Twilight Lunaison est un forum de rpg qui poursuit l'intrigue de Révélation, chapitre de la saga Twilight de Stephenie Meyer. Pour sa renaissance : une nouvelle intrigue, de nouveaux personnages, rejoignez-nous pour écrire l'histoire...
 
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Twilight rpg - Chapitre 5, Lunaison :: Archives et Corbeille :: Twilight Lunaison : Saison 1 :: Fiches de présentation refusées ou incomplètesPartagez

Athenodora Volturi ☼

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MessageSujet: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 19:15


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Votre présentation





Athenodora Volturi
feat Jayne Wisener


    | Nom : Volturi
    | Prénom : Athenodora
    | Surnom : Athe

    | Age d'apparence : 20 ans
    | Age réel : 319 ans
    | Nationalité : Athénienne

    | Groupe : Vampire
    | Statut : En couple avec Caïus
    | Métier/Etudes : /

    | Don : Communique avec les plantes






Son histoire



    Avant sa transformation

    Il est des jours où le monde paraît plus beau. Où, soudain, tout prend un sens et enfin la vie nous offre ce qu'on ne croyait jamais pouvoir obtenir.
    Il est dix heures à Athènes. La ville assiégée par les ottomans est en fête. On célèbre la naissance d'une enfant, fille d'un illustre noble et d'une célèbre artiste. Athènes, réduite au rang de simple village, s'incline devant l'enfant premier né depuis l'attaque des vénitiens. On pensait alors que le siège ottoman protégerait la ville des attaques extérieures : on avait tort. Un an plus tôt, les vénitiens avaient attaqué la ville, détruisant une partie du Parthénon et la vie de milliers d'hommes. Cette naissance est perçu alors comme un cadeau des dieux. Dans les bras de sa mère, l'enfante sacrée voit pour la première fois le ciel d'Athènes où le soleil est roi. Endormit, paisible, les athéniens voit dans son visage une chance de pouvoir tout recommencer ... Assise devant le Parthénon détruit, le père regarde sa femme.
    - Cette enfant est bénie. Elle doit avoir un nom à la hauteur de son rang. En prononçant son nom, le monde doit s'incliner.
    - Athenodora. Appelons-la ainsi. Athènes pour sa ville et dora signifiant torrent en latin.
    - Athenodora, répéta-t-il. Le torrent d'Athènes. Mais ici, nous parlons grec, pourquoi donc lui donner un nom latin.
    - Partout où elle ira, on l'adulera comme une reine, murmura la mère. Dans n'importe quel pays, l'homme la traitera comme il se doit.
    Ainsi naquit Athenodora ...

    Après elle, aucun autre enfant ne vit le jour dans la cité. Elle grandit dans l'ombre des adultes. Ceux-ci accédaient au moindre de ses caprices craignant les représailles des dieux. Elle avait tout ce qu'une jeune fille de son âge pouvait rêver. A 3 ans déjà, elle arborait des vêtements plus somptueux les un que les autres. Elle aimait parader devant les regards amusés des Athéniens. Jamais on ne la grondait. Tout lui était permis. Elle avait tout ce qu'une petite fille de son âge pouvait rêver. Tout sauf des amis. La solitude était sa seule alliée et l'ennui son unique ennemi. Mais cela lui convenait. Elle savait que lorsqu'un enfant viendrait au monde, elle ne serait plus la "princesse" d'Athènes. Pourtant ce qui devait arriver arriva. Peu après son quatrième anniversaire, un deuxième enfant vint au monde. Une petite fille, tout comme elle. Sans même l'avoir vu, Athenodora la détestait déjà. Elle devint insolente et capricieuse. Mais plus personne n'était là pour s'occuper d'elle. A présent, on prenait soin de la petite nouvelle, oubliant celle qui était là avant. Pendant deux ans, elle resta seule. A six ans, lorsqu'il fut temps pour elle de recevoir un tuteur, elle se désintéressa des cours. Un autre enfant naquit, un garçon cette fois, faisant la joie de tous les habitants. Ses parents, le lui présentèrent, en lui disant qu'à présent, elle n'était plus fille unique et qu'elle devait veiller sur son frère. On n'eut plus que de l'intérêt pour celui-ci faisant disparaître à tout jamais le souvenir d'Athenodora, l'enfant béni d'Athènes. Les adultes ne prirent plus le temps de s'occuper d'elle. De nouveau, ils devinrent les "grands" ennuyeux.

    Un jour, un 5 avril de l'an 1618, la tante de la belle Athenodora annonça son départ. Celle-ci âgé de 10 ans, supplia ses parents de la laisser partir avec elle. Ils acceptèrent à contrecœur. Ils savaient que son destin aurait lieu autre part que sur le sol d'Athènes. L'enfant, heureuse, embrassa ses parents et tous les habitants. Puis, oubliant ses rancunes, elle s'approcha du berceau de la maison et déposa un baiser sur la joue du nourrisson.
    -Au revoir petit frère, murmura-telle. Prends soin d'eux, à présent c'est à toi de veiller sur ce monde étrange. Tu verras, tu t'y plairas.

    La destination du voyage resta secrète, jusqu'à ce qu'Athenodora et sa tante fussent installées dans la diligence.
    - Ma tante, où nous rendons nous ? demanda-t-elle enfin.
    Celle-ci plissa les yeux et sembla réfléchir un instant.
    - Nous irons un peu plus au Nord, rejoindre la Germany. Je pensais par la suite me rendre en France.
    Athenodora acquiesça. Leur voyage promettait rencontre et aventure, tout ce dont elle rêvait depuis sa plus tendre enfance.

    Leur première escale se fit au plein cœur de l'Allemagne. Athenodora fut logée chez une famille de sang noble. Elle se montra à nouveau capricieuse, aimant le luxe de la maison. Elle apprit l'astrologie puis la botanie. Elle se découvrit une passion pour les plantes. Elle apprit auprès d'un homme d'une grande sagesse à prendre soin de chacune d'entre elle. Il lui enseigna le langage des fleurs. Comment comprendre les besoins des roses, les compliments des narcisses ou encore les pleurs des lilas. Bien sûr, ce n'était pas une science fondamentale. Beaucoup disait de l'homme qu'il était fou mais Athenodora aimait apprendre de lui. Sa tante repartit deux ans plus tard, Athenodora avait alors 12 ans. Celle-ci décida de rester. Son tuteur en botanie accepta de la loger jusqu'au retour de sa tante.
    La jeune fille approfondit sa science et passait le plus clair de son temps auprès des fleurs. Elle devint très douée. Elle découvrit très vite les joies de l'adolescence. Sans délaisser ses amies les fleurs, elle s'intéressa aux garçons de son âge. Elle se fit des amies. Elle devint enfin une jeune fille épanouie ...

    A 15 ans, sa tante revint. Athenodora décida de poursuivre son voyage auprès d'elle, abandonnant son professeur, ses amies ainsi qu'un garçon nommé Elios qu'elle appréciait particulièrement. Ils se rendirent en France et descendirent vers le Sud. Elle découvrit une autre population rieuse, gentille et douce. Les oliviers à perte de vue lui rappelèrent Athènes. Elle se sentit de nouveau chez elle et n'eut aucun remord d'avoir quitté l'Allemagne. Elle apprit ce qu'était l'amour. Elle aima, autant qu'on peut aimer. Mais lorsque son cœur fut brisé par l'auteur de cet amour, elle détesta.

    Elle resta durant un an, renfermée. Puis soudain, elle revint "à la vie", elle avait 18 ans. Elle décida de ne plus s'attacher. Elle multiplia les aventures. Manipulant, séduisant, puis abandonnant tour à tour les prétendants de son amour. Elle resta étroitement liée aux plantes, ses véritables amies. A 19 ans, elle décida d'abandonner sa tante pour se rendre en Italie. On racontait que là-bas poussait une fleur à la beauté exquise. Elle n'eut pas le temps de s'en rendre compte puisqu'elle échoua dans une ville italienne nommée Volterra sans pouvoir l'expliquer. Elle décida de visiter avant de repartir le lendemain. Elle ne s'imaginait alors pas qu'elle passerait ces 3 prochains siècles enfermées dans la ville ...
    Elle suivit une visite guidée. La guide semblait étrange, presque trop belle pour être réelle. Elle les mena dans les sous sol de la ville. Athenodora frissonna, cet endroit lui faisait froid dans le dos. Le groupe déboucha dans une vaste salle. Il y avait là trois trônes. Sur chacun d'entre eux étaient assis trois hommes à l'allure stupéfiante. Leur peau était blanchâtre et leurs yeux rougeoyaient. La panique s'installa dans le groupe lorsque les hommes leur sautèrent à la gorge. Athenodora courut vers la porte lorsqu'elle sentit qu'on la plaquait au sol. Elle tourna la tête et aperçut un des hommes assis un moment plus tôt sur un des trônes. Celui-ci s'approcha de son cou puis se ravisa et resta là, hébété devant la beauté d'Athenodora ...

    Sa transformation

    Elle ne bougeait plus. Sa tête était maintenue au sol par une poigne glaciale. Elle ne voyait rien, sauf le carrelage grisâtre. Tremblante, elle pleurait en silence priant les dieux pour que ce ne fusse qu'un cauchemar mais il n'en était rien. Elle se sentit brusquement tirée sur le côté, à l'abri du massacre qui se déroulait. Entrouvrant les yeux, Athenodora s'aperçut qu'elle était réduite à l'immobilité. L'homme avait posé une main sur ses hanches et une sur sa nuque. La force que dégageait son geste coupa le souffle de la jeune femme. Elle sentit soudain la chevelure de l'homme glisser sur sa nuque puis son souffle glacial se poser sur son cou. Elle frissonna puis ferma les yeux comme pour ne pas voir ce qui allait se passer ensuite. Il posa ses canines sur sa veine, doucement, comme s'il hésitait. Tout cela se fit dans le silence comme si la confusion qui régnait à côté n'appartenait pas à ce monde. Soudain, Athenodora sentit les crocs de l'homme entrer dans sa chair. Elle l'entendit déglutir. Sa respiration se fit plus hésitante, comme-ci chaque souffle pourrait être son dernier. Lentement, les forces lui manquèrent et la lutte invisible qu'elle menait semblait perdue. Elle sentit alors que l'homme se détachait de son cou. La véritable souffrance commença alors à ce moment-là.

    Elle criait de toutes ces forces s'agrippant au carrelage. Une brûlure atroce débuta dans son cou à l'endroit de la morsure. Comme un feu ravageant chaque parcelle d'une forêt. Elle brûlait de l'intérieur. Lentement, cette souffrance descendit dans ses bras sans pourtant laisser de répit à sa gorge. Elle se sentit impuissante face à cette force invisible et pourtant elle se battait, luttait pour repousser ce feu. Celui-ci se logea dans ses doigts puis dans son ventre.
    La mort s'insinua dans ses jambes puis dans sa tête. La douleur devint alors insoutenable. Elle sentit un étau se resserrer autour de son crâne, écrasant ce qui lui restait de raison. Son corps convulsait, tremblant malgré le feu qui le ravageait. Athenodora tendit la main essayant de s'accrocher à quelque chose pour ne pas devenir folle mais sa main retomba dans le vide. Brusquement le feu atteignit son cœur. Ce fut le coup de grâce. Les battements de ce dernier s'accélérèrent puis ralentirent et de nouveau augmentèrent la cadence. Il combattait avec la mort, il voulait gagner pourtant tout était perdu d'avance, il le savait. Mais il refusait de déposer les armes, d'admettre sa défaite sans s'être battu jusqu'au bout. Soudain, on l'entendit tressauter, il émit encore quelques battements irrégulier puis s'avoua vaincu. Il avait alors battu pour la dernière fois.

    Lentement le feu s'éteignit. Athenodora reprit alors possession de ses sens. L'étau qui enserrait sa tête, se défit doucement. Elle n'osa pas ouvrir les yeux, préférant attendre que toute sa raison lui soit revenue. Elle entendit des bruits de pas très nettement. Pourtant elle pouvait attester qu'il provenait de très loin. Son ouïe était bien meilleure qu'avant. Elle conta les pas. 1, 2, 3, 4, ... Soudain ils se firent plus brusque, plus précipité. Elle distingua deux cadences différentes. Ils arrivèrent dans la pièce. Elle s'aperçut alors que depuis tout à l'heure, il y avait quelqu'un d'autre dans la pièce. Il avait été si silencieux qu'elle n'avait pas remarqué sa présence.
    - Eh bien, Caïus, ta protégée se réveilleras-t-elle bientôt ?
    Sa voix était plus nette, Athenodora pus différencier tous les tons qu'ils employaient. Il semblait plus curieux que méfiant.
    - Son cœur s'est arrêté il y a deux heures mais elle n'ouvre toujours pas les yeux, soupira ce dernier.
    Sa voix à lui montrait de l'inquiétude.
    - Cette coquine nous fait attendre. Ne t'en fais pas Caïus, elle sera parfaite, s'exclama celui prénommé Aro.
    La force de sa voix fit sursauter la jeune fille. Elle ouvrit les yeux brutalement. La première chose qu'elle vit fut le plafond rougeoyant. Elle s'appuya sur une main et regarda autour d'elle. La pièce était éclairée par des torches donnant à celle-ci une allure mystique presque terrifiante. Un homme était assis sur une chaise près d'elle. Pourtant elle se sentait en hauteur. Elle regarda où elle était couchée. C'était un lit de pierre, comme un tombeau. Les deux autres hommes la regardaient ébahis. L'un d'eux, Aro, ouvrit les bras comme pour accueillir la nouvelle venue.
    - Vois comme elle est parfaite, Caïus. Je te félicite.
    Ce dernier regarda Athenodora d'un air attendri et lui tendit la main. Peu sûre d'elle, elle l'attrapa fermement et sauta à terre.
    - Doucement, murmura-t-il à son attention. Il te faut mesurer ta force.
    La jeune femme, hébétée lâcha la main du vampire et le regarda penaude. Aro s'esclaffa et enlaça la jeune femme.
    - Bienvenue chez les Volturi, très chère ...


    XVIIème - XVIIIème siècles

    •1692, Volterra. Quelques jours se sont écoulés depuis qu'Athenodora a quitté son statut d'humaine. Tout cela semble irréel. Les yeux rouges, la peau blafarde, deux grandes cernes sous les yeux comme si elle n'avait pas dormi depuis des jours. Elle goûta à son premier repas peu après sa transformation. Caïus, attentionné, avait fait mander un enfant pour qu'Athenodora puisse boire du sang frais. Celle-ci commença à apprécier son statut. Elle avait soif d'apprendre. Que cachait cette immortalité ? Qu'était-elle devenue ? La réponse à la deuxième question pris du temps à venir. Ni Aro, ni Caïus ne voulaient dévoiler ce qu'elle était devenue. Finalement ce fut Marcus qui lui avoua qu'elle était un vampire. Elle s'en était douter après son premier repas mais l'entendre de bouche humaine ou presque renforça ses soupçons. Lorsque la jeune femme demanda à Caïus de sortir de la forteresse celui-ci refusa catégoriquement avançant que le secret de leur identité pourrait être mis à mal. Athenodora accepta, intimidé, par la force que dégageait le vampire. Durant les premières années de sa transformation elle resta très respectueuse, parlant peu, apprenant la vie de vampire, ne dérangeant en aucun cas les affaires de Caïus, Aro et Marcus. Elle resta cloitrée dans l'aile Sud de la forteresse jusqu'à ce qu'elle puisse approcher des humains sans leur sauter à la gorge. Elle fit la connaissance de quelques gardes de la Volturi. Une en particulier puisqu'elle lui amenait ses repas deux à trois fois par jour. Caïus venait très souvent lui rendre visite. La jeune femme en tomba amoureuse rapidement ce qui ne déplu pas au vampire. Aro, contrairement au jeune homme, était plus réticent à l'idée que l'un s'attache à l'autre. Pour appartenir aux Volturi, il faut s'en montrer digne. Jamais il n'était venu à l'idée d'Aro d'accepter une femme sans don parmi les siens. Pourtant il ne put se résigner à la bannir tant elle était attachante. De plus, il n'avait aucune preuve quant à l'absence de don chez Athenodora. La jeune femme, déjà très belle, était devenu une sublime vampire ce qui, pourtant, ne rendit aucunement jaloux Aro. Lui aussi avait connu ce coup foudre qui ce nommait Sulpicia. Athendora en fit la rencontre deux ans plus tard. Les deux vampires se lièrent d'amitié, fort heureusement puisqu'elle resterait sa seule compagne durant les siècles à venir ...

    • 1728, Volterra. Vingt ans après sa transformation, Athenodora changea du tout au tout. Pour faire face à l'ennui permanent de la forteresse, elle quémanda plus d'humains avec lesquels elle pourrait s'amuser un peu avant de les tuer. Caïus ne sut lui refuser et accéda à sa demande. Elle devint plus cruelle ce qui ravit son mari qui s'ennuyait d'une femme trop respectueuse. Avec le temps, la coquetterie pris place dans la chambre de la vampire. C'est avec un plaisir non dissimulé que Sulpicia pris en charge l'éducation d'Athenodora. Elle lui apprit les dernières nouvelles, les tendances de chaque années et comment le monde évoluait. Elle non plus n'avait pas le droit de sortir du château et elle se renseignait chaque jour auprès de la garde des Volturi. Pour tuer le temps, Athenodora demanda qu'on lui rapport des livres. Aro, fut tout d'abord contre cette requête mais se plia aux exigences de la belle demoiselle qui, après le refus du vampire, ne cessa de lui tourner autour en réitérant sa requête. Il y eut bientôt une déferlante de bouquins en tout genre. Certains même dans des langues inconnus. Les saisons se succédèrent, les années passèrent sans que rien de nouveau nevienne troubler le calme apparent de la vie des Volturi. De temps à autre, une exécution avait lieu. Au début, la jeune vampire répugnait l'idée d'assister à l'une d'elle. Puis, avec le temps, elle prit plaisir à regarder ces tueries. C'était un bon divertissement. Elle se tenait toujours aux côtés de son mari, main dans la main et détournait la tête lorsque les gardes démembraient le vampire. Un jour, Sulpicia lui apprit qu'avant la mort, chaque vampire avait le droit à un procès. Athenodora réclama le droit alors d'assister à ceux-ci. Aro, refusa, bien évidemment. Pourtant, la jeune femme n'oublia pas sa requête et la réitéra plusieurs fois sans gagner gain de cause ...

    • Un 5 juin 1780, Volterra. L'ennui, toujours et encore. Athenodora et Sulpicia était assis sur un lit majestueux. Rempli de plumes d'oie dont la couverture avait été confectionnée avec la plus belle soie importée directement de Damas. D'ordinaire ce lieu était réservé à Aro et sa femme bien qu'il n'en avait aucun besoin réelle. La chambre de Caïus était tout aussi belle mais les couleurs moins chatoyantes, plus plates. Athenodora discutait alors avec son amie de la garde des Volturis. Les deux jeunes femmes avaient rencontrés pour la première fois l'intégralité de la garde. Sulpicia avait très vite jalousé Jane, un vampire apprécié particulièrement d'Aro. Caïus au contraire avait interdit à sa femme de s'approcher de lui ou de son frère. De même, il avait menacé les deux jumeaux d'une sentence sans équivoque s'il venait à toucher sa femme. Athenodora n'appréciait guère la jeune femme, trop sûre d'elle.
    Soudain, Aro surgit dans la pièce, coupant la conversation des jeunes femmes. Il pria Athenodora de bien vouloir quitter la pièce. Celle-ci s'en alla en pouffant. Elle savait très bien ce que signifiait cette demande. Lorsqu'elle fut sortie de la chambre, elle entendit un bruit de clé. Elle sourit et s'en alla rejoindre son amant. Malheureusement, elle ne le trouva pas. Marcus lui apprit qu'il avait quitté le château au petit matin.
    L'inquiétude s'éprit d'elle. Elle arpenta les allés de la forteresse. Elle s'en prit aux gardes des Volturi, leur ordonnant de partir hors de sa vue, s'il ne voulait pas finir en chair à pâtée. Craignant le courroux d'Aro s'ils osaient désobéir à l'une des Volturi, ils déguerpirent rapidement.
    L'auteur de toute cette agitation revint tard dans la nuit. Il se présenta devant sa belle qui hors d'elle, vociféra un tas d'injure à son égard. Le vampire la pris dans ses bras et fit venir l'une des femmes de chambres. Celle-ci tenait précieusement un bouquet d'Amaryllis agrémentée de quelques fleurs d'Ail. Athenodora arracha le bouquet des mains de la pauvre femme qui s'en alla en courant. Elle avisa les fleurs puis s'approcha de Caïus :
    - Comment as-tu su ? murmura-t-elle. Elles sont magnifiques.
    Caïus sourit en voyant sa femme s'extasier devant son cadeau.
    - Je t'ai entendu discuter avec Sulpicia. Sais-tu comme il est difficile de trouver des fleurs d'ails par ici, ironisa-t-il en attrapant sa femme par les hanches. Mon cadeau ne mérite-t-il donc pas une récompense.
    La belle se délivra de l'étreinte de son mari en lui reprochant d'abimer son bouquet. Elle demanda à ce qu'on lui apporte un vase pour ne pas que ses fleurs ne dépérissent.
    - Les pauvres ne survivront pas sans soleil, soupira la jeune vampire.
    - J'en ramènerai des milliers pour empêcher ce beau sourire de s'effacer.
    Athenodora sourit puis posa son bouquet un peu plus loin. Elle s'approcha de son mari et l'enlaça.
    - Tu l'auras ta récompense, murmura-t-elle.

    • 1791, Volterra. Le XVIIIème siècles se termine. Le temps commence à se faire long et malgré les quelques fleurs ramenées par la garde Volturi, Athenodora s'ennuyait. Elle s'était découvert un don. Bien mièvre et sans aucune valeur. Elle pria Caïus de n'en parler à personne surtout pas à Aro qui se moquerait d'elle et la châtierait sûrement. Ce don était bien complexe mais totalement inoffensif. Elle pouvait capter le message des fleurs relayer sur de grandes distances. Connaitre les nouvelles du monde et apprendre ce qui était arrivé hors des murs de Volterra. Elle appris ainsi la mort du roi de France et l'installation d'une ... démocratie. Quel mot étrange. Comment un peuple peut-il vivre sans être dirigé ? Tout cela lui semblait absurde ... Ce don la divertissait un peu, malheureusement pas assez. Caïus lui expliqua que ce don remontait certainement à sa période humaine. Elle eut du mal à se remémorer son passé, tout était flou. Elle distingua pourtant nettement un homme. Elle se souvint de lui comme étant le géniteur pour sa passion des fleurs.
    Ce fut en plein hiver que les Volturi accueillirent un de leur congénère. Intéressée, la jeune vampire s'immisça discrètement dans la salle des trônes. C'était un jeune homme du nom de Carlisle. Les trois illustres vampires, intrigués par ce vampire ayant renié la nourriture classique l'acceptèrent de bon cœur parmi eux. Carlisle resta avec eux pendant un long moment mais il semblait s'ennuyer. Athenodora lui parla peu, le regardant du coin de l'œil, craignant un peu cette homme aux cheveux blonds venu de l'extérieur de Volterra. Elle n'avait que rarement vu des étrangers entrer à Volterra et encore moins en ressortir vivant. Elle l'admirait tout de même mais en resta éloigner. Elle n'assista plus aux exécutions laissant l'étrange vampire avec les trois maitres. Sulpicia ne comprenait pas son attitude méfiante et trouvait l'homme plutôt charmant ...

    XIXème siècle

    • 1806 ,Volterra. L'ennui est mortel. Façon de parler bien évidemment. Athenodora commençait à devenir moins docile se vexant pour un rien et demandant toujours plus. On ne lui refusa rien craignant la fureur de son mari. Carlisle avait rallongé sa visite et il semblait s'entendre à merveilles avec les trois Volturi pour le plus grand désarroi de la jeune vampire. Les jours passaient sans encombre tandis que la jeune princesse se délecta de plus en plus de ce que pouvait lui amener sa royauté. Elle ne se satisfaisait plus des repas apportés quotidiennement demandant aux gardes d'en ramener toujours plus. Aro commença d'autant plus l'apprécier. Une vraie reine, disait-il, doit se comporter comme t'elle. Il t'aura tout de même fallut plus d'un siècle pour prendre ton rôle à cœur.
    Athenodora devint alors plus exigeante et hostile que jamais. Elle avait toujours des réparties cinglantes en réserve dès lors que l'on ne lui obéissait plus. Caïus approuva ce comportement ce qui fit croître la prétention de la jeune fille. De ses affronts, résultat une acceptation à une requête longtemps réitérer. Elle obtint le droit de participer aux procès aux côtés de sa belle-sœur Sulpicia. A présent que son cœur était aussi que la pierre, nul doute qu'elle n'aurait plus aucune pitié pour les accusés ...

    • 1874, Volterra. Carlisle s'en alla. Il avait dit Adieu au Volturi. Ceux-ci le laissèrent partir à regret. Il partit pour le nouveau monde parce qu'il avait décidé d'exercer sa médecine. Aro ne comprit pas. Mais il n'y avait rien à comprendre. Carlisle était différent tout simplement. Notre jeune vampire en fut soulagée. Il l'effrayait plus qu'il ne l'intriguait et s'il avait décidé de sauver des vies humaines, tant mieux pour lui, du moment qu'il ne soit plus à Volterra. Le don d'Athenodora lui apprit qu'un homme aux croyances religieuses extrêmes essayait de réinstaurer son pouvoir. Que de sottises. La jeune fille n'avait jamais cru à une force supérieur contrairement à Carlisle. Pour elle, celui que les mortels appelaient Pape n'était autre qu'un sot parmi les autres. Quel comble ! Un sot pour diriger les sots. Bien sûre, ce n'était que l'avis d'une vampire ayant été à l'encontre de toutes les lois rationnelles, comme l'immortalité, mise en place par cette force supérieur ...


    XXème siècle

    • 1914, Volterra. L'Italie est en crise. On racontait alors qu'une guerre se préparait et qu'elle unirait de nombreux pays. On la nomma la première guerre mondiale. Athenodora suivit l'avancée de cette événements grâce aux fleurs apportées par les gardes venus de l'extérieur de Volterra. Il fallait dire que cet événement lui était égale. A l'intérieur de Volterra, elle était en sécurité et la garde suffirait amplement à la protéger. Aro lui apprit par la suite que Carlisle avait finalement trouvé une femme. Esmée, s'appelait-elle. Joli prénom. Athenodora en conclut que l'Amérique réussissait bien au vampire. Tant mieux pour lui. Ici, le temps semblait s'écouler au ralentit. De plus en plus Athenodora s'insurgea contre cet ennui. Son mari pour la calmer lui fit apporter les plus belles parures, les plus beaux vêtements venu des quatre coins du monde. La valeur de la garde robe de la jeune femme devait s'élever à des millions de dollars. Mais cela ne lui suffisait plus. Elle voulait plus, encore et encore ...

    • 1918, Volterra. Une année décisive. Fin de la guerre et nouvelle d'un vieille ami. Carlisle ... Les Volturi n'avait que ce mot à la bouche en ce moment ce qui énerva quelque peu notre demoiselle. On eut vent de la transformation d'un autre vampire ce qui agrandit la famille. Celle-ci d'ailleurs ce nommait à présent Cullen. Peut-être Carlisle ne voulait pas être assimilé à la puissante famille. Quoi qu'il en soit, Edward était arrivé parmi eux. Athenodora ne s'en intéressa pas. Elle ne portait déjà pas l'homme dans son cœur alors son fils adoptif ?!

    • 1958, Volterra. Aro était parti. Caïus et Marcus aussi. Il devait régler une histoire d'enfants immortels devenue ingérable. Athenodora avait supplié son mari de la laisser venir mais celui-ci avait rétorqué que le danger était trop grand. Balivernes ! La garde était là, elle aurait pu la protéger. C'est à ce moment donné que la jaune vampire comprit que même lorsqu'elle saurait se contrôler, elle resterai séquestrée dans la forteresse qu'est Volterra. Elle fit part de ses inquiétudes à sa belle-sœur qui lui rétorqua que si elles devaient rester ici, il y avait bien une raison. Maigre compensation. Après le départ de son mari, la belle resta cloitrée dans sa chambre ne se levant que pour participer au repas sans grande conviction. L'éternité lui parut soudain très long ...

    • 1960, Volterra. Enfin, les amants tant attendu rentrèrent à Volterra. Une mauvaise nouvelle les accompagnait. Du moins mauvaise au point de vue d'Athenodora. Les Cullen serait à présent au nombre de sept. Un clan bien trop important. Bien sûr, ils n'avaient aucune chance de rivaliser avec les Volturi pourtant Athenodora ne les portait pas dans son cœur ...

    • 1971, Volterra. Libération. Pour la première fois, Athenodora revoyait les couleurs du ciel. Depuis quelques mois, elle affichait sa rébellion. Caïus avait donc demandé à la garde d'assurer sa protection. Mais ce qui devait arriver arriva. La jeune vampire, rusée, réussit à échapper à la garde. A présent, sur les marches du perron, elle observait un tout autre monde. Monde auquel un jour elle avait appartenu. Des milliers d'humains s'agitaient. Mais Athenodora n'était pas préparée au monde extérieur. Elle ne savait pas qu'elle pourrait être les conséquences si elle s'exposait au soleil. Jane arriva à temps, l'empêchant de commettre l'irréparable. Lorsqu'elle se présenta devant Aro, elle tomba à genoux. La sentence ne se fit pas attendre. On lui interdit d'être libre, l'obligeant à être suivis par un garde dans le moindre de ses déplacements. La vampire accepta sa punition sans protester, honteuse de son ignorance.

    • 1984. Volterra. Aro avait levé la punition. Pourtant, Athenodora ne pouvait se résigner à rester à Volterra. Quelques secondes lui avaient suffit pour tomber amoureuse d'Ouranos. Elle rêvait d'évasion, de prairie où rien n'arrêterait sa course. Caïus s'inquiétait. Sa femme n'était plus la même. Elle ne prenait plus plaisir au repas et passait son temps dans sa chambre, étendue sur le lit un bouquet de fleurs posée sur sa poitrine. Son don lui permettait de partir loin de Volterra et d'apprécier Gaïa, la terre.

    XXIème siècle

    • Début 2006, Volterra. On annonce un procès. Athenodora exige d'y participer mais les trois vampires lui expliquèrent calmement que ce procès ne serait pas comme les autres. La jeune femme ne mit pas longtemps à comprendre. C'était ce Edward, fils adoptif de Carlisle. Elle apprit qu'il s'était épris d'une humaine. Ridicule ... Elle espérait de tout coeur que ce procès finirait en exécution. Cela l'amuserait de voir un Cullen mourir. Malheureusement les Volturi refusèrent la mise à mort. Il décida alors de se montrer en plein jour. Forte d'une expérience toute fraîche, Athenodora savait que ce geste le condamnerait. Mais sa dulcinée arriva à temps pour la sauvée. Rageuse, elle s'enferma dans sa suite refusant toute visite. Elle ne sut pas ce qu'il advint d'eux mais la bonté d'Aro leur avait certainement permis de partir vivant de Volterra. Elle bouillonnait et s'insurgeait contre Aro. La rébellion n'était plus très loin.


    • 2008. Volterra. Les Volturi ont perdus. Tout perdu. Leur dignité et le respect que leur accordait Athenodora. Elle prépare son évasion avec soin. Chaque détail est réglé. Trop obnubilés par leur vengeance, les rois ne s'aperçoivent pas de la gaieté d'Athenodora, si brusque, si soudaine. Enfin, le moment fatidique survient. Elle s'enfuit, prenant soin de ne plus perpétrer les mêmes erreurs que dans le passé. Elle y arrive. Elle est libre. Dès lors que Caïus s'aperçoit de la disparition de sa femme, il entre dans une rage sans pareil. Il lance ses gardes à sa recherche et jure de la punir si sévèrement qu'elle n'osera plus jamais quitter la forteresse de Volterra. Mais on ne la retrouve pas …


    • 2009. Amazonie. Les recherches continuent. Caïus finit par révéler le don de sa femme à Aro qui sait à présent où chercher. La garde est lancée dans les plus grandes forêts. On fouille chaque recoin. A présent, la colère de Caïus a fait place au désespoir. Trois mois sans nouvelle. Et s'il lui était arrivé quelque chose. On la retrouve. Fraiche et joyeuse, dansant entre les arbres amazoniens. Les gardes surgissent de tous les côtés, agrippant ses poignets. Elle se débat, crache, supplie mais rien n'y fait, on l'emmène loin de son bonheur. Arrivée à Volterra, Caïus s'emporte. Tour à tour, heureux puis haineux. Il se retient à plusieurs reprises de la frapper. Finalement, c'est Marcus qui viendra à son secours. Malgré son scepticisme, il s'approche d'elle et se tourne vers ses "frères".
    - Cette enfant s'ennuie, cela ne se voit-il donc pas ? Aro, il est temps qu'elle jouisse d'un peu de liberté. Caïus, tu ne peux la garder enfermer. Sa prison dorée ne semble plus lui satisfaire. Accorde lui des sorties mon bon ami.
    Aro semble réfléchir puis se lève en souriant.
    - Il est vrai qu'Athenodora est jeune. Souviens-toi de tes 300 ans Caïus. Il te fallait de l'espace, n'est-ce pas ?
    Caïus opine.
    - J'accepte de lui accorder un peu plus de liberté mais elle devra sortir accompagnée d'un Volturi que ce soit moi ou un autre, déclara Caïus impassible.
    Quelques minutes passèrent. Il s'approcha finalement et enlaça sa femme tendrement.

    2011. Italie. Athenodora n'a pas quitté l'Italie mais elle sort régulièrement de la forteresse. A présent, elle fait partie intégrante des décisions des Volturi et est résolue à aider les trois rois pour capturer l'enfant. Caïus s'oppose encore à sa participation à cette mission, mais l'insistance de sa jeune compagne le fera céder, sans aucun doute.







Son caractère

    Petite vampire deviendra grande. La douceur de l'agneau s'est en allé laissant place à la fureur du lion. La peur a été banni de son être. Elle ne crains rien, ni personne. Athenodora a vécu tout au long de sa transformation couvée par les Volturi. Aujourd'hui, elle a appris à maitriser ses émotions. La mort est moins terrible que l'ennui. Celle-ci est d'ailleurs sa meilleure alliée. Mourir ne lui fait pas peur. Elle a appris à regarder la mort avec dignité et orgueil. Elle qui a su déjouer ce fléau, se rit de lui à présent. Tout comme son mari et ses beau-frère, elle est dénuée de tout sentiments humain. Son cœur est plus froid que les glaciers du nord. Elle n'a aucune compassion, aucune pitié. Le temps a fait d'elle une créature des ténèbres vociférant ces ordres à tout va et punissant celui qui ne l'écouterait pas. Elle a pris l'habitude d'être adulée et d'avoir tout ce qu'elle désir. Mais sous ces allures de gamine capricieuse se cache une vampire de trois siècles qui a eu le temps de méditer sur le monde. Ces trois cent ans d'ennui lui auront permis de devenir calculatrice. Ces moindres gestes sont calculés à l'avance et elle ne laisse jamais rien de côté. Elle a beau être manipulatrice et séductrice, elle n'en ai pas moins d'une grande sagesse. Elle a compris les hommes et leurs prétentions, elle sait comment se fondre parmi eux, comment se jouer d'eux. Elle s'est liée d'amitié avec la solitude qui avec le temps est devenue la seule à la comprendre. Elle a compris que l'altruisme ne lui amènerai que le désespoir et la pauvreté. A présent, on lui donne sinon elle prend. Personne n'oserai jamais se mettre en travers de sa route. Elle est une reine, une princesse que l'on admire et que l'on craint tant son rang est élevé.







Son physique


Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Eternel et muet ainsi que la matière.

Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.

"Baudelaire - La beauté"


    On avait dit de Zeus que jamais aucun homme n'égalerait sa puissance, on avait dit d'Athéna que jamais aucun humain n'atteindrai sa sagesse, on avait dit de Vénus que jamais aucune femme ne surpasserait sa beauté.
    Quelle éternel gloire lorsqu'à son apogée la femme devient déesse et quel éternel deuil lorsque la femme à son déclin devient poussière. La beauté d'un vampire, elle, jamais ne se fane. Athenodora en est la preuve vivante. Trois cent ans déjà ... Au delà de ce que l'on pouvait imaginer, une beauté fracassante que n'ont connut si peu de gens. Envoutante et séductrice, son statut de vampire lui a offert la grâce et l'élégance éternel. Elle était naturellement belle et fut embellit par sa transformation. Aro ignorant son don, ne l'a certainement gardé que pour sa beauté mythique. Mais qui à part les trois Volturi ont pu accéder à celle-ci ?
    Jalousement gardé par les trois maitres comme une pierre précieuse qui risquerait de s'abimer au regard d'étranger. Une unique personne est ressorti vivante de leur entrevue, un médecin nommé Carlisle. Ainsi jamais personne ne pourra se douter de son identité. Mais que recèle cette magnificence ?

    Son regard est de braise, d'un rouge écarlate à en faire froid dans le dos. Contrairement à son mari, jamais la clarté de ses yeux ne s'est éteinte pour devenir terne. Ses cheveux sont de miel, de ceux que l'on n'ose pas toucher. D'un blond satiné aux boucles soigneusement dessiné encadrant un visage encore enfantin. Qui a dit que la vieillesse était une malédiction ? Emprisonnée à jamais dans ses 20 ans, elle garde ce sourire enjôleur. Sa voix est de cristal prenant des accents de fureur lorsque la colère s'immisce dans son être. Son rire est doux, de ceux que l'on aimerait entendre à longueur de journée mais qui nous ravit les oreilles si peu.
    Elle n'est pas grande et parait si fragile à côté de ses gardes. N'y prêtais pas attention, sa force n'égale pas celle des nouveau-nés mais est bien assez développé pour se protéger. Elle est fine, d'une taille de guêpe comme on dit si bien. Etant issu de la famille de vampire la plus riche, elle se pare de fabuleux bijoux aussi renversant les uns que els autres. Sa garde robe retrace son histoire. Les tenues du XVIIIème siècles y ont longtemps gardé une place privilégié mais voilà qu'aujourd'hui notre princesse décide de suivre la mode faisant confiance à sa belle-sœur. Mais ce qui pourra le plus vous surprendre est son amour pour els fleurs. On les retrouve partout. Aussi bien dans ses cheveux que gravé sur ses bijoux. Pour faire honneur à la famille Volturi, Madame se doit d'être la plus belle !












Vous...



    | Prénom ou pseudo : Calee
    | Age : 14 ans
    | Présence : 4/7 jours

    | Comment avez-vous connu le forum : En faisant quelques recherches
    | Avez-vous lu les livres : Ouep !
    | Commentaires/Suggestions: Je n'en ai pas du tout mis à part un grand merci pour avoir une partie journal intime ! Rares sont les forums qui en ont et j'adore cette partie ^^
    | Code du réglement :
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    | Test rp :

Spoiler:


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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 19:26
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche !

J'espère que l'on aura l'occasion de rp ensemble Smile
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 19:31
Bienvenue Athenadora. Smile

Contente que tu ai décidé de t'inscrire, j'espère que tu te plairas parmi nous.

Bonne chance pour la fin de ta fiche !


(De la part d'Alice et Eléanore, mon second personnage).
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 19:36
Bienvenue et bonne chance pour le reste de ta fiche!
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 19:49
bienvenu et bonne chance pour ta fiche
de la par de Brittany et Andréa
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 20:44
Merci à tout le monde !!
Je pense avoir fini ! J'ai adoré écrire son histoire même, si je dois avouer que j'ai pris quelques petites choses d'une fiche que j'avais déjà faite Embarassed
J'espère que l'histoire pourra coller au contexte !
J'ai ajouter un petit plus sur son pouvoir (tout a fait inoffensif, soit dit en passant mais j'en avais besoin pour l'histoire Very Happy ) dans le test RP
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 22:04
Bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeVen 14 Jan - 22:07
Merci ! En fait, j'ai mentionné Jane a plusieurs reprises dans mon histoire, je voulais être sûre que ça te convienne ^^
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 1:50
Bon alors je vais être la plus honnête du monde : ça faisait longtemps que j'avais pas vu une fiche comme la tienne ! Complète et travaillée, franchement je te tire mon chapeau.
Franchement je n'aurais jamais espéré une personne qui s'attache tellement au personnage d'Athenadora, ça se voit que tu aimes ce rôle dans tes écrits. Smile



Il y a juste deux petites fautes : Heidi ne peut pas être la vampire qui t'a conduite aux Volturi lors de la visite à laquelle Athenadora a participé humaine car elle n'était pas encore vampire à cette date (Heidi du forum a été transformée en 1719 et toi selon ce que j'ai lu de ton âge en 1712). De là, l'autre souci est que la première date que tu donnes pour ton année de transformation "1708" est fausse selon ton âge.
Enfin c'est vraiment un détail très léger et que tu pourras très vite corriger.


Sinon Hélèna a eu une idée à propos de ton récit, elle va te joindre par mp pour te demander si son idée te séduit ou non. Wink


Pour finir, n'oublies pas de signer le réglement ici : https://twilight-lunaison.forumtwilight.com/t19p15-signatures-du-reglement#2376

Dès que c'est fait, je te validerais. Wink
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 5:22
Bienvenue parmis nous Very Happy !!
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 9:09
Voilà j'ai tout corrigé ! ^^ Je ne sais même pas pourquoi 'javais mis 1708 puisque je m'étais déjà fait la réflexion que ça ne collait pas Razz
Merci beaucoup, en tout cas. Athenodora est le seul personnage que j'apprécie de jouer sur les forums fantastique ! Alors came fait plaisir qu'elle soit acceptée.
Pour son don, je voulais savoir si c'était bon. Je l'ai créé le plus inoffensif possible mais j'en avais besoin pour l'histoire donc j'espère que ça va ^^
Sinon, je suis toujours partante pour entendre des idées. J'attendrai donc qu'helena me propose quelque chose Very Happy
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 9:27
bienvenue parmi nous Athenodora
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Alex McCherry
Alex McCherry
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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 9:29
Bienvenue parmi nous.

Je viens de lire ton histoire et ta fiche en générale.
Je la trouve très complète et vraiment intéressante.
J'aime beaucoup ta façon d'écrire et le récit de cette histoire

Cela va s'en dire qu'il nous faudra Rp ensemble ma chère.

Je te souhaite de bien t'amuser avec Anthenodora
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Eléanore D'Ambroisie
Eléanore D'Ambroisie
Mi-ange, mi-démon fondatrice (Dc Alice)


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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitimeSam 15 Jan - 9:34
Super ! Merci d'avoir corrigé ta fiche et signé le règlement.
Athenadora étant un Volturi présent dans les romans, elle devait effectivement avoir un pouvoir : merci de l'avoir fait mineur vu qu'on ne le connait pas. Smile

Pour moi tout est donc ok, je te valide. (Désolée de le faire avec ce personnage-là et non avec Alice).
Amuses-toi bien et bon rp !



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MessageSujet: Re: Athenodora Volturi ☼ Athenodora Volturi ☼ Icon_minitime
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