D’après sa réaction quand je lui annoncé que je rentrais avec ma voiture, papa comme je l’avais présumé, n’avais pas du la prévenir de ce cadeau. J’avais répondu un léger « OK » à maman avant de me diriger vers ma voiture, histoire de la rassurer. J’avais démarré le contact et je m’étais engagé sur la route en direction de la maison tout en remarquant que maman n’avais toujours pas démarré. J’allumais la radio comme à mon habitude depuis que j’avais cette voiture, la station sur laquelle ma radio était régler était entrain de passer « the only exception » de Paramore.

Mon père m’avait offert une voiture coccinelle noire avec des reflets bleus au soleil décapotable, avec un intérieur beige. Le jour où il me l’avais offert, j’étais plutôt surprise, mais tout de même heureuse, car je ne m’attendais pas à un tel cadeau de sa par. J’ai d’ailleurs pensée que c’était pour ce faire pardonné de ces absences, mais j’ai accepté son cadeau sans pauser de question sur la raison qui l’avait poussé à m’offrir une voiture. Étant donné que j’allais me faire de nouveau amis, je n’allais pas pouvoir demander éternellement à ma sœur de servir de taxi, car cela devenait gênant.

Spoiler:

Arrivant à la maison, je remarquais sans surprise que maman n’étais pas encore arrivé, mais je restais un instant dans la voiture pour écouté « Your call » de secondhand serenade. J’aimais beaucoup chanter cette chanson. Alors que la chanson se terminait, j’apercevais la voiture de maman. Je coupais donc l’auto radio, sortie de la voiture, pris mon sac de cours et mes clés puis je me dirigeais vers la porte d’entrée.

Une fois à l’intérieure de la maison, je fus accueilli très chaleureusement par Mimi mon chat, qui ne cessait de ronronné tout en se frottant à moi. J’en avais déduit qu’elle avait faim, je posais donc mon sac sur le canapé du salon avant de me diriger vers la cuisine, pour remplir la gamelle de Mimi. J’entendis alors la portière de la voiture de ma mère se refermer, et je m’empressai d’aller lui ouvrir la porte d’entrer, imaginant qu’elle devait avoir les bras chargé de valise. Mais en lui ouvrant la porte je remarquais qu’elle n’avait que son sac à main, elle avait du passé par la maison avant de venir me voir au lycée. Je restais tout de même près de la porte, je la laissais rentré, pausé son sac à main, avant de lui faire le câlin que je n’avais pas eu l’audace de lui faire au lycée devant mes camarades.

-Je suis désolé de ne pas t’avoir fais de câlin tout à l’heure mais j’étais pressé de renter à la maison. Lui avais-je dis en souriant.

J’étais impatiente de savoir tout ce qu’elle avait vu durant son voyage, c’était un des rares point positif de son travaille. Le moment ou elle rentrais et ou elle me racontais tous ce qu’elle avait vu, cela me permettais de m’évadé à mon tour, et surtout de passé un moment avec ma mère. Moment qui ce faisait de plus en plus rare depuis là mort de rachel. Les larmes me montèrent aux yeux en pensant à elle, je me concentrais donc sur ma mère, pour éviter de laisser couler ces larmes, qui entraînerais une conversation que je ne désirais pas avoir aujourd’hui. Je retirais donc mon sac du canapé pour que nous puissions parler au salon. Nous avions un grand salon qui était connecté à la cuisine par un bar, je laissais donc maman s’installer et tout en me dirigeant vers la cuisine je lui demandais :

- Tu veux boire quelque chose maman ? Lui avais-je demandé en la regardant par le bar.

Elle m’avait répondu qu’elles souhaitaient un thé, comme je l’avais imaginé mais je préférais demander. Ainsi je préparais deux thés, je sortie deux tasse que je remplie d’eau avant de les mettre au micro-ondes, en attendant que l’eau soit chaude je me dirigeais vers le placard et j’en sortie un paquet de gâteau que je versais dans une assiette ainsi que la boites de thé.
Je mis les tasses dans lequel le thé infusait déjà et l’assiette de gâteau sur un plateau avant de rejoindre maman dans le salon. Je pausais donc le plateau sur la table basse, lui tendis sa tasse avant de m’asseoir auprès d’elles et de lui dire :

- Kimberley va être surprise de te voir, j’ai hâte de vois sa tête.

J’eu un léger sourire en imaginant l’expression que j’allais pouvoir lire sur le visage de kim, quand elle allait apercevoir maman, j’arrêté cette visualisation pour me concentré sur maman.

-Alors comment c’est passé ton voyage ? Raconte moi tout s’il te plait. Qu’a tu vu au Népal ? Et à quoi ressemble ce bol de bouddha dont tu ma parler ?

A chaque fois qu’elle partais pour son travaille je lui en voulais énormément, j’avais toujours l’impression qu’elle nous fuyais. Alors quand elle rentrais, même si je lui en voulais, de sont absence, en autre, je m’informais de ces voyage, voyageant ainsi à mon tour. Et surtout pour passer du tant avec elle, j’appréciais ces rares moments de complicité et je faisais tout pour qu’il soit parfait. Car ce serais peut être les seul moment que je passerais avec elle. J’étais impatiente d’entendre tout ce qu’elle avait à me raconter, et je lui montrais un certain enthousiasme comme à mon habitude à son retour.

J’écoutais attentivement ce que maman avait à me dire, échangé nos ressentie, partagé nôtre imagination je trouvais ça génial. Elle avait répondu à ma proposition un peu trop terre à terre par rapport à mes idées farfelu que je lui exposais en temps normal :

-Oui, sûrement! Il pourrait aussi avoir été amené là pour nous. Bouddha voulait peut-être que sa création tombe entre nos mains. Il ne devait pas s'attendre à se que les premiers qui le trouvent le détruisent. Tu imagines un peu? Il aurait pu rendre les gens les plus pauvres du monde, au moins égaux, et pourquoi pas tous riches. Je suppose qu'en se brisant, il nous a sauvé. En tombant entre des mains mal intentionnées, il aurait pu mener à notre perte. Celui qui l'avait jeté à l'eau l'avait sûrement vu comme ça aussi.

J’eu un large sourire en écoutant ces paroles, une sorte de sélection fais par bouda en personne, décidément aujourd’hui maman avais plus d’imagination magique que moi. Il est vrais que si sa théorie étais la bonne, bouddha devais être quelque peu dessus des personne qui se sont emparé de se bol, et imaginé que ce bol aurais pu rétablir l’égalité aurais été génial, car je ne supporte pas ce sensation d’infériorité et de supériorité, je trouve ça dommage…après tout on est tous semblable, on possède : un cœur, une âme, un nez, une bouche, alors pourquoi l’argent qui n’a rien de naturel devrais il faire une tel différence. Ainsi je ne dirais pas qu’il nous a sauvé, si cela aurait pu nous mettre à une quasi égalité supprimant ces injustices.
Malgré cela j’arborais un sourire radieux, j’étais heureuse de voir maman si passionné par ce qu’elle me racontais…en disant cela avec tant d’entrain elle faisait vivre la magie, la laissant circulé parmi nous. C’était un agréable jeu fantaisie, maman replaça une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille, je savais que cela l’agaçait de voir des mèches devant mon visage et cette manie qu’elle avait me faisait rire. J’entrepris de répondre à cette théorie une fois qu’elle avait dégagé mon visage :

- Et bien "ma petit" maman, cet théorie est très intéressante…Bouddha aurais accordé ainsi une grand importance au humain, ce serais plutôt flatteur pour nôtre espèce. Par contre je ne comprend pas vraiment pourquoi tu dit que cela nous sauve…avec la théorie que tu as émis je ne suis pas tout à fais d’accord, imagine une égalité, plus de personne dans le besoin, ne serais-ce pas mieux ? Plus de clochard effrayant dans les rue, plus d’enfant affamer. Moi je trouve cet perspective plutôt irréaliste dans nôtre monde assez sympa si les chose pouvais réellement changé, mais bon ce n’est que mon point de vu.

Elle m’avait demandé par la suite :

- Parle moi un peu de toi. Et ta soeur comment va-t-elle? Je n'ai pas eu ton père depuis deux jours, et il ne m'a pas dit grand chose sur vous.

Je lui fis un petit sourire, en effet il est normal que papa n’ait pas beaucoup parlé de nous étant donné qu’il était aussi peu présent qu’elle. Je lui fit donc un sourire pour camouflé le fait que j’en avais mare qu’il ne soit jamais là et entreprit de nouveau de lui répondre :

-Alors tu veux un topo de la vie des Jones !!

Avais-je dis en rigolant, marquant un légère pose pour réfléchir par où j’allais commencé, avant de reprendre :

- Et bien alors, as tes risque et périls…Non je rigole… Moi et bien je n’ais pas grand-chose de passionnant à te raconté, les cours et bien …euh… Oui sa y est j’ai trouvé j’ai eu A+ en bio, et en spécialité langue étrangère aussi. J’ai ajouté option musique à mon cursus scolaire. J’ais rencontré une fille super sympa lors de ma rentrée on passe beaucoup de temps ensemble, mais je crains qu’elle va devoir déménagé encore et je redoute grandement ce moment. Sinon et bien j’ai une jolie voiture, mais sa tu l’avais déjà remarquée. Ah et si je me suis inscrit à un évènement sur les légendes indienne pour cet été. Je me suis avancé dans la déco de ma chambre il faudra que tu monte voir aussi, je suis sur que ça va te plaire, en tout cas je l’espère.

Je repris mon inspiration après ce petit monologue. Il est vrais que récemment je m’étais bien amusé avec la déco de ma chambre, j’avais fais un endroit pour mes guitare, très musical avec des note des vinil… Un petit coin cosy avec des fauteuil dans les ton marron et vert, se rapprochant de la nature… et du beige chocolat pour les reste , un endroit plutôt naturel chaleureux, mais me connaissant et aimant la déco cela n’allais encore pas resté en place très longtemps. Ce que je préférais dans ma chambre c’était mon lit à baldaquin blanc, décorée de voilure légère. Bon bien sure ce n’étais pas réellement ce que je préférais, ce que je préférais réellement c’était mon coin musique mais sa semble tellement normal que il ne me parait pas nécessaire de le précisé. Je reporta mon attention sur maman et entreprit de lui parler de papa :

- Qu’en à papa, et bien cela me semble normal qu’il ne t’ais pas donné beaucoup de nouvelle, étant donné qu’il n’était pas réellement beaucoup plus présent que toi. Vous vous êtes tout les deux de nouveaux engloutit dans le travail, mais bon ne parlons pas de ça aujourd’hui. L’être qui nous à plus vu Kim et moi c’est Mystie, d’ailleurs je l’aperçois derrière la baie vitrée, je vais lui ouvrir je reviens maman.

Il ne me fallut guère beaucoup de temps pour m’occuper de mystie, c’est donc assez rapidement que je revins vers maman, et que je m’étais assise de nouveau à ces côtés. C’est alors que j’entrepris enfin de parler de Kim :

- Quand à Kim et bien, il me semble qu’elle à fais pas mal de rencontre…

Je du interrompu par un bruit de moteur devant la maison, je me tourna donc vers la porte, on dit toujours que c’est en parlant du loup qu’il arrive et bien là c’était le cas, Kim avais fait une entrée fracassante, en claquants la porte derrière elle, elle m’inquiéta beaucoup, son visage étais marquée d’une inquiétude impressionnante je me demandais ce qui ce passait. Kimberley n’avait pas pour habitude d’afficher de telle expression. Et comme prévu elle fut surprise de la présence de maman, j’espérais que l’expression qui avais été remplacé par la surprise étais simplement du à la présence inattendu de maman.

-Maman tu es de retour.

S’étais elle exclamé. J’eu un léger rire avant de tourné mon visage vers maman :

- Et bien quand on parle du loup le voilà, elle sera bien mieux te dire ces péripétie que moi…et je crois que l’effet de surprise escompté est réussie.

Je fis un petit clin d’œil à maman et me tourna de nouveau vers Kim’ en m’inquiétant de la raison de son inquiétude :

-Dit moi kim’ sa va ? tu avais l’air inquiète en rentrant !!

Aujourd'hui, moi qui croyait que plus rien ne pouvait m'étonner du haut de mes quarante trois ans, je faisais une lourde erreur. J'écoutais ma fille parler non sans ironie de notre vie de famille. Andréa avais redécorer sa chambre, Aaron est toujours aussi peu présent, tout comme elle, et elle n'eut pas le temps de parler de Kimberley que ce dernière arriva. Il n'y avait pas vraiment de moment rose dans notre famille depuis la disparition de ma petite fille Rachel.

Kim arriva donc assez choquée. j'ignorais si c'était ma venue, mais je décidais d'attendre la réponse à la question d'Andréa sans reposée la même. Je me levais néanmoins pour la serrer dans mes bras : ma petite fille. Elles seraient toujours mes petites filles même lorsque je serais arrière-grand-mère.
J’espérais lui avoir manquer. C'est assez égoïste c'est vrai, mais j'avais besoin de mes filles, et de sentir qu'elles m'aimaient malgré toutes mes erreurs. D'ailleurs lors nous serions installé, j'aurais une nouvelle à leur annoncé. Je pris la main de Kim' pour qu'elle vienne s'installer à nos côtés. Elle était si blanche que je la pensais sur le point de faire un malaise. Après un petit sourire timide, ignorant toujours pourquoi elle avait réagi ainsi, je décidais d'aller lui chercher un verre d'eau que je m’empressais de lui ramener.

-Tiens bois! Sa devrait te faire du bien.

Je m'asseyais entre elles. Je les regardais calmement, comme une mère regarde ses enfants, sans lâcher la main de Kim' que je tentais de rassurer.