a connaissance des côtés noir. Je préfère largement les voir sourire et ça m’est bien plus facile de vivre avec leur sourire que de devoir moi-même sourire si ils font la tête. Leurs bonheur fait le mien, réciproquement pour leur souffrance… mon bonheur j’accepter volontiers de le partager avec eux, mais les quelque malheur qu’ils peuvent m’arriver je ne tiens pas à les partager… En ce jours il me semble que seul Beth, Lukas, ma mère et peu être rose on eu le malheur de voir cette partie de moi que je n’aime pas partager… je veux que les gens me voit pétillante et joyeuse en espérant que cela soit contagieux…
Je ne savais pas comment j’en étais venu à penser à ça mais je reporta mon attention sur Edward et ce qu’il m’avait dit précédemment.

- Et bien Edward c’est très aimable de ta part de me proposer cela, j’apprécie ta proposition et l’accepter à cœur joie. Tu penses effectivement fort bien, je partage entièrement cette passion… jusqu’en ce jour avec moi-même et désormais avec toi, ce sera un plaisir de travailler avec toi je n’en doute pas. Par contre ne désespère pas de toi, tu me semble vraiment être quelqu’un de très sympa, ne dis pas de tel bêtise. Je suis sûre que des tonnes de fille voudraient être à tes côtés.

Dis-je légèrement en rigolant, voyant que chaque fille passant au côté d’Edward tournait la tête et affichait un large sourire. Il est vrai qu’il avait un certain charme je ne peux le nié… par ailleurs un petit quelque chose en lui me faisait pensée à Lukas, mais je n’arrivait pas à définir ce que c’était… En repensant à monsieur Rendès, je me retrouvais à penser aux êtres chers que j’avais perdus : déjà Cayden qui m’empêchais de succomber au charme d’Edward comme faisait les autres filles… mais même si cette être ma laisser sans pouvoir m’en dire les raisons, me promettant qu’un jours il reviendrait… même si cette attente est longue je ne peu pas m’empêcher de l’aimer. Et puis Beth, cette disparition mystérieuse, comme si on me l’avait volé, disparaître ainsi du jours au lendemain… Bref je me rendis de nouveau compte que je m’éloignais de l’instant présent et me concentra sur l’instant présent.

-Mais bon je pense que si l’une d’elle s’approchait de toi, on verrait bella rappliqué et par ailleurs elle n’aurait aucune chance j’en suis certaine. Vu au regard que tu affiches à la simple prononciation du prénom de ta bien aimer… Est-ce que je me trompe ?

Je ne sais pas pourquoi mais j’en étais venu à penser à rose au point d’interroger Edward qui me répondit aimablement :

- Rosalie et moi ne sommes pas vraiment proche et un peu en froid en ce moment. Mais je veux bien t’aider, tu peux m’en dire plus ?

Il me fit un sourire et je fis de même avant de lui répondre :

- Oui je sais pour Rosalie et toi, elle et moi nous disons vraiment tout… quoi que je ne puisse rien lui dire sur mes frères et soeurs étant fille unique. Ajoutais-je de nouveau en rigolant. Bref ce n’est pas le sujet, j’espérais juste que tu en serais plus que moi, je peu pas vraiment te dire grand-chose de plus, ce matin on étais en philo et d’habitude on « s’amuse » bien ensemble dans ce cours, et j’aurais imaginé encore plus ce matin car nous avons abordé le complexe d’oedipe, et parler d’enfant avec rose est devenu une sorte de tradition entre elle et moi. Elle n’hésite pas à ce confier à moi sur ce sujet qui lui est pénible, je sais à qu’elle point elle le désir et le fait que je partage ce désir nous rapproche fortement, à la différence que pour moi cette espoir n’est pas vint. Mais ce matin elle était ailleurs et je ne sais pas pourquoi… vraisemblablement tu n’en sais pas plus que moi malheureusement. Dommage j’aurais aimé comprendre… je sais qu’elle n’est pas d’un caractère tendre en temps général avec vous et encore moins en ce moment avec son désir qu’il l’omnubile, j’en ais parlé à Alice. J’essaye de l’apaisé pour qu’elle soit plus douce avec vous, mais bon tu connais mieux ta sœur que moi et elle est toujours d’humeur électrique mise à par avec moi.

A priori cette fois si je ne trouverais pas ce qui la tracassais à moins de lui en parler directement, mais j’aimais savoir ce qui la tracasse avant de lui en parler… ayant connaissance de la tension entre eux deux, je venais de prouvais un optimisme un peu trop important en demandant réponse à Edward, j’en avais dès l’or conscience. Je décidai donc d’enchaîner sur autre chose :

-Alors Edward sur quoi pense tu que je pourrais faire ma disserte ? J’ai bien envies de m’orienter sur la vision et surtout la création de la vie … qu’en pense tu ? Si j’opposais la vision des Egyptien avec la vision des grecs, peut être en parlant de la déesse mère des grec, je parle bien entendu de Gaïa créatrice de nombreuse créature.
Et puis ça ferait un jolie contraste entre nos deux disserte ! Tu as peut être d’autre idée … ou une autre vision des chose à m’indiquer?

Je lui fis un sourire et recommença à feuilleter le livre en attendant sa réponse.