Validée

Je suis née il y a 43 ans à Rome. Mes parents font partit des grandes familles italiennes, et très tôt je comprends se que veut dire le mot "travailler". Je travaille dur pour leur plaire, mais ma mère ne me cédera jamais rien. Mon enfance je la passe dans une école privée à la capitale. Mon père m'a dit une fois qu'il m'aimait, et ma mère je ne l'ai jamais entendu avoir un mot gentil pour moi. Tous se qu'ils souhaitent se que je sois la meilleure quoique que je décide de faire. Ma vie à l'école était plutôt morne et triste. Mais c'est pourtant grâce à cette école que j'ai rencontré celui qui partage ma vie aujourd'hui. A 17 ans, on nous propose un voyage jusqu'aux États-Unis : mes parents acceptent, et avec ma meilleure amie Belinda nous voyageons pour la première fois. Au bout d'une semaine là-bàs je fais la connaissance d'un jeune homme charmant à peine plus âgé que moi : Aaron Jones. C'est comme qui dirait le coup de foudre. Il me bouscule au marché, et pour se faire pardonné m'invite à boire un verre. Je me dois de refuser car nous sommes surveillée, il me donne un papier avec l'adresse d'un bar, et un horaire. Je m'y rend le soir même avec mon amie. Nous parlons un moment tous les trois, puis Belinda jouant plus les portes chandelles qu'autre chose décide de nous laissait discuter. Après ce soir là nous nous revoyions souvent. Lorsque je repars pour Rome j'ai du mal à m'y faire. Il me manque, et en même temps je me dis qu'il a déjà du m'oublier et que ça ne servirait à rien que je lui écrive.
Les mois passent et puis finalement j'ai dix huit ans. Je décide de partir faire mes études aux états-unis avec Aaron. Il vient de me recontacter, après trois mois de silence total,e t il me demande de le rejoindre, sinon c'est lui qui vient. Avec l'accord de mes parents je le rejoins et nous commençons nos études.

Nous nous marions trois ans plus tard : je suis devenue professeur d'histoire à la fac, et à temps partiel je joue les aventurières pour des musées. Besoin d'une antiquité, on fait appel à moi. Nous nous sommes heureux comme ça, mais au bout de deux ans de mariage je sens que quelque chose ne va pas, même si j'ignore si ça viens de lui ou de moi. Lors d'un voyage en afrique je fais la connaissance d'un anglais qui s'occupe d'animaux, un genre de véto. J'ai une liaison avec lui, j'ignore comment,mais nous finissons dans le même lit. En rentrant aux states, j'apprends que je suis enceinte. Je suis perdue. j'ignore comment m'en sortir. Lorsque l'enfant vient au monde je l'abandonne, sur le parvis d'une église, la nuit.
Durant quelques temps je ne suis plus la même, mais je finis par me rapprocher d'Aaron, au fond c'est lui que j'aime, le seul et unique! Il veut un enfant je ne me sens pas prette,pas après se que je viens de faire, mais finalement au bout d'un an et demi j'étais enceinte de Kimberley. Finalement je fuis plus heureuse que je ne l'aurais crue. C'était mon bébé, et même si j'avais aimé Anna dès que je l'avais vu naître, Kim au moins était désirée, c'était différent. j'ai pris soin d'elle durant les premiers mois qu'ils l'ont vu grandir, puis le travail m'a rappelé: je ne pouvais m'en passer très longtemps. un an plus tard, arrivé Andréa. Puis se fut au tour de Rachel il y a 8 ans.
Je travaillais toujours autant, je me disais que c'était pour que mes filles est une bonne vie, qu'elle soit heureuse. Je ne me suis jamais rendue compte du mal que je pouvais leur faire! Mon temps libre je le passais avec Aaron est les filles, et puis Rachel est morte! Il y a quelque mois! J'ai tout perdue. Mon monde s'est écroulée. Ma petite fille, celle à qui j'ai dit si peu de fois que je l'aimais, il était maintenant trop tard. C'est arrivé il y a quelques mois! j'étais là pour Aaron est lui là quand j'avais besoin de lui. M^me si je ne montre pas souvent se que je ressens, et que les filles ne m'ont probablement jamais entendu parler de ça, c'est pour éviter de pleurer. lorsque je commence à parler d'elle, les larmes ne cessent plus de couler, alors j'évite le sujet avec elles.
Après mûre réflexion, nous avons décidés de quitter la ville où nous étions installés depuis si longtemps : state college. Nous voilà partis pour Forks il y a une semaine. je ne connais aps encore bien la ville. J'ai était prise à la fac d'histoire à Seattle. J'éspère que les choses vont finir par s'arranger avec Andréa et Kim.

Elle paraît froide, un véritable iceberg qui ne ressent jamais rien, même quand sa fille meurt, mais ce n'est qu'une façade. Sa mère à toujours était très stricte, et elle s'était jurée de ne pas devenir comme elle, sans aucun amour pour ses proches. Elle a réussi mais elle ne le montre pas. elle fait du mal à ses filles s'en même s'en rendre compte, en pensant faire se qui est bien.
Elle est quelqu'un de douce lorsqu'elle le veut bien. Elle peut aussi se montrer orgueilleuse et fière mais très rarement. Elle n'ait pas du genre à faire des commérages sur les habitants de la ville, en même temps elle ne connait pas grand monde.
Elle sait être à l'écoute, mais ses filles ne le savent surement pas, et pensent donc, qu'elle n'a rien d'une mère, si seulement elle savait, si seulement Marilee pouvait ouvrir son coeur. mais déjà bien meurtri,il a du mal à s'ouvrir de nouveau, même à Aaron!

Marilee a un corps somme toute normale. Elle a un visage en ovale. Elle aime faire bronzette sur la plage, et Forks n'est pas le meilleur endroit pour ça, mais elle fait avec tant pis . Elle a de longs cheveux blonds. Elle a des yeux marrons. Elle est assez grande 1m67, elle pèse 51 kg. Elle est toute mince, mais pas du genre anorexique pour autant. Elle a de toutes petites mains, et de long doigts, ce qu'elle trouve plutôt moche. Elle s'habille comme tous les femmes de son âge : tailleur au boulot, et chemisette - pantalons ou robes le reste du temps. Parfois elle porte des jeans. Elle prend le temps de se maquiller pour cacher et gommer les rides qui ont fait leur apparition.