J'ai craqué ça y est. Il fallait s'y attendre. Depuis plusieurs semaine je suis en panique total. J'ai comme l'impression que je vais me noyer. Je m'enfonce un peu plus chaque jour dans les abysses. A la maison ils ne me comprennent pas. Je n'ai personne à qui parler. Personne à qui dire le vide immense que je ressens au plus profond de mon être. Je n'arrive plus à parler à Emmett. Chaque discussion finit en dispute. Pourquoi ne comprend-il pas que je ne veuille pas de cette vie? Si il se plaît ainsi, grand bien lui fasse, mais moi je veux quelque chose de plus.
Je sors de mon dernier cours de la journée, et je me promène dans les couloirs. Je n'ai aucune envie de rentrer à la villa. Je croise des gens dont j'ignore l'existence depuis que je suis à la fac. J'ignore royalement un prof qui me dit bonjour avec un petit sourire. Il devrait pourtant savoir que je ne sourit jamais. Tout le monde me regarde, mais je ne le vois pas. Je suis dans mon monde, seule.

Les heures passent, et il est prêt de 15h 30 lorsque je rentre à la villa. Mon dernier cours avait finit à 11h45. J'entends des voix dans le salon et me dirige donc directement à l'étage. Carliste est dans son bureau. Il passe d'ailleurs de plus en plus de temps, en aurait il assez d'entendre mes crises de nerfs, de plus en plus importantes?
Je me retrouve seule dans ma chambre. Je me pose contre le mur, et j'attends. J'ignore se que j'attends, mais mes yeux se posent dans le vide, et je pars loin, très loin. La nostalgie m'emmène à l'époque ou simple humaine je me promenais avec ma filleul, la fille de Véra. j'étais la plus heureuse des femmes. Aujourd'hui même l'amour d'Emmett ne suffit plus à mon bonheur. Je l'aime, je ne peux le nier, mais c'est trop dur!
Je ne l'entends pas rentrer dans la chambre, je ne le sens pas non plus. Mieux vaut pour lui qu'il choisisse bien ses mots, je ne suis pas d'humeur.

J'ai toujours su que Rosalie avait un caractère bien trempé. Justement, ça me plaisait il y a quelques semaines encore. J'aimais son audace, sa franchise et sa bravoure, mais aujourd'hui s'en était trop !

J'ignorais la raison de son comportement, puisque de toute façon à chaque fois que j'essayais de la questionner la discussion terminait toujours par des haussements de ton plutôt lourd, si bien que personne n'osait s'interposer dans nos "échanges" si on peut appeler cela ainsi...
A chaque fois que quelqu'un essayait de lui parler, elle l'envoyait promener avec beaucoup plus de dureté que d'habitude et ça ne me plaisait pas, cette Rosalie là ne me plaisait pas.
J'avais décidé une bonne fois pour toute de régler cette histoire avec Rosalie aujourd'hui. Tous ce que je voulais c'était lui redonner le sourire. Son sourire.

J'avais terminé plus tôt les cours aujourd'hui et j'étais assis sur le canapé du salon, en face d'un match de foot retransmit à la télé. Je ne regardais qu'à moitié la télévision.
J'étais à moitié perdu dans mes pensées, je réfléchissais à ma façon d'agir avec elle. Quel attitude devrai-je employé ? La même attitude qu'elle ? Ou au contraire, fallait-il que j'utilise un ton calme ? Je ne trouvais pas vraiment de solution...

Quelques minutes après, la porte claqua et je sentis ma femme. Elle ne réagit pas lorsqu'Esmée la salua et elle se dirigea directement à l'étage.
C'était l'instant de vérité. Je n'avais plus aucune appréhension, j'étais juste furieux à présent. Qu'elle soit mauvaise avec les autres peu importe mais, avec nous c'était vraiment impensable.
A vitesse vampirique je me retrouvais dans notre chambre:

-A quoi est-ce que tu joues ? Tu ne dis même plus bonjour à Esmée maintenant ? M'emportai-je. Tu comptes rester ici à moisir jusqu'à ce que quelqu'un ne vienne te réduire en cendre ? Je baissais le ton de ma voix: S'il te plaît, explique moi !




< c > Post rédigé par l'ancien Emmett, incarné par Héloïse.

-A quoi est-ce que tu joues ? Tu ne dis même plus bonjour à Esmée maintenant ? Tu comptes rester ici à moisir jusqu'à ce que quelqu'un ne vienne te réduire en cendre ? S'il te plaît, explique moi !

Je l'écoutais parler en gardant le silence. Je sortais juste de ma léthargie lorsqu'il haussa le ton. Je ne savais pas quoi lui répondre. J'aurais aimé lui dire se qui n'allait pas, mais je ne pouvais pas, c'était au dessus de mes forces. Je n'avais qu'une envie s'était hurlé la peine que j'avais, que tout sorte enfin, mais après ma crise de ce matin en cours j'en était incapable devant lui. Durant une seconde son regard parut plus lourd de reproche que jamais. Puis la seconde suivante, son ton était plus doux. Emmett aussi était à bout, mais je ne voyait rien, ou ne voulait rien voir. une fois de plus il n'y en avait que pour moi.

- Je l'ai pas vu!

Bien sur que j'avais vu Esmée, enfin je savais qu'elle était à côté de moi, mais n'ayant aucune envie d'avoir une discussion avec elle, je ne mettais pas attarder.

-Oui pourquoi pas?! Rester là à attendre que les Volturi débarquent à Forks, tout faire pour qu'ils me tuent... c'est un super plan.

Je ne pouvais pas mentir, j'y avais déjà penser. J'aurais pu faire comme Edward, mais au fond si il y avait bien une chose qui pouvait m'en empêcher c'est l'amour que je portait à Emmett. J'avais beau être horrible avec tout le monde les trois quart du temps, en particulier avec lui, je l'ai aimé quand même de toutes mes forces.
C'est bien pour eux que j'avais eu peur à l'arrivée de Bella dans la vie de mon frère, à l'arrivée de la famille McCherry à Seattle et Stevens à deux pas de chez nous! Je les ai tous aimé pour se qu'ils étaient, malgré mes paroles blessantes quelques fois.

- T'expliquais quoi?

Je croisais les bras. Je ne le regardais pas. Même si ça voit s'était adouci à sa dernière phrase, je craignait les reproches et le regard désapprobateur qu'il devait avoir. j'étais face à lui, mais je baissais la tête un peu penché sur le côté. Je voulais éviter son regard à tout prix.

- Je l'ai pas vu!

Je haussai les épaules et je roulais les yeux :
-Mais bien sûr et moi je suis le Père Noël ? Raillai-je, en faites je me moquais parce qu'il faut avouer que c'était hilarant, elle est bien un vampire non ? Elle me croyait vraiment aussi idiot ?

-Oui pourquoi pas?! Rester là à attendre que les Volturi débarquent à Forks, tout faire pour qu'ils me tuent... c'est un super plan.

Elle était vraiment sérieuse ? J'avais envie de l'étriper. Comment pouvait-elle dire ça ? Nous avions déjà assez souffert lorsque Edward avait voulu se rendre aux Volturi. Comment pouvait-on être aussi égoïste ?
Enfin après tout... c'était peut-être moi l'égoïste, je voulais la garder prêt de moi alors qu'elle ne le souhaitait pas. Et si elle ne ressentait plus rien pour moi ? Serait-ce là la cause de son malaise ? Aurait-elle peur de me l'avouer au point d'être pire que désagréable ? Enfin peut-être que je me faisais des films...
Cependant, je n'étais pas le seul membre de la famille, alors qu'elle me fasse souffrir OK, mais qu'elle rende les autres malheureux...
Je m'étais cependant mon hypothèse de côté, je saurais découvrir la raison de son caractère bien assez tôt.
-Tu t'entend parler ? Soupirai-je.

- T'expliquais quoi?

Rosalie croisait les bras, elles ne me regardaient pas cependant, elle avait raison de craindre mon regard !
Je senti que j'allais exploser, c'était la goutte d'eau qui avait fait débordé le vase, comment rester calme quand on entend ce genre de chose ? Je n'arrivais plus à me contrôler et je ne pouvais plus parler calmement, c'est en hurlant que je m'étais adressé à mon épouse:

- AVOUE QUE TU TE FICHE DE MOI ROSALIE ??? TU IGNORES TOUS LE MONDE, TU FAIS COMME SI PERSONNE N'EXISTAIT AUTOUR DE TOI. MOI MÊME JE N'AI PLUS EU UN SEUL BISOUS DEPUIS DES LUSTRES, ET TU OSES ENCORE DEMANDER CE QUE TU DOIS M'EXPLIQUER ?!! Je crois bien que je ne m'étais jamais autant énervé ainsi sur quelqu'un et encore moi sur Rosalie ! Bien sûr que ça me faisait quelque chose, mais fallait-il vraiment continuer à se laisser faire ou bien la raisonner une bonne fois pour toute ?!
Je tenta d'adoucir ma voix avant de m'adresser une nouvelle fois à Rosalie:
-Tu sais tu nous fais tous souffrir mais il y a quelqu'un en particulier à qui tu manques énormément...
Je pris place sur le lit maintenant que j'avais évacuer ma colère.
Je voulais que Rosalie prenne conscience de l'abandon qu'à subit Renesmée vis à vis de sa tante.





< c > Post rédigé par l'ancien Emmett, incarné par Héloïse.

-Mais bien sûr et moi je suis le Père Noël ?

Il haussa les épaules, puis me rétorqua qu'il était le Père Noël. Bêtement j'ai pensé, * Tu ne seras jamais le Père Noël puisque tu n'aura jamais une longue barbe blanche, accompagné de cheveux blanc avec lesquels on ne fait pas la différence.* Au fond ej savais que je les blessais à agir ainsi c'est pour ça que je ne le regardais pas. Il continuait de parler, heureusement sinon le silence aurait était vite pesant, puisque je n'avais pas l'intention de parler.

-Tu t'entend parler ?

*Oui.* Heureusement que ce n'était qu'une pensée. Jamais je ne voudrais le quitter. J'en mourrerais si il devait lui arriver quelque chose. Pourtant il est vrai qu'il n'était pas épargné par mes crise de nerf. Ce n'était plus des crises puisque c'était constamment. Il s'énervait de plus en plus. a nous arrivait souvent en ce moment, enfaites ça avait toujours était plus ou moins comme ça, mais s'était un très bon moyen pour se réconcilier après (vous voyez se que je veux dire^^), mais c'est dernier temps j'allais très loin, peut-être trop. C'était le calme avant la tempête:

- AVOUE QUE TU TE FICHE DE MOI ROSALIE ??? TU IGNORES TOUS LE MONDE, TU FAIS COMME SI PERSONNE N'EXISTAIT AUTOUR DE TOI. MOI MÊME JE N'AI PLUS EU UN SEUL BISOUS DEPUIS DES LUSTRES, ET TU OSES ENCORE DEMANDER CE QUE TU DOIS M'EXPLIQUER ?!!

Il explosa. Je ne savais plus ou me mettre. Lorsqu'il parla de lui en particulier, j'ai eu vraiment mal. Je ne voulais pas qu'il croit que je ne l'aimais pas. Il était tout se qu'il me resté dans cette vie de vampire. Si il n'était pas là pour vivre avec moi à la villa, j'aurais peut-être fait comme Edward en allant voir les Volturi, mais si j'étais encore là c'était pour lui, et uniquement pour lui.

-J'y arrive pas Emmett!

Quelques larmes perlaient sur mes joues. Je ne savais pas comment lui dire que malgré tout l'amour que j'avais pour lui ça ne suffisait pas. Que j'avais besoin de plus, pour être moi, pour être heureuse!

-Tu sais tu nous fais tous souffrir mais il y a quelqu'un en particulier à qui tu manques énormément...

- A ba ça j'aimerais bien voir.

J'avais dis cela tout doucement. Bien sur avec son ouïe sur développé il n'aurait aucun mal à m'entendre, mais je n'y pensais plus. Je n'avais jamais était agréable avec personne, à qui est-ce que je pourrais manquer?
J'étais peut-être égoïste, peut-être que j'en demandais trop, après tout j'avais eu la vie sauve, j'avais rencontrer l'homme de ma vie sans le tuer. Je devais être reconnaissante à Carliste pour le don qu'il m'avait fait, mais c'était au dessus de mes forces. Et Nessie qui grandissait à vu d'oeil, me désespérais de plus en plus chaque jour d'avoir un jour mon enfant.

-Ils sont tous très heureux, pourquoi penseraient-ils à moi?

Plus d'une fois ils m'avaient montrer leur marque d'affection, mais je ne voulais pas le voir. Je voulais rester dans mon monde, seule, sans enfant, avec mon désespoir. J'étais bien trop fière pour leur montrer que j'avais besoin d'eux, que je les aimais!
Je me rapprochais du lit où venait de s'asseoir mon chéri.

- Tu n'y es pour rien! Ça n'a rien avoir avec toi!

Je ne savais pas quoi dire pour le rassurer. Je ne lui disais que rarement que je l'aimais et aujourd'hui ça ne pouvait pas sortir de ma bouche, pas comme ça. je ne voulais pas qu'ils se sente délaisser, j'étais toujours là pour lui en cas de besoin, mais je ne savais pas comment lui montrer. Si il y avait bien un moment où je ne savais plus quoi faire c'était pour exprimer mes sentiments.

-J'y arrive pas Emmett!


Rosalie souffrait aussi, cela se voyait ! Pourquoi n'arrivai-je pas à trouver la raison de son malaise ? Étais-je trop aveuglé par l'amour que je lui portais pour y réfléchir ? Au fond, quand j'étais en sa présence, tout ce bousculait dans ma tête. Je ne voyais plus qu'elle !

Puis Rosalie répondit à ma déclaration si bas qu'un humain n'aurait pas pu l'entendre.

- A ba ça j'aimerais bien voir.

Elle ne rendait donc pas compte qu'on l'aimait tous malgré tous ? Que ce soit Carlisle ou Esmée, Edward ou Bella, Alice ou Jasper, ou même encore Renesmée et moi, on l'aimait tous très fort et on la soutenait plus que tout ! Même Jacob s'ennuyait de leurs quotidiennes disputes à propos de la petite !
-Ils sont tous très heureux, pourquoi penseraient-ils à moi?

- C'est là que tu fais fausse route. Ils ne sont pas heureux, tu sais très bien que la famille compte beaucoup pour eux. Le seul fait de te voir malheureuse les rends tout aussi triste ! Jasper s'inquiète pour sa jumelle adorée, Alice pour sa partenaire de shopping, Edward pour sa pianiste préférée, Bella pour son amie et Carlisle et Esmée pour leur fille chérie ! Moi je m'inquiète pour la femme de ma vie et Renesmée s'inquiète pour sa tante qu'elle aime malgré tout !

Je n'avais pas eu souvenir d'avoir un jour exprimer aussi fort l'amour que j'avais pour ma femme en face... Même à notre mariage... Entres nous cela avait toujours été très physique, nous avions échangé des "Je t'aime" que très rarement ! C'est ça qui rendait notre couple unique en quelque sorte. C'est aussi nos caractères opposés qui nous tenaient debout. Nous avions échappés à tous, nous nous étions toujours relevé dans chaque épreuve de notre vie sentimentale. Ce n'est pas aujourd'hui que nous allions rester à terre.

J'étais prêt à aider Rosalie, quoique je puisse faire. Je serais prêt à lui offrir ma vie s'il le fallait !
- Tu n'y es pour rien! Ça n'a rien avoir avec toi!

Cette simple phrase pouvait accélérer mon coeur "mort". Dans la bouche de Rosalie ça voulait "Je t'aime". Je ne voulais pas la forcer à le dire si elle ne s'en sentait pas capable. C'était son caractère, elle était comme ça, ce n'est pas aujourd'hui à presque 100 ans que j'allais la changer.

- Alors, trouve la force de me dire ce qu'est le problème. Tu sais que tu peux tout me dire, c'est pour ça que l'on c'est marié non ?




< c > Post rédigé par l'ancien Emmett, incarné par Héloïse.

- C'est là que tu fais fausse route. Ils ne sont pas heureux, tu sais très bien que la famille compte beaucoup pour eux. Le seul fait de te voir malheureuse les rends tout aussi triste ! Jasper s'inquiète pour sa jumelle adorée, Alice pour sa partenaire de shopping, Edward pour sa pianiste préférée, Bella pour son amie et Carlisle et Esmée pour leur fille chérie ! Moi je m'inquiète pour la femme de ma vie et Renesmée s'inquiète pour sa tante qu'elle aime malgré tout !

Il touchait un point sensible. Était-ce réel? Manquerais-je donc à tout le monde dans cette famille? Je devais bien l'admettre, j'aimais cette famille, et plus d'une fois ils m'avaient montré qu'eux aussi tenaient à moi, par différents moyens! Je ne pus réprimer un sourire.

-Tu crois qu'elle voudrait bien parler avec moi, si j'allais la voir? Nessie je veux dire!

- Alors, trouve la force de me dire ce qu'est le problème. Tu sais que tu peux tout me dire, c'est pour ça que l'on c'est marié non ?

Au mot "mariage" mon regard c'est mit à briller. Oh oui nous étions marié! Pour le meilleur et pour le pire d'après le prêtre qui a marié mon amie Vera. Je ne suis pas allé dans une église depuis plusieurs décennies, depuis ma transformation à vrai dire! Mais là on s'éloigne du sujet^^
Étais-je assez courageuse pour le lui avouer? Oui peut-être! Après tout il finirais bien par le savoir un jour où l'autre. J'enlever d'un geste brusque les larmes qui tombaient toujours sur mes joues. Puis prit la main d'Emmett et la plaça sur mon coeur. Je fermais un instant les yeux pour reprendre mon calme.

-C'est là que ça ne va pas! J'aimerais tellement pouvoir un jour ... avoir la chance de porter un enfant ainsi prêt de mon coeur, le prendre entre mes bras et lui faire ressentir à quel point je l'aimerais. Grâce à lui je serais enfin une femme je ne serais plus un monstre, Emmett.

En finissant ma phrase par son prénom, c'était un peu une manière pour moi de l'appeler au secours. Il n'y avait aucun remède bien sur, mais là tout de suite j'avais besoin qu'il me montre que je pouvais vivre seulement avec lui, et que cette histoire malgré mon sale caractère ne changeait rien. il venait juste de le dire, mais j'avais besoin de le sentir au plus profond de mon âme si tenté que j'en est encore une!

-Tu crois qu'elle voudrait bien parler avec moi, si j'allais la voir? Nessie je veux dire!

La question de Rosalie me fit sourire, j'étais tellement heureux qu'elle me demande cela ! J'avais peut-être réussi à lui faire ouvrir les yeux ?!
Je fus content d'y être parvenu, pour une fois que je faisais quelque chose de bien ! Et puis raisonner mon épouse était de loin la meilleure chose que j'ai pu faire.

- Je suis certain que rien ne lui ferai plus plaisir qu'une discussion avec toi ! D'ailleurs, elle est chez Nahuel et Bella ma demandé d'aller la rechercher... je jetai un coup d'œil au réveil qui annonçai l'heure: 15h45, dans les environs de 16h. Pourquoi n'irait-tu pas... seule ? Proposai-je à mon épouse.


Rosalie s'empara de ma main et la déposa sur son cœur:

-C'est là que ça ne va pas! J'aimerais tellement pouvoir un jour ... avoir la chance de porter un enfant ainsi prêt de mon cœur, le prendre entre mes bras et lui faire ressentir à quel point je l'aimerais. Grâce à lui je serais enfin une femme je ne serais plus un monstre, Emmett.

J'aurais dû me douter que c'était ça le problème ! Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ?! Tous devenait très cohérent maintenant ! Surtout le vide qu'elle avait laissé entre Renesmée et elle !
Je savais que Rosalie avait toujours eu du mal à accepter son statue de vampire. Elle n'avait jamais voulu cela bien au contraire ! Malgré la reconnaissance qu'elle portait à Carlisle pour lui avoir sauver "la vie" en quelque sorte, elle ne pouvait pas le remercier ! Elle aurait préféré qu'il la laisse mourir... Elle ne voulait pas appartenir à ce monde ! Et ce fut pire lorsque elle avait appris qu'elle ne pourrait jamais avoir d'enfant...

- Tu n'as jamais était un monstre Rosalie... Les monstres n'aime pas, toi, même si tu ne l'avoues que rarement tu nous aimes, tous. Et au fond... même si tu n'as pas eut Renesmée dans ton ventre, c'est toi qui l'a porté à ton cœur la première car souviens toi: Edward haïssait sa fille au début et Jacob... aussi. Tu l'aimes comme ta fille et elle t'aime aussi fort que sa mère !
Et sache que je ne pourrais jamais t'offrir ce que tu désires mais je ferais tout pour t'offrir tous l'amour que je peux t'apporter...

Je n'étais pas sur que ma dernière phrase avait du sens mais je ne pouvais pas faire mieux...



< c > Post rédigé par l'ancien Emmett, incarné par Héloïse.

- Je suis certain que rien ne lui ferai plus plaisir qu'une discussion avec toi ! D'ailleurs, elle est chez Nahuel et Bella ma demandé d'aller la rechercher...dans les environs de 16h. Pourquoi n'irait-tu pas... seule ?

*Évidemment que oui!*C'était une très bonne idée. Même si je ne savais pas encore quoi lui dire, c'était surement le meilleur moyen pour avoir une discussion à peu près normal avec ma nièce, sans avoir le regard désapprobateur d'Edward. Mon frère ne comprenait pas le lien qui m'unissais à ma nièce. comme venait de le dire Emmett elle était pour moi comme une fille.

- Tu n'as jamais était un monstre Rosalie... Les monstres n'aime pas, toi, même si tu ne l'avoues que rarement tu nous aimes, tous. Et au fond... même si tu n'as pas eut Renesmée dans ton ventre, c'est toi qui l'a porté à ton cœur la première car souviens toi: Edward haïssait sa fille au début et Jacob... aussi. Tu l'aimes comme ta fille et elle t'aime aussi fort que sa mère !
Et sache que je ne pourrais jamais t'offrir ce que tu désires mais je ferais tout pour t'offrir tous l'amour que je peux t'apporter...

Ses mots me réchauffèrent le coeur. Heureusement qu'il était là. Nous n'avions pas parlé souvent comme ça, ce n'était pas vraiment d'en nos caractères de nous livrés, mais pourtant aujourd'hui j'en était heureuse, cela m'enlever un énorme poids. Tout en gardant sa main entre les miennes, je viens m'asseoir à ses côtés. Je pose ma tête sur son épaules et baissent les yeux vers nos mains. Je suis un peu ailleurs. Je m'imagine déjà parler avec elle, avec une simplicité déconcertante, je souris en me disant que ça n'arrivera jamais.

-Tous? Non c'est pas vrai. Je vous aime pas tous. Toi par exemple... t'es toujours entrain de te plaindre, Edward se prends pour un virtuose...

Si moi je plaisante, où allons nous? Je tourne mon regard vers lui,et lui souris. Je venais dire tout le contraire de leur personnalité ou de se que je pensais d'eux, mais connaissant mon ours je me doutais que je pouvais me le permettre.

Mon épouse garda ma main dans la sienne et elle vînt s'assoir à mes côtés. Elle déposa sa tête sur mon épaule. Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas autant rapproché de Rosalie ! J'étais tellement heureux !

-Tous? Non c'est pas vrai. Je vous aime pas tous. Toi par exemple... t'es toujours entrain de te plaindre, Edward se prends pour un virtuose...

Rosalie tourna la tête vers moi un sourire sur les lèvres. Je souris à mon tour tout en plissant les yeux comme pour faire un air malicieux.
- Et toi... Ne te prendrais tu pas pour la plus belle des blondes ?! Tans pis, c'était trop dur, j'éclatais de rire. C'était elle MA Rose ! Tout d'un coup... cette situation étais devenue moins étrange.
Je pense ça parce que... notre couple c'est ça au fond: On se taquine souvent. Et c'est là notre réussite !Je n'imagine pas un couple comme tous le monde !
Je me relevai,entraînant Rosalie avec moi , avant de jeter un coup d'oeil vers l'horloge, il, était l'heure d'aller chercher Nessie ! Chose que je ne ferais pas mais Rosalie si ! J'étais certain qu'une discussions entre elles leurs ferait le plus grand bien ! A l'une comme à l'autre.

- Rosalie, je ne tiens pas à me faire tuer par Bella, il est tant d'aller chercher Nessie. Je rigolai à nouveau. Cela faisait du bien de rire !....




< c > Post rédigé par l'ancien Emmett, incarné par Héloïse.

- Et toi... Ne te prendrais tu pas pour la plus belle des blondes ?!

- Oui, mais parce que je le suis^^

Nos mains s'entremêlaient. Je souriais. je ne retiens pas mon rire lorsque Emmett éclata. j'étais heureuse de le voir heureux. Il y a longtemps que l'on n'avait pas été aussi proches lui et moi. Cétait un de nos rares moments où l'on ne se disputait pas, où l'on n'était aps non plus entrain de faire l'amour comme des bêtes, on était juste ensemble tous les deux pour le meilleur et pour le pire. Le pire n'était aps encore passé dans notre famille, mais point de vue couple, on n'était passé par toute les phases je pense!

- Rosalie, je ne tiens pas à me faire tuer par Bella, il est tant d'aller chercher Nessie.

J'avais envie d'aller la voir, mais en même temps on avait si peu de moment comme celui-ci que je ne voulais pas qu'il s'arrête. Il ria de nouveau, et je sourit de plus belle. Son regard insistant me rappela à l'ordre et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire( ou ici l'écrire) j'avais mis mon écharpe, des gants ainsi qu'un bonnet( un ensemble bleu) qui m'allait plutôt bien je dois l'admettre. J'étais prette comme n'importe qu'elle humain à faire face au froid et au vent glacial qui rugissait dehors. Je n'avais ni froid ni chaud. C'était tenue ne changeait rien pour moi, c'était juste une habitude que j'avais prise pour mieux me fondre dans lamasse, même si ce soir les seuls personne que je contais rencontré était au courant de mon statut de vampire.

-C'est bon, je suis partie.

Je faisais semblant de partir. En arrivant à la porte, je fis mine d'avoir oublié quelque chose. Je me retournais vers Emmett et je tentais désespérément de trouver se que j'avais oublié. Après un instant de silence, je lui souris, et m'approchant de lui à vitesse humaine, je l'embrassais. Ce fus un baiser court, mais plutôt pulsé si vous voyez se que je veux dire, assez costaud quoi, vigoureux, fort, enflammé tout se que vous voulais! Un sourir tendancieux et j'étais partit.
Je mettais les clés de voiture de ma poche, je descendais les escaliers. Je souriais à Esmée qui m'avait senti descendre. je mettais mon manteau, en tant qu'humaine le froid avait toujours était une horreur, c'était resté!
Une porte ouverte, une autre qui se ferme. J'étais dans ma voiture en direction de la maison de Nahuel. D'ailleurs j'éviterais de m'attarder trop longtemps chez Nahuel. Si je l'appréciais c'était uniquement parce qu'il avait sauvé la vie de Nessie il y a 5 ans.

[FIN]