Il y avait un inconvénient incontournable à être vampire, un point dont Alex avait toujours eu du mal à s’accoutumer ; son régime. Mais pourtant, il devait s’en accommoder, il le savait bien et il le savait bien. Et cela en dépit du fait que ça le répugnait. Mais il y avait une chose à laquelle il tenait particulièrement, il ne s’abaissait pas à assouvir sa faim dans les villes, comme le faisait la plus par des vampires qu’il avait pu côtoyer ou côtoyer encore. Non ça il ne pouvait pas. il n’aurai su vraiment expliquer pourquoi, mais c’était la seule façon qu’il avait trouver afin de pouvoir quand même se nourrir, même si ce terme ne lui convenait guère non plus.

Il avait donc reporté son choix sur les parc aux alentours des villes, évitent cependant celui d’Olympia qu’il trouvait bien trop près. Il avait une préférence pour le Parc national du Mont Rainier, qui offert un paysage vraiment agréable au chasseur qu’il avait du devenir avec le temps. Et puis il apprécier aussi le fait de pouvoir allier le plaisir du paysage à la basse besogne qu’il devait accomplir pour survivre.

Aujourd’hui était un de ces jours ou après avoir attendu bien trop longtemps au goût des ses parents, il devait se résoudre à chasser comme ils le lui disaient. Eva lui avait même proposé de l’accompagner, mais il avait gentiment décliné son invitation. Chasser était déjà une chose qu’il avait du mal à faire, mais si en plus il devait être en compagnie, il en éprouvait encore plus de mal alors que la personne elle semblait y prendre un certain plaisir. Du moins c’était la sensation qu’il avait eu les fois ou il était allé chasser avec Eva au tout début de sa transformation.

C’était donc un de ses jours incontournable, auquel il ne pouvait se soustraire pour sa survit. Il se trouvait à présent dans le parc. Il avait repéré une jeune randonneuse. Les jeunes femmes restant sont points faible. Il avait déjà gouté au sang des hommes, mais leur trouvais un gout bien amer. Oh bien sur, s’il n’y avait pas eu de randonneuse, il se serait contenté d’un randonneur. La saison n’offrait plus le même large choix, il y avait beaucoup moins de randonneurs en cette époque, alors il devait faire avec.

Il avait donc suivit la jeune femme avec prudence. Puis il l’avait abordé comme l’aurait fait un simple humain. Discutant de tout et de rien avec elle, la mettant en confiance. Car il était bien inutile de l’effrayer, il trouvait que cela laisser une transe dans le sang des ses victimes et il n’aimait pas à les effrayer de toutes manière, même si cela arrivé involontairement. Il faisait tout pour minimiser la chose.

Il avait donc finit par arriver à ses fins. La jeune femme n’était plus ou presque plus en vie dans ses bras. Il la tenait comme une mère aurait tenu son enfant blessé. Mais alors qu’il se délectait de son sang, il sentit une présence derrière lui. Il déposa alors la jeune femme, en douceur et se retourna avec violence. Se déplaçant vers la présence avec rapidité. Il agrippa la dite personne par les bras. Sa peau était tout aussi froide que la sienne. Il leva alors ses yeux noir vers elle et découvrir une jeune femme. D’un ton froid il lui dit.

Pourquoi m’observer ainsi ?

Il la tenait toujours avec une certaine force, mais sans pourtant être violent. C’était son instinct qui l’avait fait réagir de cette façon. Comme un animal aurait voulu protéger sa proie d’autre prédateur. Il n’aimait pas particulièrement cette partit de lui, même pas du tout. Mais voilà, inutile de montrer ses faiblesses aux autres membres de son espèces. Alors oui, il avait laissé son instinct reprendre le dessus. Et visiblement la jeune femme n’appréciait pas. Il en aurait été de même pour lui, s’il s’était retrouvé dans sa position. Elle le fixait droit dans les yeux et il pouvait lire en elle son mécontentement. Et sa façon de lui répondre en fut la preuve. Ce fut comme un sifflement, froid et brutal.

Je ne vous observais point, vous n’avez d’ailleurs aucuns attrait a mes yeux si vous voulez savoir… J’étais juste de passage et c’est l’odeur du sang de cette femme qui a changé mon parcours.

Il pouvait parfaitement comprendre que l’odeur et pu l’attirer ici. Cependant, il n’en démordait pas sur le fait qu’elle était en train de l’observer. Comment sinon aurait-elle pu prétendre qu’il n’éveillé en elle aucun attrait, sinon qu’en l’ayant observé un temps soit peut. Mais appuyer sur ce fait, n’aurait fait qu’accentuer la situation dans laquelle ils se trouvaient. Il ne dit mot et desserra légèrement son étreinte des bras de la jeune femme. Cette dernière, en profita d’ailleurs pour s’en dégager, toujours avec cette brutalité. Une brutalité qui ne correspondait pas du tout à sa carrure d’ailleurs. Il l’aurait pensé plus douce. Mais la apparence son souvent trompeuse et ce n’était pas là une découverte pour lui. Elle lui tourna le dos, ce qui n’était pas une bonne option, même si Alex n’allait pas l’attaquer, elle se mettait elle-même en danger. Avant de lui lancer tout aussi froidement :

Je vous laisse à vos sinistres besognes… J’ai autres choses à faire que me faire empoigner violemment par des jeunes vampires insouciants. Faites gaffes de ne plus refaire cette erreur sur ma personne…

Les premiers mots de sa tirade, le ramenèrent à sa condition avec la quel il avait vraiment du mal. Une grimace se forma alors sur son visage, qu’elle ne pouvait percevoir, lui tournant alors le dos. Mais cela avait été comme un réflexe. Il avait alors adressait un regard à sa jeune victime, laissait alors de coté pour un instant. Puis il reporta son attention sur la jeune vampire devant lui.

Je suis désolé, telle n’était pas mon intention, disons que cela a été un réflexe dans le but de protéger mon repas. Je pense qu’il en aurait été de même avec n’importe qu’elle vampire. Je vous pris donc de m’excuser. Je ferais en sorte d’éviter cette erreur à l’avenir, si nous étions amené à nous croiser de nouveau.

Il avait parlé posément contrairement à son interlocutrice. Elle l’avait traité de jeune vampire insouciant, elle n’avait pas vraiment tort, mail il n’était pas évident de donner l’âge exacte d’un vampire, puisque cela était bien différent de l’âge d’apparence. Mais il ne lui en voulait pas, son âge n’avait que peu d’importance.

Je ne vous retiens pas ma chère et je vous souhaite une bonne journée.

Oui, visiblement elle ne comptait pas s’attarder ici, alors inutile de poursuivre cette conversation. Même si cela ne le dérangé pas de rester en sa compagnie. Après tout, chacune de ses rencontres avec ceux de son espèce, lui avaient été bénéfique, enfin, il avait toujours su en tirer un enseignement ou bien une information utile. Pourquoi cette rencontre en serait-elle différente. Mais on ne pouvait forcer personne à resté en la compagnie de quelqu’un d’autre. Alors si son choix était de partir, très bien, il ne l’en empêcherait pas.

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