Validé

Je m'appelle Anabess Céleste LeGrand, aussi connu sous le nom de Bess, et je suis né en France en 1746 dans une petite contrait dans le Sud du Pays. J'y ais vécu toute mon enfance avec mes parents, Ellena et Williams LeGrand. Autrement dit j'y ais vécu toute ma vie d'humaine. J'ai ressenti le besoin de respirer l'air environnante jusqu'à mes 18ans... Vous devinez ce qui met arrivé ensuite ?

Le 26 mai 1764, en l'honneur de mon dix-huitième anniversaire, mes parents ont organisaient une grande fête. Tout le village y avait était convié. Seulement, j'étais loin de m'imaginer que des nomades serait présent au festivité. L'un deux, très différent des jeunes hommes de mon village, Blond et grand... aux yeux d'un bleu ciel éclatant, au sourire d'ange, au teint sublimement pâle... L'homme irrésistiblement parfaite... Il était impossible de lui résistait, moi, en tous les cas, je n'aurais pût !
Cette soirée aurai dût être la plus merveilleuse de toute ma vie. Je disais alors adieu à ma vie d'enfant et saluer mon avenir prometteur de jeune femme. Mais la seule chose à laquelle je fis mes adieux se soir là fût à ma vie... à ma vrai vie "d'être normale"...

Ce soir là, James Pryde m'avait invitait à danser. Ce beau blond... Quand ses yeux se posèrent dans les miens, je ne put lui refuser. Alors nous avons danser, danser et danser. A m'en faire perdre la tête ! Plus tard dans la soirée, il m'avait cordialement proposé d'aller en balade. Une nouvelle fois je succombais à son charme. Mauvaise idée ! Plus loin, dans la peine ombre, James me courtisais. J'étais si fière, un si bel homme...! Mais lorsque sa main se posa brutalement sur ma hanche et qu'il me tira de sa mine mauvaise vers lui, je compris trop tard la dure réalité qui m'attendais. Son visage, face au mien, n'avait plus rien d'attirant. Les traits de son visages c'était crispaient, il semblait à présent monstrueux. J'eux alors la soudain envies d'hurler, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Avant même que j’eus le temps de comprendre ce qui était entrain de m'arriver, son visage était déjà sur mon cou. Du bout de son nez il caressait ma peau nu. En l'espace d'une seconde je senti une douleur m'assaillir ! Que se passait il ? Il m'avait mordu ! Pire encore, il aspirait mon sang, me vider ! A un moment donner, il avait cessait. Je vous laisse imaginer la suite.

J'ai donc fini ma métamorphose trois jour plus tard. Lorsque je me suis réveillé, j'étais dans un lit, pas le mien. Je savais que ce n'était pas le mien. Les draps n'était pas de la même couleurs et l'endroit semblait beaucoup plus sombre. Soudain, un homme s'avança vers moi. Il s'agissait de James. Celui-ci avait retrouvait son beau visage d'ange, je pensais alors avoir fait un mauvais rêve et que tout ce qui c'était passé la veille n'avait été qu'un horrible cauchemars. Seulement, quand sa main se posa sur la mienne et qu'il me parla de chose et d'autre, étrangement j'avais su que tout était vrai ! Anéanti, James essaya de me rassurer m'expliquant qu'il m'avait choisi pour compagne, que toujours nous vivrons ensemble et que plus jamais je ne prendrais de l'âge... A ce moment précis, j'étais heureuse que mon cœur ne battait plus, car si cela avait était le cas, il aurai lâché prise ! J'aurais certainement du être enchanté de ne plus vieillir, toutes les femmes du monde chercher après, après tout, leurs "fontaine de jouvence". Mais à l'époque, moi, je voyais cela plutôt comme un cadeau empoisonné...!

Plus tard, il m'informait que nous nous trouvions dans une chambre qu'il avait louer avec ses paires et que bientôt nous allions partir. Je ne voulais pas m'en aller... Mais la réalité me frappa en plein visage. Je n'avais pas le choix. Si je restais là, tout le monde finirai par se rendre compte que quelque chose ai changé chez moi...
Alors le soir même nous avons quitté la France, après de douloureux adieux.

James et ses paires avaient l'idée de vivre ensemble une fois arrivé à bon port : Forks. Et c'est ce qu'il... enfin nous avons fait. James avait acheter avec Mikaël Dupret une immense bâtisse, suffisamment grande pour y loger tout un groupe de Vampire nomade.

La suite de l'histoire n'est pas vraiment intéressante. Juste une nouvelle vie et un nouveau mode de vie. Les Vampires avec qui je vivais et vis toujours actuellement, n'ont rien de gentil. Ils sont pervers et toujours désireux... Moi qui depuis un peu plus de 200ans vie à leurs côté, j'ai été élevé dans ce non respect des valeurs et de l’abus de pouvoirs.
De nature et encore aujourd'hui je ne suis pas méchante, mais je ne contrôle pas tout à fait ma soif de sang ! Et je m'en veux souvent de ne pas y parvenir. Je déteste tuer !

Alors voila, c'est comme sa que je suis devenu celle que je suis aujourd'hui, un Vampire. Les humains, dans leurs innombrable mythes qualifient les être comme moi de "suceur de sang" ! C'est en partie vrai ! On en peu vivre sans... Je suis aussi Condamné à vivre éternellement dans la peau d'une jeune fille de 18ans. A vrai dire, aujourd'hui, cela ne me dérange plus tellement, je m'y suis faite. J'aime beaucoup ma vie actuelle et suis condamné à resté jeune... Mais est-ce vraiment un supplice ? Beaucoup d'humaine tueraient pour avoir ce "privilège"! Alors je ne vais pas ou plus m'en plaindre.

La seul chose que je désire aujourd'hui c'est m'enfuir. Oui m'enfuir ! Car James ne veux pas que je parte, bien que depuis plusieurs décennies je ne l'aime plus. A vrai dire je n'ai plus éprouvé grand chose pour lui depuis le soir ou il ma transformé. Et puis j'aimerais bâtir mon propre avenir sans l'avoir toujours en travers de mon chemin. La question reste "Comment ?"...

Aujourd'hui, comme énoncé précédemment, je vis à Forks et croyais moi, en 266ans j'ai parfaitement eût le temps d'apprendre la langue, car ne l'oublier pas je suis Française d'origine. J'aime beaucoup Forks, les apparences sont calme et le temps toujours pluvieux. Les habitants peuvent comptaient sur les doigts de la main les jours ou le soleil brille. Et cela, pour quelqu'un comme moi, vous comprenez que c'est l'idéal, même si James surveille continuellement mes allés et mes venues.

Pour faire comme tout le monde, je vais au Lycée. Je suis une fille de 18ans, pour la énième fois, mais je le suis. Il est donc normal que j'aille à l'école et faire comme si... Même si j'ai du lourdement insister pour avoir se privilège.

En ce qui concerne ma nourriture j'essaye tant bien que mal de devenir ce que l'on appel "un vampire végétarien". Mais croyait moi que ce n'est pas chose aisé de le devenir... Surtout quand vous êtes un vampire sanguinaire qui raffole de sang humain et que vos paires en déguste a chaque instant sous votre nez ! Je fais pourtant des progrès, mais il m'arrive de céder, comme je pense que cela doit être le cas pour beaucoup qui tente l'expérience.
Parfois je me sens monstre de m'abreuver de ce que j'ai était autrefois... Je n'aime pas ça, mais je n’ai pas vraiment le choix... Pas toujours !

Je suis une jeune quelqu'un de posé, calme mais certainement le genre de fille qu'il faut avoir en travers de son chemin. J'ai gardais très précieusement l'éducation que mes parents m'ont donnée et quand parfois je m’égare dans les méandres de la folie qui me ronge... le sang, j'y songe fortement et je vais on peu mieux.
Vous l'aurez compris, je suis long d'être méchante, mais ne me chercher pas, j'ai horreur de la provocation ! Je suis cependant peu rancunière, disons que cela dépend du tort que vous m'aurai causé et du contexte.
Il m'arrive très souvent de croiser les doigts lorsque je suis pensive ou angoissé. Je peut être très susceptible quand je suis fatiguer et surtout mal nourrit.

Je suis grande et élancé, environ 1m70. Plutôt mince et bien faite, assez jolie à regarder. La peau froide... Je porte les cheveux roux, très long et soigneusement onduler. Le visage fin et pointu, le teint pâle. De longue mains avec des doigts fin aux ongles long et vernier de noir le plus souvent ou de gris argenté. J'ai les yeux clair et envoûtant, le regard ainsi que le sourire charmeur. Un large sourire, reflétant souvent ma joie d'être et de vivre malgré tout.
J'aime portais des robe de couleurs sombre et mes bottes ne quitte jamais mes pieds ! Je les portes toujours, quelque soit mon vêtement. De plus, je ne suis pas vraiment le genre de fille à se pomponner, juste un trait de crayon noir de temps en temps et cela suffit amplement.