Kim Volturi
| Sujet: Kim Volturi * Changement de camp vengeur* [100%] Jeu 17 Nov - 19:49 | |
| Validée Votre présentation Kim Volturi feat. Lea Michele | | Nom :Volturi anciennement Connweller | Prénom :Kim | Surnom :on m’appelait Kimmy
| Age d'apparence : 19 ans | Age réel :22 ans | Nationalité :Amérindienne
| Groupe :Vampire Sanguinaire | Statut :Célibataire, mais ma vie antérieur me lie a Jared de par son imprégnation
| Métier/Études : Aucune
| Don :Le don d'ubiquité [permet à celui qui le possède d'envoyer son esprit n'importe où dès qu'il sait le contrôler : par contre son corps reste inerte et donc vulnérable. Elle aura donc la possibilité plus tard, de "voir" des lieux de son passé en esprit]
| Son histoire
Comment vous racontez le passé d’une jeune femme qui, à ce jour reste une parfaite inconnue à mes yeux. Et pourtant, il le faut pour que vous puissiez comprendre comment j’en suis arrivé à devenir celle que je suis aujourd’hui. Ce qui me reste de ma vie d’humaine, quelques bouts de papier arraché à un journal intime semble-t-il, qui aujourd’hui n’ont plus de valeur à mes yeux et que je vous donne sans regret. Ne soyez pas surpris par les commentaires que je serais amené à faire au travers de votre lecture. Après tous c’est ma vie que j’essaye de vous livrer aujourd’hui, il me semble naturel d’en disposer comme bon me semble.
- Extrait de son journal intime, Kimmy a écrit:
Pour notre Petite Princesse Indienne qui fait notre bonheur. Aujourd’hui tu es en âge d’avoir tout comme ta mère ton tout premier journal intime qui,nous l’espérons, saura être ton confident le plus cher. Afin de commencer la première page de ce dernier nous y avons collé ton faire-part de naissance. Bisous et bonne écriture Papa et Maman Mes parents m’ont vraiment fait un beau cadeau en t’offrant à moi, tu seras mon confident pour la vie, rien ne pourra nous séparer et je te dirai tout. Tu sais en même temps je n’ai pas beaucoup d’amis. Enfin si j’ai des amis, mais je ne leur raconte pas ma vie, c’est personnel. Maman dit que je suis trop timide. Et puis je n’ai pas de grande sœur à qui raconter tout cela, ni même de petite, car je suis fille unique. Oh ne va surtout pas croire que j’en profite, car ce n’ai pas le cas, je suis une petite fille très sage, trop sage d’ailleurs au gout de papa. Mais ne va pas croire que je suis ennuyeuse, disons juste un peu plus réservé que les autres. Et pourtant je suis toujours en train de partager avec tout le monde. Tu sais ici à la réserver, c’est comme une grande famille et en plus il y a toujours quelque chose à faire, même si ce n’est jamais moi qui lance les idées. Par exemple, aujourd’hui c’était mon anniversaire et j’avais donc invité tous mes amis de l’école. Et bien entendu les garçons ce sont fait un malin plaisir de…
Comment cette petite fille peut-elle être moi. Aujourd’hui, je n’ai vraiment rien d’une personne timide et prête à aider les autres. Ce serait plutôt tout pour moi et toujours à me faire remarquer. Et pourtant Sayuri ma assurer que c’était ce qu’elle avait trouvé dans ma main lors de notre funeste rencontre et donc que cela ne pouvais que m’appartenir. Enfin bref, le reste de cette page était déchiré je ne puis vous dire ce qui c’est passer par la suite. Alors passons à autre chose.
- Extrait de son journal intime, Kimmy a écrit:
… Et pourtant il m’a adressé un regard aujourd’hui, j’en suis persuadé, ou est-ce encore le fruit de mon imagination, comme me le dit souvent Julia. Je ne sais pas à quoi je dois m’attendre. Pourtant je sais très bien ce que je veux, je le veux lieux, Jared, mon cœur et mon âme me le crient à longueur de journée et de nuit. Suis-je si laide qu’il ne voit même pas les efforts que je fais pour lui plaire. Aujourd’hui, j’ai même laissé de coté mon vieux pull rouge rayer, pour celui que Julia ma prêtée, un peu plus sexy. Je n'étais d'ailleurs pas du tout à l'aise. Et je ne suis même pas sûr que ce regard m’était destiné. Je ne sais plus quoi faire, je l’aime, mais je crois bien que lui ne me voit pas, ou juste comme une connaissance d’école. Cela devient vraiment dur tu sais. Je ne sais vraiment plus quoi faire pour attirer son attention. Je crois que je ferais mieux de partir quelque temps. visiblement maman ne semble pas contre cette idée. Nous en avons reparlé ce soir. Elle trouve que je me prends trop la tête avec ce garçon. J’ai parfois l’impression qu’elle ne sait pas ce que c’est d’être amoureuse. Et puis c’est une adulte, elle ne doit plus savoir. Je vais réfléchir à cette histoire de partir quelque temps chez mes cousins, peu, peut-être qu'elle a raison au fond et que cela me fera du bien. Pourtant ici j’ai mes racines, mes amis et Jared. Je crois que je vais vraiment avoir du mal à prendre une décision et surtout à oublier son sourire, son regard, son corps, sa façon de…
Heureusement que la seule partit qui reste soit celle-ci, car je trouve déjà que c’est amplement suffisant et nianian, alors si cela avait dû se poursuivre, je vous aurais plaint aussi. Mais comment peut-on être aussi sensible et niaise. Est-il vraiment possible qu’un jour j’aie été cette jeune adolescente. Cela semble vraiment tiré par les cheveux. Mais encore une fois je me fis à Sayuri.
- Extrait de son journal intime, Kimmy a écrit:
…je sais bien que je me répète, mais je suis vraiment heureuse d’avoir mis fait à mon exil volontaire. Sinon je n’aurais peut être jamais recroisé la route de Jared et alors il ne m’aurait jamais déclaré sa flamme ainsi. Enfin si l’on peut le dire ainsi, car même si cela est indépendant de sa volonté, je sais bien qu’une part de lui devait m’aimait pour que cela ce produise. Je ne devrais pas te parler de cela en fait et oui je ne suis pas en mesure de le faire. Si jamais Mr Black venait à lire ce journal, ou encore pire, que cela tombe entre de mauvaise main, je te laisse imaginé le carnage. D’ailleurs, j’ai vraiment toujours autant de mal à me faire à l’idée que toutes ses légendes soient vrai. Non mais c’est vrai. Oui il serait possible de faire croire cela à un enfant de 10 et le jour d’Halloween. Mais à moi qui en ai 19, je trouve cela un peu gros. Et pourtant je l’ai vu de mes yeux. Enfin eux non et heureusement en fait. Je n’ai pas tellement envie d’en croiser un. Tu vois de qui je veux parler bien sur. Enfin bref, je préfère de loin la chaleur de mon Jared à leur peau de glace. D’ailleurs en parlant de lui je te laisse, je crois qu’il vient d’arriver.
Je dois vous avouer que je ne comprends pas plus que vous de quoi elle parle. Sayuri m’a promis que quand je serais prête, elle m’expliquerait a quoi faisait allusion se passage et je dois dire que je suis assez impatiente et pourtant ce n’est pas mon point fort c’est dernier temps. Mais elle me dit toujours que ce n’ai pas encore le moment.
- Extrait de son journal intime, Kimmy a écrit:
…je ne pensais pas que tout cela pouvait être vrai, et je comprends l’inquiétude que peu ressentir Jared, même si parfois c’est très pesant, j’aime qu’il fasse attention à moi, mais il y a des fois c’est trop. Mais je l’aime trop pour le lui dire et je n’ai pas envie de le blesser. Je sais bien que c’est pour mon bien qu’il fait cela. D’ailleurs je ne suis pas la seule à penser cela, je pense que la surprotection est dans leur gêne. Rachel à le même problème avec Paul, enfin si l’on peu parler de problème. Après tout ils sont aux petits soins pour nous et…
Non décidément je ne parviendrais pas à me faire que cette jeune femme à l’eau de rose et si romantique et nunuche soit moi. Je sais à quoi ressemble un couple, je l’ai bien vu avec les rois. Alors il faut arrêter avec ses histoires. Justement c’est le cas on n’arrête, car je n’ai pas d’autre ânerie à vous faire lire. Heureusement pour vous non ? Je suis d’accord oui
[Article à Lire absolument pour une meilleure compréhension de l'histoire du personnage]
Si je ne me souviens pas de ma vie d’avant, je me souviens parfaitement de cette journée comme si c’était hier. Par contre je ne me souviens pas des circonstances de cet accident, ni même de cet inconnu que celle qui semblait être avec moi à dit voir et j’aurais voulu éviter. Parfois, il m’arrive même de penser que c’était peut être elle la responsable de cet accident. Pour le moment je n’en ai pas la réponse, mais je la trouverais un jour, après tout j’ai l’éternité pour cela. Et si je vous parler de ce fameux jour, de ce que je me souviens et de ce que j’ai vu.
Je sais que j’ai perdu le contrôle de ma voiture et que la glissière n’a pas su arrêter la voiture dans sa course. Je me souviens avoir crié, et d’avoir assisté à la chute de la voiture. Je ne me souviens pas de l’impacte de l’eau, j’ai supposé que j’avais du perdre conscience à ce moment là. Mais lorsque je me suis éveillé, j’étais coincé, je ne pouvais pas bouger ma jambe droite, elle était prise entre le tableau de bord et la portière. L’impacte surement aura déformé la voiture. Et puis j’ai vu l’eau monté dans ma voiture et je ne pouvais pas m’en échapper. J’étais prise au piège. Elle montait de plus en plus. Je savais qu’il ne me restait plus que très peu de temps. Et puis j’ai pris ma dernière respiration, lorsque j’ai voulu en prendre une autre, ce qui était un réflexe, j’ai sentit l’eau salé s’engouffré dans ma bouche et dans ma gorge. Il dure de ne pas résister, de ne pas luter pour sa survit.
Tout aurait du se terminer ici et pourtant, contre toutes attente, mon esprit à quitté mon corps et j’ai assisté à ma mort, à mon agonie. Je ne saurais expliquer pourquoi, ni comment. Mais je me voyais dans ma voiture, je voyais tous ce qui se passé. Et je l’ai vu elle. Nager vers moi, arracher la portière de ma voiture avec tellement de facilité, me sortir de cette voiture qui aurait du être mon tombeau. Et nager vers la surface pour me déposer sur la berge. A présent mon esprit flotter dans les airs et je la voyais au dessus de moi. Que faisait-elle, je ne parvenais pas à le comprendre. Elle aurait du me ranimé, mais ses mains de faisait rien. Non. Elle avait simplement sa tête dans mon coup, me tenant contre elle, comme si elle me pleurait, mais je ne la connaissais pas. Et puis elle ma reposé sur le sol et me regardait. Elle ne faisait que me regarder. Pourquoi ne faisait-elle plus rien. Je m’étais alors approchait de mon corps, l’observant je ne voyais plus ma poitrine se soulever comme elle aurait du le faire de par les battements de mon cœur. Je compris alors que je n’étais plus. Et alors que j’allais me faire à cette idée, je fus comme aspiré par mon corps. Je ne faisais de nouveau plus qu’un. Enfin pas exactement. Je n’étais pas la seule à avoir rejoint mon corps. Une vive douleur mi avait accompagné, une intense douleur dont je ne pouvais localiser la provenance. Comme une brulure qui semblait irradier tout mon corps. Mais pourquoi. J’étais sensé être morte et ne plus rien ressentir. Je voulais ouvrir les yeux pour mieux comprendre, mais je n’y parvenais pas, mon corps ne réagissait pas, plus. J’étais donc mort. Et pourtant non, j’entendais les bruits autour de moi. J’entendais la voie de cette femme me parler, me rassurer. Mais j’étais prisonnière de mon corps. Je ne sais pas combien de temps cela à duré, mais lorsque j’ai enfin pu reprendre le partit de mon corps, tout me semblait différent. Je voulu me lever, mais j’étais déjà debout, je voulu marchait, mais je courrais. Je voulu m’arrêté et je me retrouvais à terre. Et lorsque je voulu écouter les battements de mon cœur, il n’y a eu que le silence pour me répondre. J’étais vivante mais j’étais morte. Du moins c’est ce que j’en compris des explications de la jeune femme. Et alors que je venais tout juste de me réveiller, il me sembla m’endormir à nouveau.
Voilà ce dont je me souviens de cette journée tout à fait particulière. Une journée ou j’aurais du mourir, mais qui grâce à l’intervention de Sayuri à fait de moi une autre personne semble-t-il.
Peut être voudriez vous savoir ce que je suis devenu suite à ma rencontre pour le moins funeste avec Sayuri. Alors il ne me ferait plus plaisir que de vous le raconter. Du moins je vais essayer. Car tout n’est pas toujours aussi clair que lors de ma mort. Ce qui est assez étrange, mais ce dont je m’accommode pour le moment assez bien.
Il me semble que c’était peu de temps après mon réveil sur la plage, je ne sais plus très bien. Mais une chose est sur, le décor n’était pas du tout le même. Je me trouvais à présent dans une chambre des plus somptueuses. Un luxe qu’il ne m’avait encore jamais était donné de voir. Une fois encore je fus surprise, car en voulant m’assoir au bord du lit, je me rendis compte que je l’étais déjà. J’avais vraiment du mal à m’habituer à cela. Une fois mes esprits repris, je sentis comme une présence dans la chambre. C’est à ce moment là que je la vie s’avancer vers moi, je la reconnu alors, c’était-elle qui m’avait sauvé en quelque sorte. Elle s’installa prés de moi. Je trouvais qu’elle avait beaucoup de grâce et de douceur. Elle se présenta alors sous le prénom de Sayuri et m’expliqua que je me trouver en Italie, à Volterra plus exactement. Que nous nous trouvions dans un très vieux château en quelque sorte, la demeure des rois. Elle m’expliqua ensuite qui ils étaient et qui j’étais devenu par se biais. Il me semble que cela m’a fait bizarre, comme si j’avais été effrayé par cela, mais je ne me souviens plus pourquoi. Peut être parce que le mythe des vampires n’en était pas un. Mais aujourd’hui cela n’a plus d’importance, j’accepte tout a fait ma condition d’immortelle.
Par la suite, je me souviens avoir ressentit une brûlure au niveau de la gorge, comme une soif. Sayuri m’a alors expliqué que c’était l’appelle du sang et qu’il fallait que je me nourrisse. Pour une première, comme on dit, je ne suis pas sortit en ville. Sayuri m’avait expliqué qu’en temps que nouveau née, je n’aurais pas été capable de préserver notre secret, elle m’avait alors conduit à une petite salle dans laquelle se trouvait trois personnes, malgré un certain souvenir de dégout que je ne saurais toujours pas expliquer, je me souviens parfaitement du plaisir que j’ai éprouvé à donner la mort à ses trois personnes, sous le regard amusé de Sayuri. Je dois avouer en revanche que le spectacle que je laissais derrière moi, n’étais pas jolie à voir, ni moi non plus d’ailleurs. Mais avec le temps j’ai appris à faire cela un peu plus proprement. Oh bien sur cela à demandé beaucoup de temps, je dois avoue qu’aujourd’hui encore, il m’arrive d’avoir des impulsions auquel je cède un peu trop facilement. Mais Sayuri dit qu’avec le temps cela passe. En même temps cela ne fait pas longtemps que je suis immortelle, je ne suis plus un nouveau née, mais je ne suis pas encore un vampire confirmé.
J’aimerai vous raconter beaucoup plus sur mes débuts, mais étrangement j’ai beaucoup de trou de mémoire sur cela. Sayuri pense que c’est lié au traumatisme de mon accident. Je veux bien la croire, mais je trouve cela étrange. Je peux vous dire en revanche que durant ma première année, je me suis retrouvé cloisonné au cœur même de la demeure ancestral de mes maitres. Comme en cage, certes une belle cage doré. Sayuri me disait que c’était pour ma sécurité et pour préserver le secret des immortelles. Mais autant dire que si un jour j’ai pu être patiente, cela n’est plus depuis ce temps. Peut être alors que cette impatience à été l’élément déclencheur de ce que l'on appelle dans les monde vampirique un Don. Cela m'était déjà arrivé une fois, suite à mon accident, je m'étais alors retrouvé hors de mon corps. Et cela c'est reproduire, alors que je n'avais pas le droit de sortir de l'enceinte du château. Je me suis alors vu sortir de mon corps, alors que celui-ci était allongé sur le sol et je me suis retrouvé dans les rue de Volterra.
Depuis ce jour, j’essaye de reproduire ce phénomène. Cela ne c’est reproduit que deux fois et toujours sous le coup de la colère. Sayuri dit que j’ai besoin d’entrainement et que quand je serais en comprendre le mécanisme, je découvrirais toutes les capacités de mon don, mais que pour cela il n’y avait qu’une solution, l’entrainement. Alors depuis, je passe beaucoup de temps focalisé sur mon don. J’avoue que j’en oublie parfois un peu le monde qui m‘entour. En revanche, j'ai remarqué qu' a chaque fois, un peu avant de me réveillé, si l’on peut dire. Lorsque mon esprit retrouve juste mon corps et que j’ouvre à nouveau les yeux. Il y a ce visage qui s’impose à moi. Celui d’un jeune homme, il m’est pourtant inconnu et en même temps auquel je me sens lié . Cela je n’en ai pas parlé à Sayuri, je le garde pour pour moi le moment .
Et puis est venu le jour de ma première sortit. Par une magnifique journée nuageuse. Sentir de nouveau le vent contre ma peau glacée, a été un véritable plaisir. Puis ma première vraie chasse, loin de Volterra.C’est seulement après cette première chasse que j’ai enfin eu le plaisir d’être présentait à mes maitres. J’en fus très honoré, même si je pense que ma présence ne plait pas à tous, ce que je ne comprends pas vraiment. J’ai remarqué qu’un en particulier avait un sourire assez machiavélique à chaque fois qu’il me voyait. Qu’en a Sayuri, elle semblait assez fière de ce que j’étais devenu. Oh je sais bien, cela fait bientôt Trois ans et demi que je suis un Vampire et j’ai encore beaucoup de chose à apprendre, j’ai d’ailleurs l’éternité pour cela. Mais j’ai surtout une vengeance à accomplir. Je sais depuis peu, qui est en partit responsable de mon accident et même si ce que je suis ne me dérange pas, le fait ai que je leur en veux de n’avoir rien fait pour me venir en aide ce jour là. La Famille Cullen à de la chance que Sayuri soit là et me répète que je ne suis pas prête pour cela et surtout que je lui fasse pleinement confiance, comme à une sœur. Pour le moment, je n’ai pas encore quitter L’Italie, mais ce jour viendra et vite je l’espère.
Son caractère Kim avant était une fille sensible, elle n’était pas du genre à aimé voir les autre se détruire et le faisait savoir avec son petit caractère, mais elle restait quand même très discrète. Elle était très passionnée et était toujours prête à aider son prochain. Elle était aussi très sociable, et pourtant elle n’a pas été capable de faire le premier vers Jared. Aujourd’hui Kim à bien changé, elle sait s’affirmer et n’ai plus la jeune fille discrète que l’on connaissait. Elle sait se faire remarquer, surtout par son physique. Sa sensibilité n’est plus la même, car on ne peut pas dire qu’elle ne soit plus sensibilité, mais disons qu’elle est beaucoup moins douce. Le sort des autres lui est beaucoup moins important, voir presque futile. Jeune fille patiente autrefois, elle fait plutôt preuve d'impatience c'est dernier temps. Elle sais ce qu'elle veux et fera tout pour y parvenir. Il est plutôt déconseiller de l'avoir dans ses ennemies c'est dernier temps Son physique Kim est une fille très jolie et ça depuis longtemps, mais sa transformation a su la révéler un peu plus. Amérindienne de nature, elle est bronzée, même si son teint c’est un peu radoucie, sa peau est un peu plus blanche. Elle a de long cheveux noir qu’elle portait souvent attaché avant mais qu’elle laisse tombé avec grasse sur ses épaules à présent et dont-elle sais jouer pour séduire ses victimes. Ses jolie yeux brun et doux son devenu rouge et dure, pourtant il serait facile de se perdre dans son regard envoutant. Son visage autre fois fin et angélique, laisse paraitre un air de malice presque diabolique. Étant une fille discrète, elle n’était pas du genre à mettre ses formes en avant, portant des vêtements sobre mais quelque peut colorer. Mais depuis sa transformation, elle a fait de son corps l’un des ses plus grand atout et sait le mettre en avant. Vous... | Prénom ou pseudo : Dédée | Age : Toujours le même | Présence : 5 /7 jours | Comment avez-vous connu le forum : Par ma soeur | Avez-vous lu les livres : Oui et je continu à les lire | Commentaires/Suggestions: Double compte d'Alex McCherry | Code du réglement : - Spoiler:
Code validé par Alice
| Test rp : - Spoiler:
Cela fait plus un an que je me trouvais à Volterra, enfin plutôt un an que j’étais arrivé au château des rois et que je n’avais pas eu l’occasion d’en sortir. Oh ce n’était pas la motivation qui me manquait, bien au contraire, mais voilà chaque fois que je demandé, on me répondait de la même façon : « Tu n’es pas encore prête Kim » « Ce n’est pas contre toi, c’est pour préserver notre secret » « Ne t’en fait pas cela sera bientôt ». Mais voilà, moi je commençais à en avoir marre. Oh bien entendu plus d’une personne aurais certainement aimé à ce retrouvé dans une telle demeure. Il est vrai que je n’avais pas à me plaindre, la chambre que l’on m’avait attribuée, était tout simplement splendide, comme si on avait su par avance qu’elle me serait destinée. Elle était tout en simplicité, des murs décorés á la chaux ferrée de couleur chocolat et d’autre beige, un plafond de poutre apparente et au sol un parquet sable. Une chambre assez vaste en sommes, meublé par un baldaquin en chêne massif, habillé de voilage chocolat, lui donnant un certain charme, de chaque coté de petites tables de nuit, elles aussi en chêne. Dans un autre coin de la pièce, un canapé en chêne Montespan et son fauteuil assortit, une petite table basse posé sur un tapis chocolat. Dans un autre coin, une magnifique coiffeuse et son petit tabouret du même style que le canapé, une commode et une magnifique psyché. En sommes tout ce dont une jeune fille aurait rêvé d’avoir dans sa chambre. Mais qu’est ce qu’une chambre lorsque l’on est un vampire et que le sommeil n’est pas une fatalité. Oh je sais ce que vous pensé, c’est une belle chambre, mais moi je la voyais plus comme une jolie cage doré. Oh bien sur, je n’étais pas non plus confiné dans celle-ci, j’avais le droit de me balader comme bon me semblait dans la demeure ancestral, en dehors de la salle du trône, dans laquelle je n’ai mit les pieds qu’une seule fois depuis mon arrivé et encore elle était vide.
Alors autant vous dire qu’en un an, j’ai eu le temps de la visiter en long en large et en travers cette demeure, et que maintenant j’aimerai bien sortir. Moi je me sens prête, et je dois avouer aussi que ma patience, si un jour elle a pu faire partit de moi, n’existe plus aujourd’hui. Je veux sortir et j’y arriverai. C’était donc bien décidé qu’une fois encore j’étais allé trouver Sayuri pour le lui faire savoir. Et c’était encore une fois qu’elle m’avait refoulé, prétextant que mon impatience n’était que l’expression du vampire nouveau née qui sommeillé encore en moi, bien trop puissant pour me laisser alors sortir, qu’il fallait que je travaille encore la dessus. J’avais donc rejoint ma chambre, encore plus en colère que d’ordinaire et avait claqué la lourde porte de chêne. Le bruit avait bien entendu, raisonné dans tout le couloir, mais je n’en avais que faire, j’étais en colère et encore plus impatiente de sortir. Je tournais à présent en rond dans ma chambre. Si au moins cette dernière avait eu juste une fenêtre vers l’extérieur, peut être cela m’aurait-il contenté. Mais non, je me trouvais en dessous du niveau de la place, pas de fenêtre à ma chambre, de peur qu’en me montrant à cette dernière je n’éveille la curiosité extérieure des passants. Je fulminé, intérieurement cette fois. Il parait que le personnel à notre service, en avait mare de remplacer le mobilier que je casse, alors Sayuri m’avait fait travailler sur moi, afin de maîtriser cette colère et de l’intérioriser.
Donc même si c’était-elle qui m’avait une fois de plus mise dans cette état, j’essayé de me maîtriser. Et je ne sais pas, peut être est-ce du au mélange de mon impatience et ma colère, mais j’ai sentit mon corps de dérobé sans pouvoir en reprendre le contrôle. J’étais au milieu de ma chambre, allongé sur le sol, mais je me voyais ainsi. Oui je voyais mon corps allongé sur le sol, mais comment cela était-il possible ? Par quel phénomène ? Et puis je me suis souvenu du jour de mon accident, il m’était arrivé la même chose, je m’étais vu mourir et j’avais Sayuri me « sauver ». Serait-il possible alors qu’aujourd’hui ce soit la même chose. J’essayais alors de me déplacer dans la chambre, ce que visiblement je n’avais pas de mal à faire. Me plaçant alors devant mon miroir, afin de voir à quoi je pouvais ressembler. Et quel ne fut pas ma surprise en découvrant que je n’y voyais que le reflet de ma chambre. J’étais invisible, ce qui après réflexion me sembla normal. Je n’étais qu’esprit et l’on ne peu pas percevoir les esprits. D’une certaine façon je compris alors que j’étais libre. Libre de faire ce qu’il me plaisait. Ce que je ne savais pas encore, c’était dans quelle mesure. Il n’y avait qu’une façon de le savoir, passer cette porte, ce que mon esprit fit sans mal, en passant au travers. Visiblement le fait que mon corps soit de l’autre coté n’avait aucun interaction, je n’étais donc pas contrainte à resté prêt de lui.
Je me lançais donc dans la découverte de la demeure, sous un angle tout à fait différent. Et puis je me suis retrouvé devant la grande porte, celle qui menait vers l’extérieur. L’occasion était trop belle pour ne pas y céder. J’ai alors franchit la porte à ma façon et me suis alors retrouvé sur la grand place de Volterra. Elle était baignée de soleil, mais cela je ne le ressentais pas, mais j’étais libre de visiter la ville, j’étais libre de cette cage doré qui c’était refermé sur moi il y a plus d’un an. Je me lançais donc à la découverte de cette ville que l’on m’interdisait encore. Je ressentais une grande joie à cela. Cela devait faire une heure, bien que je n’en étais pas sur, car j’avais un peu perdu la notion du temps depuis ma transformation. J’étais sur d’une chose, il n’y avait aucune limite de temps à ce que je sois loin de mon corps. Ce fut alors que je ressentis comme une présence à mes cotés. Pourtant cela faisait un moment que je cotoyais les humains dans la rue et je n’avais jusqu'à lors pas sentis cette présence. Ce pourrait-il que la présence que je ressente se trouve en présence de mon corps. A peine avais-je pensais cela que je me retrouvais alors de nouveau dans mon corps, sans vraiment comprendre comment. Car je n’avais pas fait le chemin inverse, j’en étais sur. C’était comme si j’avais voulu savoir qui se trouver auprès de moi et que par cette simple pensé, je m’étais à nouveau trouvé dans mon corps. Au dessus de moi, se trouvais Sayuri. Elle me regardait avec de grands yeux interrogateurs. M’expliquant, qu’elle avait essayé de me réveillé, m’avait secoué, mais rien ne c’était passé, que c’était comme si je n’avais pas été dans mon corps. Je lui confiais alors mon expérience de la journée. Elle paru légèrement étonné, ce qui ne dura que peu de temps, puis m’expliqua par la suite que j’avais un don.
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